Donald J. Wiseman, professeur émérite d'assyriologie à l'Université de Londres, considéra cet ouvrage comme étant "d'une grande valeur". Luigi Cagni, professeur d'assyriologie à l'Université de Naples, écrivit dans la préface de la version italienne du livre qu'il s'agissait d'"une étude originale et extrêmement sérieuse", affirmant avoir été "à maintes reprises rempli d'un sentiment d'admiration et de profonde satisfaction de la manière dont l'auteur traite les arguments relatifs à l'assyriologie. (...) Johnsson démontre, au moyen d'arguments irréfutables, l'invalidité de la théorie jéhoviste selon laquelle 607 av. J-C fut l'année en laquelle Nabuchodonosor II, dans sa 18e année de règne, désola Jérusalem".[3] L'historien James Penton trouve intéressant que Johnsson retrace l'historique de la doctrine sur le principe d'"un jour pour une année" (qui sert de base au calcul des 2 520 ans qui sont censés s'étendre, selon la Watch Tower, de -607 à 1914), et estime que ce livre, qu'il qualifie d'"ouvrage extrêmement important", "montre clairement que l'intégralité du calendrier eschatologique des Témoins de Jéhovah est basé sur des hypothèses manifestement fausses".[4]