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3,5

sur 263 notes

Critiques filtrées sur 4 étoiles  
La vengeance est un plat qui se mange froid et, qui n'a pas rêvé un jour, de se venger et de nuire à une autre personne ou à un groupe dans le but de punir ou d'obtenir réparation d'un acte considéré comme offensant. Voilà le thème de cette comédie facétieuse et déjantée.
J'ai été un peu déroutée par les premiers chapitres situés dans la savane africaine où nous faisons connaissance avec Ole Mbatian, un homme-médecine qui souffre de ne pas avoir de fils mais je n'ai pas eu le temps de m'ennuyer bien longtemps car bien vite, nous nous retrouvons à plus de 10 000 kilomètres au nord du territoire Massaï, dans la banlieue de la capitale suédoise.
Hugo Hamlin, publicitaire de renommée internationale, pense à « changer de voie avant de se faire doubler ». Suite à des différends avec son voisin, une idée visionnaire germe dans son cerveau au cours d'une soirée festive : la vengeance. La vengeance, un produit. La vengeance, une idée commerciale. Créer une société de vengeance à la carte, destinée à laver camouflets, coups bas et autres vexations. En temps qu'as du packaging pour toutes sortes de produits, pourquoi pas la vengeance, se dit-il ? La Vengeance est douce SA naît ainsi et Hugo planche sur son pitch « Vous souhaitez venger un affront sans vous salir les mains ? Nous avons la solution ! Des milliers de clients satisfaits dans le monde entier. »
Jenny, jeune femme ingénue abandonnée par son époux, et Kevin, cet orphelin que le père a voulu jeter en pâture aux lions au Kenya mais revenu sain et sauf partagent une même envie de vengeance, le mari de l'une et le père de l'autre se révélant être le même personnage, un certain Victor, marchand d'art cynique et sans scrupules. Pensant que cet homme méritait d'être tourmenté comme il tourmentait les autres, en découvrant l'enseigne La vengeance est douce SA, tous deux décident d'entrer dans la boutique…
Il convient d'ajouter Ole Mbatian, l'homme-médecine, redoutable guerrier massaï à ses heures en quête de celui qu'il nomme son fils qui, après avoir quitté son village du Masai Mara se retrouve lui aussi sur le sol suédois vêtu de son shúkà, va lui aussi coopérer avec Hugo, Jenny, Kevin pour peaufiner cette douce vengeance qui se révélera plus ardue que prévu à mettre en place : cette rencontre plutôt atypique et hautement improbable va réjouir le lecteur !
Mais le personnage central de ce roman suédois est sans doute Irma Stern, cette peintre sud-africaine, associée au mouvement des expressionnistes allemands et qui est l'une des premières artistes sud-africaines contemporaines à insérer dans ses peintures les habitants noirs d'Afrique du Sud.
L'association de ces personnages, hautement aléatoire, certains touchants, sympathiques et attachants, d'autres très désagréables et détestables, tous savamment analysés psychologiquement, crée un univers des plus loufoque qui réserve des surprises nombreuses et imprévues. Les dialogues sont particulièrement réussis et hilarants et pleins de bon sens.
Douce, douce vengeance de cet auteur suédois Jonas Jonasson, que je qualifierais de fou, tant ses comédies sont déjantées, est une comédie désopilante très contemporaine qui nous fait voyager de la Suède au Kenya, qui tourne en ridicule le comportement humain et certains maux de notre société tout en livrant des éléments très intéressants sur l'art et le colonialisme.
Entre appât du gain, choc des cultures, haine de l'autre et amour de l'art, ce roman sociétal plein d'humour et de cynisme dans lequel Jonas Jonasson tourne tout en dérision, appelle à réflexion sur de nombreux sujets et notamment sur l'évolution de notre société et la montée des extrêmes.
Si vous avez aimé le Vieux qui ne voulait pas fêter son anniversaire ou L'assassin qui rêvait d'une place au paradis, nul doute que vous serez conquis à nouveau par Douce, douce vengeance : truculent, succulent et intelligent !
Un très bon moment de lecture sans prise de tête !

Lien : https://notre-jardin-des-liv..
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Un commerce comme on n'en verra sans doute jamais, celui de la vengeance, de la douce et subtile vengeance destinée à rendre service à qui désire que justice soit faite dans ce monde de sempiternels conflits, des héros improbables parce séparés au départ de quelques milliers de kilomètres, et que tout oppose, ou presque, un guerrier massai venant parcourir le vaste monde et fouler pour quelque temps le sol suédois, ce qui peut également paraître hautement improbable, dans un récit encore plus improbable. C'est bien là le genre de situations qu'affectionne Jonas Jonasson pour notre plus grand plaisir.

Méchanceté, égoïsme, mercantilisme, appât du gain, racisme, Vengeance, quelques thèmes bien exploités dans le roman, qui côtoient la naïveté, le pacifisme, et par contraste, donnent un magnifique relief à ce récit.

L'écrivain nous abreuvera de répliques comiques à souhait, d'humour noir bien croustillant qui mettront le lecteur à l'affût tout au long de l'histoire.

On y verra également une belle critique de notre société de consommation poussée jusqu'au désir de confort de l'élite Massai.

Un récit fluide que j'ai avalé comme du petit lait, savourant chaque page avec le sourire aux lèvres, et avec un peu de vague à l'âme en refermant cette pépite.

A lire absolument si on aime l'humour et que l'on veut passer de bons moments de lecture.
Lien : http://1001ptitgateau.blogsp..
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On sait que la vengeance est un plat qui se mange froid ...
Prenez un marchand d'art cynique et égoïste, ajoutez une épouse non aimée dont il a divorcé, un fils adoptif dont il ne veut pas, une peintre expressioniste, une tentative de meurtre, un guerrier massaï, un gamin tombé du ciel, un génie de la pub devenu directeur d'une société de vengeance, une chèvre, un peu de médecine, et un "perro que esta bajo la mesa" ...
ET, un inspecteur de police à deux doigts de la retraite, ( lequel a du mal à comprendre comment tout ça se recoupe)
[ Vous aussi ? C'est normal, détendez vous...].
Remuez , ajoutez une pincée de "dinguerie" et d'humour farfelu. Secouez-moi tout ça ...
C'est bon, vous avez tous les ingrédients pour une Douce, douce vengeance...
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Loufoque.... le genre de livre surprenant, déroutant, à se demander ce que l'auteur a fumé !
Je voulais un livre pas prise de tête, tranquille, voire drôle. Honnêtement il remplit son office.
Je ne résiste pas à vous faire un résumé : mettez un marchand d'art Suédois salaud fini, un homme-médecine Masaï qui vit au Kenya, un ex publicitaire reconverti dans la vengeance. Ajoutez un jeune couple. Une chèvre (j'aime bien la chèvre !). Un flic proche de la retraite. Et surtout, surtout n'oubliez pas un tableau de maître et le Kaviar Kalles (mon mari va régulièrement chez Ikea pour refaire son stock !).... Secouez, laissez prendre et savourez, vous êtes dans "Douce, douce vengeance"....
.
Franchement si j'ai passé du bon temps dans ce livre, pour autant je sais qu'il sera oublié.... Sauf peut-être un point essentiel : j'ai découvert grâce à ce roman Irma Stern, peintre sud-africaine de la 1e moitié du 20e siècle, que je ne connaissais pas.
Merci internet : petit surf sur sa vie et son oeuvre.... et découverte qui m'a ravie !
Si j'oublie de livre, aucun regret : j'ai passé un bon moment en sa compagnie, et j'ai découvert Irma Stern !
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Quel plaisir de retrouver la plume si singulière de Jonas Jonasson qui arrive toujours à créer ses histoires à partir de rencontres fortuites entre des personnages atypiques qui n'auraient jamais dû se rencontrer...
Dans ce nouvel ouvrage, nous suivrons le destin d'un homme medecine kenyan, d'un galeriste véreux suédois, d'un professionnel de la vengeance, d'une peintre expressionniste, d'un homme tombé du ciel et d'une jeune ingénue... Alors que des milliers de kilomètres les séparent, il ne faudra pas grand chose pour qu'ils se rencontrent... et que l'on se délecte des conséquences...
Comme pour chacun de ses livres, Jonas Jonasson arrive à m'emporter dans ces histoires rocambolesques qui ne peuvent que faire sourire!

Je tiens à remercier Les Presses de la Cité et Netgalley pour cette lecture agréable et si plaisante qu'il serait une grave erreur de s'en priver!
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Jonas Jonasson ne respecte décidément rien. Il tourne tout en dérision, même la vengeance. Il a une manière bien à lui de railler les pires maux de nos sociétés et des comportement humains, ce roman en est une nouvelle belle preuve.

Tout le monde en prend pour son grade, mais ça ne l'empêche pas de mettre également en avant les belles choses de la vie et les belles âmes. Celles-là auront droit à un régime de faveur, il s'en moquera plus gentiment.

Pour cette fois, le racisme, le nationalisme, la religion, l'avarice, l'égoïsme, la paresse (liste non exhaustive) ou les dysfonctionnements même de la société ; il moque tout avec son humour très personnel.

Il faut aimer son genre de plaisanteries qui joue sur l'absurde des situations et des attitudes, entre bons mots et blagues potaches. Personnellement ça me fait beaucoup sourire. Cette histoire délirante de vengeance ne déroge pas à la règle.

L'auteur suédois est en phase avec son temps, cet égoïsme ambiant qui ne cesse de croître dans les sociétés occidentales, cette agressivité envers l'autre aussi. Sa vision en est cynique mais drôle, pour montrer à quel point ces comportements sont ridicules.

Au point d'imaginer une entreprise qui fait de la vengeance son business. Une affaire qui tourne vite au grand n'importe quoi, pour que l'histoire s'oriente vers les destins de personnages qui n'avaient normalement aucune chance de se rencontrer (mais alors vraiment aucune !).

Le tout, avec l'art comme toile de fond, la peinture tout particulièrement. Parce que les livres de Jonasson mettent souvent en avant ce qui est beau, cette fois-ci l'amour des tableaux, dans toutes leurs dimensions, tous leurs courants. L'écrivain gratte la croûte de nos maux pour faire apparaître la beauté, et tant pis si des personnages sans vergogne ne savent pas la voir.

Au-delà de l'aspect ludique, l'ironie et l'irrévérence de l'auteur montrent vraiment qu'il y a quelque chose qui cloche au royaume de Suède. Mais partout ailleurs aussi, puisqu'il nous emmène jusqu'au fin fond de l'Afrique.

Douce, douce vengeance est une nouvelle farce qui a le bon goût de mettre le mauvais en avant, pour mieux rire de tous nos défauts. Jonas Jonasson fait preuve une nouvelle fois de malice et de drôlerie, avec son non-sens qui en a pourtant.
Lien : https://gruznamur.com/2021/1..
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Quand j'ai vu le titre proposé sur netgalley, je me suis jetée dessus tant j'avais adoré "le vieux qui ne voulait pas fêter son anniversaire".

Je dois dire, qu'au début, j'ai été un peu déçue par la lecture. Il n'y avait pas vraiment d'humour, un paysage loin de celui auquel on peut s'attendre, ici la savane africaine; une succession de personnages sans de réels liens entre eux. Bref, en chroniqueuse consciencieuse, j'ai tout de même poursuivi ma lecture et grand bien m'en a pris car, une fois les présentations faites, je n'ai plus lâché le bouquin !

Victor, assistant dans une galerie d'art, est prêt à tout pour arriver à ses fins : épouser la fille de son patron, abandonner Kevin, le fils qu'il a eu avec une prostituée, à l'aube de ses 18 ans, au milieu de la savane, faire signer de multiples documents à sa femme, Jenny, pour, à la fin, divorcer et hériter du pactole.

Mais lorsque Kévin et Jenny rencontrent Hugo Hamelin qui vient de créer une société de "vengeance douce", les choses vont prendre une toute autre tournure.

Quand à cette bande se rajoute un guerrier Massaï, un policier proche de la retraite et toute une galerie de personnages tous plus loufoques les uns que les autres, on arrive à un tableau hilarant, déjanté, incroyablement drôle.
Les situations cocasses, voire navrantes, se succèdent pour notre plus grand plaisir. Entre rebondissements et situations hallucinantes, on en a pour son argent avec, en prime, la découverte d'une peintre que je ne connaissais pas, Irma Stern.

M. Jonasson, pour ce grand moment de plaisir et de rigolade, merci infiniment.

Merci également aux éditions les Presses de la Cité (décidément j'adore cette maison) et à Netgalley pour cette lecture.
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"La Vengeance est douce, S.A", société où l'on peut se venger pour toute sorte de chose, va être le point de rencontre de différents personnages. Hugo Hamelin ; le propriétaire, Jenny ; jeune fille un peu naïve, Kévin ; orphelin laissé pour compte, Victor Alderheim ; marchand d'art sans scrupules et Ole Mbatian ; homme-médecin au Kénya. Tous veulent se venger mais pour quel raison ?
Avec ce livre, j'ai voyagé entre la Suède et le Kenya. C'est un livre complètement loufoque et plein d'humour ! Ceux qui ont lu "Le vieux qui ne voulaient pas fêter son anniversaire" savent de quoi je parle !
C'était un livre sans prise de tête, après mes dernières lectures aux thèmes difficiles, ça m'a fait du bien 😇 Il y a pleins de situations inattendues et drôle ! Et, j'ai trouvé l'écriture de l'auteur assez original.
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Avec Gilles Legardinier, Jonas Jonasson fait partie des incontournables de la littérature feel good ; des bouquins qui, avant même que vous ne les ouvriez, sont l'assurance de passer un agréable moment, de se vider la tête tout en se musclant les zygomatiques.

Quand vous ouvrez un roman de Jonas Jonasson vous pouvez vous attendre à une galerie de personnages hors du commun. Et le moins que l'on puisse dire c'est que son dernier opus ne déroge pas à la règle.

Direction le Kenya pour commencer, plus précisément la vallée du Masai Mara, où vous apprendrez comment Ole Mbatian le Jeune succédera à son père et deviendra un homme médecine respecté bien au-delà de son village.

Retour en Suède pour faire connaissance avec Victor Svensson, un arriviste et un égoïste aux idées bien arrêtées (et un tantinet arriérées). Il a de grands projets pour lui – et pour la Suède – mais pour ça il va devoir se faire un nom. Se faire embaucher par Alderheim, un marchand d'art jouissant déjà d'une certaine réputation sur la place est une première marche qu'il gravira sans peine. L'étape suivante consiste à séduire et épouser la fille – un peu cruche – du marchand d'art afin de pouvoir légitimement se targuer d'un patronyme plus honorable que le quelconque Svensson.

Le plan de carrière et de vie tout tracé de Victor va être perturbé par un premier obstacle en la personne de Kevin, son fils illégitime et de surcroît noir ! Action, réaction. Problème réglé peu après les 18 ans du garçon… par un abandon pur et simple du rejeton basané au coeur de la savane du Kenya.

De retour en Suède, Victor peut enfin convoler en justes noces avec Jenny Alderheim. La chance lui sourit enfin, peu après les noces beau-papa est emporté par un cancer. inutile dès lors de s'encombrer d'une épouse dont il ne sait que faire. le divorce est réglé en deux temps et trois mouvements en contrepartie d'une pension alimentaire ridiculement basse.

La voie royale s'ouvre enfin devant Victor Alderheim, plus rien ne saurait arrêter son inéluctable ascension. Bin oui, mais non… Kevin a eu la mauvaise idée de ne pas se faire bouffer par les lions, il a été et élevé dans la pure tradition masaï par Ole Mbatian. Sauf que l'ultime rituel de passage à l'âge adulte exige une circoncision… Kevin, tenant à l'intégrité de son appendice, s'enfuit et rentre en Suède. Où il va rencontrer – le monde est petit – Jenny, le coup de foudre est immédiat.

Et c'est ainsi que nos deux tourtereaux vont croiser le chemin de Hugo Hamlin, un brillant homme d'affaire à la tête d'une société spécialisée dans la vengeance. Heureuse coïncidence car Kevin et Jenny ont un vieux compte à régler avec Victor Alderheim. Hugo est loin de se douter qu'en acceptant ce contrat, il met le doigt dans un engrenage aussi infernal que burlesque… plus encore quand Ole Mbatian s'invite dans leur petite sauterie vengeresse !

N'allez pas croire que j'ai fondu une durite et que je vous raconte tout le bouquin… Ce n'est que le début d'une aventure aussi improbable que ses acteurs et il fallait bien que je fasse un topo du casting avant d'entrer dans le vif du sujet.

Casting qui serait incomplet si je faisais l'impasse sur Christian Calander, un inspecteur de police qui, à quelques jours de sa retraite, n'aspire qu'à se la couler douce. Jusqu'à ce qu'il croise le chemin d'un certain Ole Mbatian.

Vous l'aurez compris, comme à son habitude Jonas Jonasson excelle dans l'absurde, son intrigue est totalement improbable et déjantée mais on se laisse entraîner sans se poser de question ; on sourit et l'on rit volontiers d'un humour potache totalement assumé.

Mais sous cette apparente légèreté se cache aussi une ode à l'art en général, et tout particulièrement à la peinture. À travers le personnage d'Irma Stern, une artiste sud-africaine bien réelle qui va se retrouver, bien malgré elle, mêlée à l'intrigue du roman de Jonas Jonasson.

L'auteur invite aussi le lecteur à réfléchir à la montée des extrêmes (qu'ils soient politiques ou religieux), à la différence et à la tolérance. Il le fait sans militantisme mais avec beaucoup d'humanité, et c'est, selon moi, la meilleure façon de faire passer ce genre de message.

Drôle et intelligent, ce roman tiendra toutes ses promesses… et plus encore !
Lien : https://amnezik666.wordpress..
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C'est l'histoire d'un mec qui s'appelle Kevin.
Kevin est un métis, et un fils de pute. Au sens propre du terme. C'est aussi le fils naturel et haï de Victor (galeriste d'art moderne qui déteste la peinture moderne par pure conviction nationale-socialiste) , ainsi que le fils adoptif et adoré d'Ole Mbatian le Jeune (homme-médecine Masaï spécialisé dans la contraception, qui aime bien la peinture moderne mais moins que les oeufs de poisson en tube).
C'est aussi l'histoire de Jenny, ex-femme de Victor et future bru d'Ole Mbatian, ex-nouille au foyer et désormais résolue à faire valoir ses pulsions violentes.
C'est enfin l'histoire d'Hugo, ancien publicitaire reconverti dans la libre entreprise, fondateur de la Vengeance Est Douce S.A., une officine suédoise qui vous fait obtenir réparation moyennant quelques milliers de couronnes, en restant dans la légalité.
Enfin, dans le principe.
Bref, on est typiquement dans une histoire de Jonas Jonasson. Un fatras farfelu foisonnant et futile, du moins en apparence. Une vraie plongée dans les gros défauts de notre époque, sans avoir l'air d'y toucher. Et surtout, surtout, un bouquin hilarant d'un bout à l'autre.
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