Ça fait marrer les oiseaux qui s'envolent

Je remercie énormément Dominique Jonin pour l'envoi, en service presse, de son roman Ça fait marrer les oiseaux qui s'envolent.
Louise obtient un poste d'assistante de production à la rédaction de France 3... à Mulhouse ! Adieu Paris... Bonjour l'Alsace ! Elle pense avoir touché le fond, toutefois peu à peu elle se fait à sa nouvelle vie.
Jusqu'au jour où... elle se met à voir... des sosies partout ! Cela commence par le sosie de Francis Cabrel, qu'elle voit à travers son petit ami Romain. En plus, il parle en chanson, c'est insupportable.
En ville, Louise rencontre des centaines d'autres sosies de célébrités de la chanson française : Michel Sardou, Véronique Sanson, Patrick Bruel, Herbert Léonard, La Compagnie Créole, etc… Ils sont tous là, mais il n'y a qu'elle qui les voit !
Louise serait-elle devenue folle ?
Lorsqu'elle apprend que dans un petit village des Vosges, un journaliste à la retraite affirme vivre entouré de sosies d'acteurs français de l'après-guerre, elle décide de lui rendre visite. .. « Est-ce que ce monde est sérieux ? »
Ça fait marrer les oiseaux qui s'envolent est un roman feel-good totalement loufoque et... ça fait du bien :)
J'avais envie d'un roman léger, qui me distraie et cet ouvrage a parfaitement convenu. Je l'ai lu d'une traite, et j'ai adoré ma lecture. Qu'est ce que j'ai ri :)
C'est original, l'histoire est totalement inédite.
Quelle bonne idée de faire voir des sosies à la pauvre Louise, totalement désespérée surtout qu'elle n'est pas vraiment amatrice des chansons françaises,qui plus est des années 1980. C'est le genre de musique que j'apprécie, j'ai reconnu quasiment toutes les paroles des chansons présentées dans ce roman. Cela m'a fait super plaisir quand Louise a croisé le sosie de Patrick Bruel, dont je suis fan.
Je me suis totalement laissé prendre par l'histoire. C'est très bien écrit, fluide, et absolument pas prise de tête. On passe vraiment un bon moment avec Louise, ses proches, les sosies.
C'est avec plaisir que je mets un énorme cinq étoiles à Ça fait marrer les oiseaux qui s'envolent, que je recommande sans aucune hésitation.

Et voilà, je viens de lire mon premier roman feel-good. Depuis que j'entendais parler de ce genre littéraire assez prisé par les lecteurs, il fallait bien que je m'y mette.
Louise, assistante de production de fr3 est mutée à Mulhouse. C'et une passionnée de musique anglo-saxonne qui d'un coup voit des sosies de chanteurs français partout et pour couronner le tout le tout leur dialogue est agrémenté de paroles de leurs chansons. Sa santé mentale est-elle en danger ?
Dominique Jonin possède un style fluide et nous offre un court récit qui se lit facilement. Elle possède une énorme culture musicale malheureusement pour moi, autant une mélodie m'emporte dès les premiers accords autant les paroles passent bien souvent aux oubliettes.
Me sentant perdue à la fin du roman, j'ai été voir les autres chroniques qui sont enthousiastes, en fait ce livre n'était pas pour moi, il se lit très bien mais je n'ai rien ressenti.
Merci à Dominique Jonin pour ce SP.

ça fait marrer les oiseaux qui s'envolent. Dominique Jonin.

Tout d'abord un très grand merci à Dominique Jonin pour m'avoir proposé de découvrir son roman. Un roman atypique où il est bon de surtout ne pas raison garder et de de se laisser simplement guider par Louise.
Louise est catastrophée quand, nécessité oblige, elle doit quitter Paris pour aller vivre et travailler à Mulhouse....
La vie lui réserve quelques surprises. Beaucoup de rencontres l'attendent , d'excellentes pour certaines, des perturbantes pour d'autres. Et surtout Louise va à son corps défendant devenir une spécialiste des chanteurs français des années 70/80 ...et puis, pourquoi y a t'il autant de sosies d'eux dans les rues de Mulhouse?
Si vous aimez découvrir une nouvelle plume, si vous avez envie d'une lecture alliant humour et cocasserie alors ça fait marrer les oiseaux qui s'envolent est le livre qu'il vous faut.

C’est le titre qui m'a tout de suite attirée. En le lisant, je n'ai pu que fredonner le titre de la chanson de Francis Cabrel. En plus, c’est mon chanteur favori, je ne pouvais que succomber. La couverture a fini de faire le travail, je la trouve gaie et pétillante et elle représente bien tous les éléments qui peuplent cette histoire.

Je ne vais pas trop revenir dessus, le résumé le fait déjà bien assez et ce serait dommage de ne pas découvrir ce roman comme a voulu le faire l'auteur. J'ai donc fait la connaissance de Louise qui vient d’emménager à Mulhouse. Elle travaille pour la télé France 3. Dans le train, elle fait la connaissance d'un jeune homme, Romain, qu'elle rencontrera encore fortuitement plusieurs autres fois. Le coup de foudre a lieu et ils emménagent ensemble. Tout semble aller pour le mieux pour elle jusqu’à ce qu'un petit matin elle voit en son compagnon Romain le sosie de Francis Cabrel, même coiffure, même moustache, mais le pire de tout est que dans chacune de ses phrases il cite les paroles d'une chanson de l’artiste. Louise, en se rendant à son travail, se rend compte qu’elle est entourée de sosies de chanteurs qui parlent tous en citant des chansons. C’est peut-être marrant au début, mais à la longue, ça commence à l’énerver et à l'agacer. Elle va ainsi mener une sorte d’enquête pour comprendre ce qui a bien pu se passer, et surtout pourquoi elle ne voit que des chanteurs des années 80. Elle n'est pas au bout de ses surprises.

Et moi aussi, j'ai été étonnée de là où a bien pu m'emmener l’auteur. J'ai suivi avec beaucoup de plaisir cette histoire que j'ai trouvé très originale. Et les dialogues ont dû occasionner de gros casse-tête pour faire correspondre le sens des paroles avec le sujet de la conversation. C’est un point de ce roman qui m'a le plus épatée.
Louise est une femme attachante. C’est l’héroïne et la protagoniste principale de l’histoire. Au début, je pensais qu’on allait retrouver plus souvent le personnage de Romain mais il est beaucoup plus effacé. Tout repose sur les épaules de Louise. C’est somme toute assez logique, car Romain ne se rend compte de rien, pour lui, tout est logique et il parle normalement. Les recherches sur les causes de ces troubles vont être menées tambour battant par la jeune femme. Je me demandais surtout comment l'auteur allait résoudre cette énigme. J'avais peur d’être déçue par les révélations finales, et ce ne fut pas le cas, bien au contraire. Je les ai trouvées tout aussi originales que le reste.
Le style de Dominique Jonin est fluide, sans lourdeurs dans les descriptions, l'histoire se laisse lire sans accroc. J'ai aimé les titres des chapitres se référant eux aussi à des chansons que je ne pouvais m’empêcher de fredonner. C’est un livre très participatif. Mon seul bémol irait peut-être justement à un peu trop de références musicales dans les dialogues, me faisant parfois perdre un peu le fil. Il faut dire aussi que j'ai eu tendance à entendre la musique dans ma tête, ce qui n’arrangeait pas pour la compréhension. Mais cela ne m'a pas plus dérangée que cela, et surtout ne m'a pas empêchée de poursuivre ma lecture jusqu’à la fin.

Je ressors très satisfaite de cette lecture, originale, drôle, fraîche, légère. L’idéal pour cette période de vacances. Elle m'a fait passer un bon moment, très divertissant puisque je m'amusais à chercher à quelle chanson ou à quel chanteur correspondaient les paroles, lorsque leurs auteurs n’étaient pas encore révélées. Je pense que l'auteur n'a oublié de citer personne, vous retrouverez tous les grands qui ont habité nos radios pendant les années 80.
Je vous conseille ce livre si vous avez envie de vous amuser. Il n'est pas très long et se lit facilement, l’idéal pour la plage ou le transat.

Tombe la neige au pays des cigognes. Phénomène climatique ? Faille temporelle ? A la suite de cet épisode météorologique subit, Louise est victime d'effets secondaires magiques et nostalgiques. Elle voit, -non pas des nains-, même si la région s'y prête, mais partout, des sosies d'artistes des années quatre-vingts. Et les répliques de ces célébrités, auxquelles se mêlent les paroles de leurs chansons, créent des situations cocasses.
Nonobstant, à force, cette persistance d'apparitions et de références musicales perturbe sérieusement le quotidien de l'héroïne qui pour s'en sortir se voit contrainte de mener une enquête très spéciale et délicate.
Ecriture fluide, humour à fleur de plume, il n'y a pas que les oiseaux qui se marrent à la lecture de cet agréable roman de Dominique Jonin, qui se lit avec plaisir et bonne humeur. Ça fait chanter les abeilles, et danser les écureuils, ça rajoute des couleurs aux couleurs de l'arc-en ciel. C'est bon pour le moral, c'est bon, bon.

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