Comment décrire ce roman en un mot ? C'est simple : loufoque ! En deux mots ? Re-loufoque et barré ! En trois m..., Non, je m'arrête là, vous aurez compris le principe !
Si la thématique principale est axée sur le désir de vengeance, d'autres sujets en grand nombre et surtout très hétéroclites sont abordés.
Alors en voici un aperçu, pêle-mêle : l'expressionnisme, le nationalisme, la xénophobie, le peuple Massaï, le contrôle des naissances, la médecine, les spécificités suédoises, le féminisme, l'art pictural, les parents biologiques et adoptifs, les nouveaux départs dans la vie ou les secondes chances...
Bigre, comment l'auteur parvient-il à cocher toutes ces cases dans un seul et même roman ? Encore une fois, c'est simple. Rappelez-vous de la recette du gloubi-boulga du monstre gentil Casimir : prenez tous les ingrédients stockés dans vos placards (moutarde, confiture, sel, jambon, chocolat...), mélangez-les, touillez fermement, un petit tour au four et c'est prêt ! Maintenant, remplacez les ingrédients par tous les sujets décrits précédemment, mélangez bien, et vous aurez "
Douce, douce, vengeance".
Attention, vous risquez une indigestion ! C'est lourd, lourd, lourd...
Trop d'éléments disparates, des enchaînements qui n'ont aucun sens, des aberrations dans les situations, et au final : "même pas drôle". Certes, à chacun ses goûts et son sens de l'humour, mais les miens ne se trouvent assurément pas ici.