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3,71

sur 1634 notes

Critiques filtrées sur 4 étoiles  
Après ma lecture , j'ai pris le temps de consulter les nombreux et toujours intéressants commentaires des amies et amis babeliotes et j'ai pu constater que si ce roman avait capté l'attention de nombreux lecteurs et lectrices , il avait suscité des avis bien différents , une donnée que j'aime beaucoup , le pire étant l'uniformité des avis , dans un sens ou dans l'autre .
C'est un personnage bien particulier qui va occuper l'espace dans cette histoire . Hulda, brillante inspectrice de la police de Reyjavik .Pourtant , c'est une personne en détresse dont nous faisons la connaissance .Hulda , elle a 64 ans , et la " relève " présentée " comme brillante " , "celle dont les dents rayent le parquet " lui ouvre en grand et sans ménagement la porte vers l'immense et effrayant gouffre que représente " la retraite " . Ayant eu moi - même quelques difficultés à passer du monde professionnel au monde souvent envié mais tout de même un peu redouté de l'inactivité forcée , j'ai vraiment été perturbé par la dureté de ce changement de statut tel que présenté . Tout au long du roman , on partagera avec Hulda le cheminement intellectuel qui affecte et accapare sans cesse ses pensées, faisant naître une foule d'interrogations . Sorte de " fil rouge " , cette période douloureuse fera ressurgir chez notre héroïne des " vieux démons " de sa propre et pas si simple Histoire . Une " sortie " plus que violente du monde professionnel , des interrogations sur soi , un avenir sans grande certitude et pas forcément compatible avec ses qualités et son caractère, on a là une idée du "moral " de notre inspectrice lorsque son supérieur hiérarchique lui offre généreusement 24 heures pour rouvrir un dossier oublié, un dossier bâclé par un collègue bien peu scrupuleux ....24 heures ....24 heures pour remonter le temps , affronter le présent, effleurer le futur . Et dans un cadre des plus hostiles , celui de cette fascinante mais bien peu hospitalière Islande en hiver . Personnellement , vous l'avez compris, j'ai été pris d'affection pour ce personnage de Hulda , dans la mesure où j'ai eu l'impression d'avoir , comme elle , suivi un chemin pas forcément agréable. Ensuite , il y a l'intrigue policière, bien menée, certes , sans grande "envolée" , sans grande surprise non plus ,mais agréable, si on peut s'exprimer ainsi , avec , il faut bien le dire , un dénouement des plus ....Bon , vous verrez , hein , et surtout , n'allez pas directement à la fin...Ce serait un peu ballot...
C'est un ouvrage qui se lit très facilement , dont les chapitres courts donnent du rythme et qui présente différents personnages à différents moments de leur vie .Je ne dirai pas que c'est un roman exceptionnel dans le genre , mais , pour moi , je vous l'ai déclaré , il a eu un impact particulier , j'y ai trouvé un thème qui m'a sans doute un peu détourné de l'intrigue et m'a fait plus m'intéresser à ce changement terrible qu'est le passage à la retraite dans la vie d'un être humain . Et oui , c'est bien la lecture , non ? Chacun doit y trouver sa part .J'ai trouvé la mienne mais je comprends que d'autres aient été un peu " frustrés "
Allez , le confinement n'est , HELAS , pas terminé et je suis certain que les PAL n'ont pas encore dit leur dernier mot .De belles surprises enfin decouvertes....Courage à tous et à toutes et rendez- vous dans les librairies à la fin du confinement .....Ça va être " sportif " mais " bonnnnn!!!"
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Je reste partagé après la lecture du roman de Ragnar Jónasson. Partagé entre plaisir et déception.
L'intrigue commence de façon classique. Hulda, une excellente inspectrice de la police islandaise est mise à la retraite par son chef, contre sa volonté. Il l'autorise, toutefois, de rouvrir un cold case de son choix qu'elle devra résoudre en 24h. Dépitée et en état de choc, elle s'attelle à une enquête sur la mort d'une jeune russe.
Toutefois, si le fil rouge du roman est bien cette enquête, en vérité, les préoccupations de l'auteur sont ailleurs. le passage de l'activité professionnelle à la retraite est très mal vécu par Hulda qui fait le point sur sa vie, et son passé remonte à la surface, souvent douloureux, son enfance, son mariage, sa fille. Et cette introspection émotionnelle la perturbe quand même sans ses investigations.
Deux autres intrigues sont racontées en parallèles, une femme séparée de son enfant et un jeune fille qui fait de la randonnée avec son compagnon. Ces trois histoires vont bien sûrs finir par se recouper.
J'ai pris plus de plaisir à découvrir le passé et les fêlures de l'héroïne qu'à suivre l'enquête policière, qui après un début prometteur piétine quand même pas mal pendant une centaine de pages au milieu du livre. Toutefois, L'auteur a su ménager une fin superbe dont je ne vous dirais rien, mais qui mérite la lecture.
La (petite) déception vient du fait que, malgré tout, ce roman reste superficiel sur ce qui en fait l'intérêt, c'est-à-dire le passé de Hulda. le roman policier ne m'a pas emballé (sauf la fin) et le roman social, beaucoup plus intéressant ici, aurait pu gagner en profondeur. Je dis petite déception, parce que quand même, le roman terminé, le plaisir de lecture prédomine et que j'aurai aimé en avoir plus.
La succession de chapitres courts, voire très courts, dynamise le récit et accélère le rythme de lecture. Ragnar Jónasson écrit de façon nerveuse et la traduction me semble particulièrement réussie.
Un livre qui ne fait pas que du bien, vu les sujets traités, mais qui peut rafraîchir dans la chaleur de l'été.
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Premier tome de la trilogie, ce titre est d'une infinie tristesse. C'est déchirant.
Hulda, femme, inspectrice émérite aux affaires criminelles aura-t-elle connu jamais le bonheur? Hulda a 64 ans se voit mettre à la retraite (forcée? ) par son supérieur qui rajeunit et modernise l'équipe. Il l'autorise toutefois à enquêter sur un dernier cas. Hulda choisira la mort d'une jeune femme russe demandant l'asile et retrouvée noyée. le premier tome d'une trilogie nous décrivant l'anxiété, l'incertitude d'une vie de retraitée alors que toute sa vie active, Hulda l'aura consacrée à son travail. J'ai dit que c'était d'une grande tristesse , une sombre désolation que cette vie qui m'a totalement découragée. Tout au long de cette lecture, je prenais la main de Hulda et je l'écoutais me raconter sa désespérante vie. de la naissance à la retraite j'ai eu l'impression que cette femme n'a eu, quoi, qu'une quinzaine d'années de bonheur ? Son mariage, au début, et la naissance de sa fille. Même au boulot, elle n'a jamais défoncé ce plafond de verre, n'a jamais brisé les codes de ce "boy's club" qu'est la police islandaise. Vous me direz qu'elle n'était pas sociable, engageante ou agréable. Vrai. La plupart du temps , elle faisait cavalier seul. Mais son vécu explique cela, son passé a laissé des cicatrices profondes. Des chapitres courts qui marquent le rythme, une langue simple. Peut-être pas de la "grande littérature" mais une lecture prenante avec un personnage des plus attachants. Oui j'ai appris à connaître Hulda et je l'ai aimé. Beaucoup.
PS: Les titres de la trilogie sont une espèce d'antépisode (préquel), on y remonte le temps T.1 La dame de Reykjavik; T.2 L'ile au secret et T.3 La dernière tempête. Une trilogie qui vaut le coup .
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Il ne lui reste plus que quinze jours à travailler. Elle ne s'attendait pas à cela Hulda, enquêtrice dans un poste de police de Reykjavik depuis des années, mais à soixante-quatre ans passés elle devait bien se douter qu'on allait bientôt se passer d'elle. Alors elle négocie, quinze jours pour s'occuper d'une affaire classée et après elle met les bouts. Petur ce gentil veuf qui lui fait les yeux doux n'attend qu'elle.

Elle l'a bien mérité sa retraite car Hulda n'a pas été épargnée par la vie. Difficile pour une petite fille d'être élevée par une mère seule en Islande dans les années cinquante. Sa vie familiale plus tragique encore l'a vue affronter la disparition foudroyante de sa fille de treize ans puis deux années plus tard la mort soudaine de son mari. Pour Hulda, la Police c'est tout ce qui lui reste alors cette dernière enquête elle ne va pas la bâcler. Plus que quinze jours…encore quinze jours.

Quel beau personnage dramatique que cette Hulda , une enquêtrice au seuil de la retraite, à la recherche d'un meurtrier dans les rues de Reykjavik.

Une femme pas si vieille que cela finalement, qui tente d'oublier sa vie en enquêtant sur la disparition d'une jeune russe. Ragnar Jonasson dont on connait l'efficacité à mener le lecteur par le bout du nez, réussi le pari de nous surprendre encore.

Evidemment la disparition de la jeune demandeuse d'asile va nous emmener beaucoup plus loin mais alors pas du tout où le lecteur, même très connaisseur de polar nordique, l'imaginait.

Car le vrai sujet n'est plus l'enquête mais l'enquêtrice et en suivant pas à pas Hulda nous imaginons quelle formidable héroïne récurrente elle pourrait être.
Lien : http://www.baz-art.org/archi..
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Hulda Hermannsdottir est convoquée dans le bureau de son chef Magnus qui lui signifie brutalement sa mise à la retraite, car un jeune loup brillant a été choisi pour prendre son poste. Elle est âgée de soixante-quatre ans et des poussières, et on aurait bien pu la laisser tranquillement travailler jusqu'au bout.

Elle prend cela très mal, notamment la manière dont on la propulse à la porte, alors qu'elle a toujours bien travaillé, pointilleuse dans ses enquêtes, mais c'est une femme, dans un milieu où le machisme règne en maître, où elle subit depuis longtemps les railleries de ses collègues masculins qui ne se gênent même pas à faire des remarques devant elle. Elle est veuve, sa vie a été compliquée, mais comme elle s'est isolée pour pouvoir résister, on l'accuse de travailler en solo, de n'avoir aucun sens du travail en équipe !

Pour faire passer la pilule, Magnus lui dit qu'elle peut aller déterrer un « cold case » et reprendre l'enquête pour la faire aboutir. Elle choisit d'enquêter sur la disparition d'Elena, jeune Russe en attente dé régularisation, que l'on a retrouvée noyée, et l'inspecteur de l'époque, atteint d'hypertrichose palmaire aigüe, comme toujours, a classé le dossier, sans se donner la peine de creuser, affirmant que c'était un suicide.

L'auteur entretient le suspense en alternant le présent et des évènements antérieures, parfois même très antérieurs) nous racontant l'histoire d'une jeune femme qui s'est retrouvée enceinte après avoir eu une aventure avec un soldat américain, au grand dam de ses parents qui vont tout faire pour la pousser à abandonner le bébé, une petite fille.

Un autre récit vient s'encastrer dans l'histoire : une jeune femme part faire une ballade en montagne, avec un homme en qui elle semble avoir confiance, affrontant une tempête de neige, doudounes, piolets, sac de couchage…

Ce roman m'a plu, j'ai passé un bon moment, car j'ai éprouvé d'emblée beaucoup d'empathie pour Hulda, la manière exécrable dont elle est traitée, dans cet univers machiste, et ces collègues tellement avide de prendre du galon qu'ils en ont « les dents qui rayent le parquet ».

Sa manière de mener l'enquête, avec obstination, notant chaque détail, allant à la rencontre des gens qui ont pu côtoyer Elena, la difficulté d'obtenir une régularisation, pour ne pas être renvoyée dans son pays d'origine, dans un pays dont on ne connait pas la langue…

J'ai aimé aussi toute la réflexion sur la retraite : comment vivre, lorsqu'on a tout misé sur le travail, et supporter la solitude, quand on est veuve, peut-on refaire sa vie, envisager de rencontrer quelqu'un…

Cependant, vous avez dû le sentir, il y a un mais : malgré le suspense que tente d'entretenir l'auteur, j'ai eu l'impression de m'essouffler un peu, de trouver le temps parfois long (quand on commence à compter les pages qui restent, en lisant un thriller, cela devient un peu gênant) et surtout, je n'ai pas du tout aimé la fin, même si elle m'a prise en dépourvu, elle m'a vraiment dérangée, je dirais même choquée …

J'aime beaucoup les polars nordiques, l'Islande, et je me réjouissais à l'idée de crapahuter dans la neige, alors que la canicule règne chez moi, mais j'ai un peu de mal avec Ragnar Jonasson, dont je n'ai pas trop apprécié « Snjor » : je trouvais son inspecteur, peu dynamique et le récit lent. Je préfère Arnaldur Indridason et son inspecteur Erlendur qui n'est pourtant pas un réputé pour sa vivacité…. C'est le premier tome d'une trilogie et je ne sais pas si je continuerai…
Lien : https://leslivresdeve.wordpr..
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Ce pourrait être un thriller nordique classique de bonne facture, sans excès de violence et agréable à lire. Déjà vu. Mais la scène finale donne un coup de fouet au récit et lui permet de sortir du lot.

L'inspectrice islandaise Hulda est en fin de carrière, toujours motivée mais un peu fatiguée par une vie compliquée que l'on découvre peu à peu. Quand son chef lui donne une quinzaine de jours avant de prendre la sortie, cela l'achève. le retraite, c'est pas pour elle. Mais il lui accorde toutefois une dernière mission sans importance avec le suicide d'une immigrée sur une plage.

Celui qui répond au doux prénom de Ragnar - Ragnar Jonasson - a bien des points communs avec le grand Mankell et sa Scanie. Jonasson utilise aussi bien la géographie de la région autour de Reykjavik et a autant d'empathie pour l'être qui souffre. Mankell a abordé le thème de l'immigation (en Suède) dans "Le guerrier solitaire", Jonasson le reprend et l'expose encore mieux.

Un bon policier qui finit par être étouffant dans un pays du froid!
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Un roman policier de facture assez classique, pulsée par une fin totalement inattendue. Hulda, 64 ans, est mise à la retraite par son chef de service qui lui laisse, avant l'arrivée de son successeur, toute latitude de boucler une dernière affaire. Elle décide d'enquêter sur le meurtre d'Elena, une jeune demandeuse d'asile dont on a retrouvé le corps il y a un an. Ses investigations vont la mener où elle ne s'attendait pas...Un récit très plaisant grâce à une écriture fluide et des rebondissements opportuns. Ici, rien de sanglant, tout tourne autour de la psychologie d’Hulda.
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Je n'ai pas lu la série policière de cet auteur islandais ," Dark Iceland", qui semble avoir eu du succès. Ce roman-ci est son dernier, sorti en Juillet, je suis d'ailleurs surprise d'être la première à le chroniquer...

Dans une interview, l'auteur disait avoir voulu mettre en scène une policière presque à la retraite , car cela arrive rarement dans la littérature noire. Voici donc Hulda, qui , à 64 ans, n'envisage pas vraiment d'arrêter de travailler, sauf que son patron lui intime l'ordre de le faire, et comme os à ronger avant son départ, lui propose de rouvrir une affaire classée de son choix, sans penser qu'Hulda va vraiment s'y atteler...

Et la coriace et solitaire Hulda s'intéresse à la mort plus que suspecte d'Elena, une jeune russe en demande d'asile. Elle ne croit pas à un accident ou un suicide. Mais elle n'a que quelques jours pour trouver une nouvelle piste...

Le livre alterne l'enquête actuelle d'Hulda, son enfance douloureuse et atypique et ses tourments de femme et de mère, et ce qu'il s'est réellement passé pour la jeune fille russe et son amie, disparue elle aussi.

J'ai aimé ce personnage d'Hulda , complexe et intéressante, qui a des difficultés de contact, même si elle n'est pas insensible à l'affection de Petur, médecin retraité, veuf comme elle. On sent une souffrance toujours présente en elle. Et justement , les révélations à ce propos sont terribles, comment a -t-elle pu ne pas se rendre compte ? C'est cet aspect qui m'a dérangée.

Cependant, j'ai apprécié l'enquête,l'aspect psychologique et les descriptions des paysages islandais, dans la région de la capitale.

La fin est surprenante et insolite, quant au destin d'Hulda....je vous laisse la découvrir vous-mêmes !

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Premier volet d'une trilogie, qui sera suivi de « L'île au secret » puis de « La dernière tempête ».
La fin de cet opus est si surprenante et inhabituelle que je me demande de quoi sera fait le deuxième volet !

L'inspectrice Hulda n'en a plus que pour quelques semaines avant de prendre sa retraite. Passionnée par son métier, elle se désole de le quitter à 65 ans, même si elle n'a pas gravi les échelons qu'elle méritait et ainsi profiter d'un train de vie un peu plus confortable. Se sentant poussée vers la sortie, elle résiste jusqu'au bout en reprenant un dossier classé sans suite : une jeune émigrée Russe est retrouvée assassinée alors qu'elle venait d'apprendre que son dossier d'intégration était accepté.

Au crépuscule de sa vie professionnelle et tout en se questionnant sur un futur incertain, Hulda se remémore les grandes lignes de sa vie, son mari, sa fille, disparus dans des circonstances tragiques. Circonstances que l'on découvrira mais… chaque chose en son temps.

J'ai beaucoup aimé le personnage d'Hulda qui me reste plus en mémoire que l'enquête à vrai dire. J'étais triste pour elle et avais parfois envie de la secouer.
Mais c'est un très bon roman, plus centré sur l'héroïne et sa personnalité. Sa dernière enquête la rattrapera de manière fulgurante. Je n'en dis pas plus, c'est à vous à le découvrir. Quant à moi, sans hésiter, je plonge dans le deuxième volet.
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Avec le titre, on pense tout de suite à un banal polar islandais, mais où le roman innove, c'est que le personnage principal est une femme, et même une femme dans la soixantaine.

Elle prévoyait de prendre sa retraite dans la prochaine année, mais c'est quand même un choc quand son patron lui annonce qu'elle a deux semaines pour quitter son bureau avant qu'un jeune inspecteur prenne sa place.

C'est une inspectrice un peu désabusée, qui a l'impression de n'avoir jamais fait partie vraiment du groupe, se sentant exclue des gars de la police. Mais cela ne l'a pas empêchée de bien faire le travail, avec minutie et entêtement. Même si on lui montre la porte, elle décide de faire une dernière enquête, de ressortir le dossier d'une affaire non résolue et d'y consacrer ses derniers jours de travail.

Un bon polar nordique, une atmosphère d'Islande et pour bien terminer le tout, une fin surprenante.
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