L'Analphabète qui savait compter

J'y ai cru, au début. J'ai trouvé tout d'abord le style intéressant, tant dans la manière d'écrire que dans l'aspect quelque peu loufoque de l'histoire, qui n'était pas pour me déplaire. Au contraire... Puis, au fil des pages j'ai commencé à m'ennuyer un peu, ... beaucoup, ...trop... Vraiment trop pour que je continue. Ma lecture a donc pris fin vers la page 200. C'est à peu près à ce stade que l'histoire devient si absurde qu'elle n'en est même plus drôle. Vite passons à autre chose de plus passionnant.

Je n'avais pas apprécié le premier roman de l'auteur, Le vieux qui ne voulait pas fêter son anniversaire, pour son ton, sa construction et l’enchaînement rapide de situations qui se voulaient loufoques, invraisemblables et déjantées. L'auteur en avait trop fait, trop dit au point qu'il n'y avait plus d'effet de surprise ni d'étonnement. La lecture de son premier roman m'avait donc ennuyée. Ne voulant pas condamner l'auteur avec un seul livre, j'ai décidé, pour lui accorder sa chance, de lire son second roman. Mal m'en a pris, j'ai détesté. Il ressemble tant au premier roman que je lui ferai les mêmes reproches: pas de style, pas de talent, pas de surprise, que de l'ennui. L'auteur ne sait apparemment pas faire autre chose que raconter l'invraisemblable. Il a besoin, pour "épater", de tirer les grosses ficelles sauf que ça ne peut fonctionner qu'à petite dose. Sinon, où est l'effet de surprise? Eh bien pour ma part, il n'y en a pas. C'est monotone, c'est lassant, c'est ennuyant. Jonas Jonasson ne m'étonne pas, il me fatigue. Son procédé est apparent, on sait qu'il fait dans le n'importe quoi. On ne s'étonne donc plus de rien et résultat, son livre tombe à plat. L'auteur répétant ici son premier livre, il m'oblige à me répéter moi aussi. Je me permets donc de coller ici la critique que j'ai faite pour son premier ouvrage et qui sied parfaitement au second roman.

" L'auteur, Jonas Jonasson, parie sur une construction abracadabrantesque pour épater le lecteur comme si cela suffisait. "Plus c'est gros, mieux ça passe" a-t-il certainement pensé [...] "Malheureusement" (pour qui?), chez moi ça ne passe pas. Mais alors pas du tout. Je n'ai vraiment pas apprécié la lecture de ce roman qui s'est révélé être d'une grande pauvreté. Au bout de quelques pages, on comprend la logique servie par l'auteur: plus rien n'étonne, rien ne surprend. Ce qui est le comble pour un roman de ce genre qui ne tient que sur une ficelle: une construction farfelue qui veut, par l'enchaînement d'événements plus qu'improbables, créer un effet de surprises et d'étonnements."

Le roman ne peut être conseillé qu'à celles et ceux qui ont apprécié le premier roman et qui veulent le retrouver.
Lien : http://mezelamin.blogspot.fr..

Encore un livre que je n'ai pas réussi à finir ... Trop loufoque, trop rocambolesque, trop peu vraisemblable pour moi ! Nombeka est une analphabète de Soweto, qui, même si sa condition sociale ne lui a jamais permis d'apprendre à lire, son travail et les nombres de seaux qu'elle transporte d'une latrines à l'autre ont développé chez elle une capacité presque irréelle à additionner ou soustraire les chiffres. C'est déjà sur cette note improbable que commence l'histoire ... Une ''rencontre'' avec un ingénieur suédois spécialisé dans la confection de bombe nucléaire va achever ce voyage vers l’irréel : Nombeka va partir pour la Suède et va se retrouver au cœur de négociations politico-économiques qui me dépassent (mais pas elle!).
Bref, quoique bien documenté niveau relations internationales en cette fin de 20ème siècle entre la Suède et les autres pays dont l'Afrique du Sud, je n'ai pas du tout accroché ! Déjà la politique économique ce n'est pas ma grande passion, mais lorsqu'elle est au centre d'une histoire complètement folle c'est encore pire ! C'est peut être mon côté réaliste qui parle mais j'ai besoin de pouvoir croire à l'histoire pour y adhérer et là ce n'était vraiment pas le cas !
Pas emballée donc ! Dommage !

nul nul
Livre sans intéret l'hisoire n'a pas de sans c'est creux il ne se passe rien je le déconseille a éviter j'ai eu du mal a le finir perte de temps

J'avais lu "Le vieux..." mais je n'avais pas réussi à prendre de réel plaisir à cette lecture. On m'avait conseillé le second mais je n'accroche pas dès le départ donc j'abandonne ce qui est rare mais je préfère prendre du temps pour une lecture plaisir. Je réessayerai peut-être dans quelques mois.

Lecture de vacances, certes, mais cela n'ira pas au-delà, et encore, c'est méchant pour les vacances, désolée pour la collègue qui me l'a prêté.
Léger, amusant, déjanté…cela passe facilement au début. On se laisse porter par cette histoire improbable. Mais la seconde moitié m'a lassée, et la fin a été laborieuse…Vite lu, vite oublié.

J'avais adoré "le vieux qui ne voulait pas souhaité son anniversaire" ; mais celui ci un gros pavé de 960 ne m'a pas plus .
L'auteur est il payé à la page ; ça ronronne à tout va rien ne prend une histoire abracadabrantesque. Très difficile d'accrocher
Braves gens passer votre chemin.

J'ai eu beaucoup de mal à le finir, mais par principe je suis allé au bout.
Très ennuyeux. On me l'avait recommandé comme un livre drole et facile à lire. En réalité, je ne me suis surpris à sourire que 2 ou 3 fois (pas beaucoup en plus de 450 pages !). Au milieu de ces 2 ou 3 événements heureux, beaucoup de descriptions sans intérêt, de références géopolitiques réelles et/ou farfelues qui alourdissent l'histoire.
Au final, le rythme n'arrive jamais à s'emballer.
Maintenant, la question: vais je attaquer "le vieux ....." (qu'on me dit être mieux) ? Pas sûr!

N'est pas Paasilinna qui veut .. à trop vouloir en faire, monsieur Jonansson perd son lecteur. En tout cas, j'ai perdu en route Nombeko et son fiancé suédois lors de leurs tribulations qui finissent par être exaspérantes. Et puis, autant l'avouer, j'ai trouvé insupportable - et pourtant je n'attribue pas à l'art ni à la littérature le devoir d'être fidèles à la réalité - cette mascarade qui nie les conditions de vie des africains des guettos. Bon, je n'ai peut être plus d'humour. Sans doute aussi l'humour en littérature est-il un exercice très difficile.

Abandonné après 100 pages car sans aucun interet et je n'y ai pas retrouvé l'humour du précédent