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j'ai fait une belle découverte avec ce roman. Elle m'a fait connaitre l'univers des otoko geisha qui étaient des hommes dans le japon du 18e siècle.
Ce roman a été présenté au club de lecture de la bibliothèque de Tubize le vendredi 9 décembre par Isabel.
Lien : https://clubdelecture.tubize..
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Ce roman nous emmène dans le Japon de l'ère Edo, et nous fait voyager dans un univers lointain et magnifique.

J'ai vraiment beaucoup aimé cette histoire, dans ce pays qui me fait rêver depuis des années. On apprends le meurs de cette époque en ce qui concerne les grands Seigneurs, les Otoko Geisha, les concubins, ... On voit que l'auteure s'est intéressée à cette période pour nous en parler du mieux possible, même si le contexte historique n'est pas énormément développer, ça ne gène pas la lecture de cette histoire.

Le monde des Geisha est assez fascinant et en apprendre plus sur ce sujet est vraiment intéressant et agréable.

La première partie de l'histoire est surtout consacrée à Mikio et son nouveau maître Akana et leur relation de soumission. Puis un événement perturbateur va arriver et les chose vont se dérouler rapidement et Mikio va devoir faire des choix pour savoir lequel des deux frères va finir par gagner son coeur.

J'ai beaucoup aimé le déroulement de l'histoire avec certains passages plus dramatiques (qui ont eux raisons de mon coeur d'artichaut). En ce qui concerne la fin, elle n'était pas vraiment prévisible, mais j'avoue que j'ai eu une petite idée de ce qui allait se passer, même si ce n'était pas exactement ce à quoi j'avais pensé.



La plume de l'auteur est très belle et délicate et donc on est face à une oeuvre qui n'est pas vulgaire, malgré les nombreuses scènes de sexe. En effet, Eva Justin arrive à trouver de belles métaphores japonisantes pour parler des parties génitales. Ce fût assez surprenant au début, mais on s'y fait très rapidement.



En conclusion, une lecture très agréable et sympathique à lire.
Lien : https://imeliodas.blogspot.c..
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Excellent!!! Si l'envie de replonger dans l'univers des Samouraïs au Japon des es années 1600. le personnage principal Otoko est un jeune garçon touchant sensible mature et vous parlez des personnages secondaires qui sont tout aussi attachant. Je pourrais aussi parlé de la description des paysages des personnages...mais non Lisez le
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Je ne suis pas une habituée des récits historiques et encore moins du Japon pourtant cela fait un bon moment que j'avais envie de me lancer dans cette histoire et de découvrir ce qu'elle renfermait.

Je suis heureuse d'avoir franchi le pas et ravie d'avoir cette curiosité littéraire qui me permet de me laisser tenter par de nouvelles expériences, car Otoko Geïsha est un roman qui m'a surprise, qui m'a fait voyager dans des contrées lointaines à une époque particulièrement fascinante.

Ce que j'aimerais dire en tout premier lieu c'est qu'il faut commencer cet ouvrage avec l'esprit ouvert et sans aucune barrière. En effet, ce texte à de nombreux atouts, mais présente également une situation un peu plus complexe que celles qu'on a l'habitude de parcourir. Il me semble, alors, important de s'y plonger sans a priori et d'aborder ce thème librement.

Ceci étant dit, j'ai passé un très agréable moment en compagnie des personnages d'Eva Justine. J'ai été touchée par la beauté de son histoire, par la douceur, la délicatesse et la passion que s'en dégage. Étant novice du genre, je n'étais pas totalement convaincue d'apprécier tous les aspects de ce roman, mais c'était sans compter sur le talent de l'autrice qui n'a eu de cesse de m'enchanter.

L'autrice ne se contente pas de nous offrir une romance riche en émotions et en sentiment, elle nous décrit parfaitement l'environnement dans lequel évoluent ces hommes et ces femmes et fait en sorte de nous immerger totalement dans son univers afin que l'on prenne entièrement part au récit. J'ai apprécié les détails qu'elle apporte, cette façon presque poétique qu'elle a de nous conter les aventures de Mikio, Akana & Kaori. Et je me suis immédiatement prise d'affection pour eux malgré les difficultés rencontrées, leurs vécus et les obstacles qui se dressent sur leurs chemins.

Otoko Geïsha a été une bouffée d'oxygène parmi mes lectures. Ce livre sort de l'ordinaire et m'a totalement dépaysée. Je me suis sentie intriguée, titillée et captivée par ce nouveau monde qui s'est ouvert à moi. Je ne suis bien sûr pas devenue une spécialiste du Japon de cette époque, mais Eva Justine m'a donné envie de m'y intéresser.

Je pars dès à présent à la découverte de Kitsune qui j'en suis sûre sera à la hauteur de ses prédécesseurs.
Lien : http://www.voluptueusementvo..
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« Otoko Geisha » d'Eva Justine est un livre lu depuis un certain temps déjà. Découvert grâce à la grossop de Bragelonne, j'ai trouvé ce livre divertissant. L'histoire du roman se situe dans le Japon du18 ième siècle, une période de traditions, où l'homosexualité était permise même si la descendance primait.

L'ouverture des maisons de thé dans les quartiers de plaisirs en 1712 marque le début du métier de geisha. Au début, ils sont l'équivalent des bouffons du Moyen-Âge, ce sont des hommes, dont le travail est de divertir, par des chants et de la musique, les clients des maisons de thé. Dans les années 1750, les femmes deviennent plus nombreuses que les hommes. Pour s'en différencier, les hommes prennent le nom d'otoko geisha. À partir de 1800, toutes les geishas étaient des femmes. Un otoko geisha tout comme une geisha ne se prostituent pas. Ils n'ont pas obligation de donner leurs corps aux maitres, qui les emploient en général pour les aptitudes artistiques, écriture, chant, conversation et autres capacités agréables.

Mikio est un otoko geisha à l'apparence androgyne, il a été éduqué à satisfaire les désirs de ses clients. Il aimerait quitter son rang d'otoko geisha pour devenir concubin et vivre en harmonie totale avec un homme. Objectif difficile à atteindre.

Bien sûr, c'est un livre érotique M/M avec des scènes sensuelles et romantiques mais ce que j'ai aimé dans ce livre, c'est la douceur et la poésie des mots.
Certains chapitres ont pour titre des proverbes japonais qui référencient des rituels spécifiques nippons. le roman est parsemé de belles métaphores sur la vie. J'ai apprécié les descriptions des paysages également.
Une belle découverte.
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J'ai beaucoup hésité avant d'acheter ce livre ; j'avais peur d'un de ces romans soi-disant historique dont le cadre ne fait que servir de prétexte à des scènes porno plus ou moins bâclées. J'ai finalement été très agréablement surprise par ma lecture, et elle m'a captivée du début à la fin.

Nous suivons Mikio, un homme geisha. Je croyais que c'était une invention de l'auteur, en fait il en existe bel et bien même s'ils ne sont pas très nombreux ; à ce jour, ils sont cinq au Japon. Mikio, donc, veut s'établir dans la société. Pour cela, une seule solution : trouver un protecteur riche et influent, ce qui n'est pas toujours chose facile. Heureusement pour lui, il réussit à se faire engager par le seigneur Akana Fujiwara no Akimitsu.
Akana est très différent de Mikio (tout à fait normal vu leur différence de statut). Il est riche, influent et, surtout, dominateur dans la vie comme au lit. Il demande donc une soumission totale, ce que Mikio n'a pas trop de difficultés à lui accorder. Mais le seigneur est volage, peut-être trop, et une nouvelle venue risque de tout changer. Sans oublier qu'un autre homme s'intéresse à notre otoko geisha.
Kaori, enfin, est le frère jumeau d'Akana. Mikio le fascine et la réciproque est vraie tant Kaori, malgré leur ressemblance physique, est différent d'Akana. Leurs caractères sont pratiquement opposés ; autant Akana semble ne pouvoir jamais éprouver de gêne, autant Kaori paraît beaucoup plus calme et discret.

Eva Justine sait manier sa plume avec talent. Elle introduit tranquillement ses personnages et nous dévoile, sans se presser, leurs différentes facettes. Elle sait nous faire voyager avec des descriptions simples mais pas trop courtes et qui fascinent sans être trop longues. Nous avons un triangle amoureux et, même s'il n'est pas très surprenant, il se révèle avec douceur.
Car, oui, c'est vraiment de douceur qu'il est question, malgré toute la passion qu'on retrouve aussi dans ce livre. Osez vous plonger dans ce très bel univers, vous ne le regretterez pas.
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Il y a parfois des romans qui vous font voyager à travers des paysages qui vous attirent mais qui restent inaccessibles de par leurs distances et de la somme qu'il faut dépenser pour vous y rendre. Entre un récit respirant la beauté du Japon et une romance aux personnages doux, Otoko Geisha est l'un de ces voyages d'évasion que je vous propose de découvrir.

Otoko Geisha est signée par Eva Justine, romancière française née en 1962.Avant de se consacrer à l'écriture de romans, elle a exercé le beau métier d'artiste peindre. Son premier roman, Deux annonces pour un coeur, est paru en 2016 avec une romance se déroulant dans les paysages glacés (mais sublime) de l'Alaska. Elle vit actuellement dans le Sud-Ouest de la France avec son mari et ses deux fils.

L'histoire de Otoko Geisha et comme une fable qui nous emmène au coeur du Japon, à la découverte des arts de l'écriture, du chant et de la conversation à travers le personnage de Mikio, un otoko geisha. Mais qu'est-ce bien donc qu'un otoko geisha. Sous cette appellation se cache la version masculine d'une geisha, que l'on connaît tous notamment grâce au roman Geisha de Arthur Golden. Les geisha sont des dames de compagnie qui consacre leurs vies à la pratique artistiques raffinées des arts traditionnels japonais pour une clientèle très aisée. Mioko en est donc la version mâle. Après avoir été licencié de son dernier poste de "compagnie", le jeune homme va se présenter à va se Akana Fujiwara no Akimitsu qui lui demandera tout un tas de services, même les plus intimes et les plus extrêmes (voir curieux). le jeune homme va devoir apprendre à aimer et respecter ce maître, que seule la rencontre du frère jumeau de ce dernier, Kaori, viendra troubler notre jeune Otoko.

Avant de commencer, je tiens à préciser que je n'ai jamais lu Geisha, ni même vu le film, mais j'ai déjà vu des reportages sur cet art particulier japonais que je trouve troublant et fascinant pour plusieurs raisons. C'est donc grâce à la dernière #GrosseOP organisée par Bargelonne, Milady et Castelmore que j'ai vu ce titre passer dans les offres à 0.99 €. Séduite par la quatrième qui parlait d'un homme geisha, je me suis donc laissée tenter. Puis, je lis très très peu de romans se déroulant en Asie, alors que je trouve que les paysages sont magnifiques et que les différentes cultures m'attirent énormément.

Commençons par les personnages qui sont vraiment le fer de lance du récit. Nous avons Akana, qui à travers sa description et sa rencontre avec Mioko semble couver une certaine domination possessive voir froideur. Pourtant au fil des pages, on découvre qu'il n'est pas forcément ce qu'il paraît être et que sous son aspect de "dominant" se cache un homme bon et complexe, dont les choix m'ont parfois laissé perplexes. En face de lui, on découvre Mioko, un homme sensible, aimant, cultivé et digne qui cherche la meilleure vie possible pour lui. Je me suis vraiment attachée à lui, ayant parfois peur que sa vie actuelle ne le heurte un peu trop. Comme une maman qui couve son enfant, alors qu'en fait il arrive très bien à se débrouiller seul ^^. On a ensuite Kaori, le frère jumeau de Akana, qui est a été une belle rencontre également de par sa personnalité très différente de celle de son frère, qui ne va pas se gêner pour venir empiéter sur les « plates-bandes » de son frère en ce qui concerne son attirance pour Mioko.

Les relations entre les personnages sont bien amenées, toutes en pudeur et sensualité grâce à l'écriture de Eva Justine qui confère au roman un côté proche de la poésie. J'ai trouvé sa façon de raconter très rafraîchissante, et sa description des paysages sublimes qui m'ont permis de voyager sans avoir à dépenser plus de 0.99 € (même EasyJet ne peut faire mieux^^). On y apprend aussi des mots en japonais pour qualifier tel ou tel objet ou lieux, ce qui a mes yeux est un plus. On sent que l'auteure à chercher à ne rien oublier, sans pour autant entre dans des détails inutiles qui auraient alourdi le récit. Les scènes érotiques sont très simples, fascinantes et ne sont pas du tout vulgaires.

En conclusion, Otoko Geisha est une lecture qui m'a tout de suite captivée et transportée dans un univers lointain et magnifique. Eva Justine propose une histoire d'amour de la culture japonaise, des arts mais aussi du corps et des coeurs, sans jamais franchir la ligne du vulgaire. Je recommande donc cette lecture à toute personne voulant découvrir une histoire touchante qui vous laissera certainement un très bon souvenir, et une envie de partir à la découverte du Pays du Soleil Levant.
Lien : http://wp.me/p8tDdS-22I
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Du point de vue du scénario, c'est assez classique. Un triangle amoureux qui se dessine très rapidement. Ce qui est intéressant, c'est de se demander ce qu'il adviendra, qui gagnera le coeur de Mikio, qui aimera sincèrement ce bel androgyne, avec qui il finira sa vie, ou au moins ce roman. le dernier tiers du roman est le plus palpitant en ce sens. La première partie déroule une relation de soumission entre un maître et son serviteur, sous l'oeil jaloux et peut-être amoureux d'un frère jumeau. L'arrivée d'un personnage secondaire manipulateur change la donne et rend le dénouement totalement imprévisible. Et puisqu'on parle du dénouement, je dois dire qu'il m'a vraiment séduite. La façon dont Mikio arrive à réaliser son rêve, avec l'aide de beaucoup de chance il faut l'avouer, est touchante, et la fin est ravissante.

Je reste pourtant persuadée qu'avec moins de scènes chaudes, l'histoire aurait gagné en intensité. Sans cela, j'aurais vraiment eu l'impression de lire un roman écrit par un auteur japonais. Je pense que la formation artistique de l'auteur a une influence réelle sur son style d'écriture, très poétique en dehors des scènes de sexe. Il était agréable de découvrir l'évolution des personnages et les liens qui les unissaient sous une plume aussi charmante.

Conclusion : ♥♥♥ Bien que je n'ai pas du tout adhéré au très grand nombre de scènes érotiques, j'ai quand même pris plaisir à me balader dans le Japon ancien, en suivant les pas gracieux de Mikio et la lutte entre les frères. Ce n'est pas un livre exceptionnel mais il est plutôt divertissant. C'est un petit voyage dans le temps, agréable mais pas transcendant, qui aurait mérité moins de nudité et plus de sentiments.
Lien : http://sweetie-universe.over..
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Je dois dire que je ne connaissais pas du tout l'existence des geisha mâles, aussi étais-je curieuse de lever le voile sur ce mystère. Pari réussi pour l'auteure puisque je me suis laissée transporter dans ce Japon féodal du début du XVIIIème siècle, cela change agréablement des romances historiques se déroulant habituellement dans les Highlands ou dans l'Angleterre victorienne (dont l'époque n'est qu'un prétexte et pour laquelle le contexte historique est très souvent trahi - je parle surtout des romances anglo-saxonnes, car pour l'instant, je trouve les romances historiques écrites par les auteures françaises d'un niveau bien supérieur !!). Comme je ne connais rien (ou presque) au Japon ou à l'époque où est censé se dérouler le récit, je ne pourrai donc avoir un regard critique quant à cet aspect-là. La seule chose que je peux vous dire, c'est que la plupart des chapitres ont pour titres des proverbes japonais et que l'auteure fait régulièrement référence à certains rituels et titres spécifiques au Japon, nous donnant l'impression de vivre à cette époque. On sent que l'auteure s'est documentée sur l'histoire et la civilisation, même si on aurait aimé que le contexte historique et culturel soit davantage fouillé et développé.

«Les mots que l'on n'a pas dits sont les fleurs du silence.»
(Chapitre 5)


Concernant l'intrigue amoureuse, j'avoue à un moment avoir eu peur que l'on s'achemine vers un énième triangle amoureux (et de plus, mettant en scène deux frères), mais finalement, l'auteure nous surprend en donnant à son histoire une direction presque inattendue. J'ai beaucoup aimé les personnages de l'histoire : bien qu'ils soient très stéréotypés (Mikio, l'amant docile et sentimental, Akana, le maître pervers et autoritaire, Ling, le serviteur loyal et sage, Kimi, la courtisane magnifique mais fourbe, Kaori, l'amoureux transi...), ces clichés ne m'ont pas du tout dérangée, au contraire, je trouve qu'ils donnaient au récit la touche onirique d'un conte.

«Fleur tombée ne retourne jamais à sa branche.»
(Chapitre 19)


Quant aux scènes érotiques, elles sont très sensuelles et décrites de manière fort poétique : en effet, l'auteure utilise des métaphores japonisantes pour faire allusion à l'acte, si bien que les demandes parfois très inventives d'Akana, ne sont jamais gênantes bien longtemps! ^^

«Si tu veux commencer une chose, envisage d'abord sa fin.»
(Chapitre 22)



En bref :
Les + : une écriture douce et poétique ; un dépaysement délicieux ; des personnages attachants
Les - : une description trop superficielle de l'époque et de la culture japonaises malgré les références japonisantes ;
Lien : https://parthenia27.blogspot..
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J'ai un peu ouvert ce roman par hasard. Vous savez la magie des réseaux sociaux, vous voyez un post passer puis un autre et au bout d'un moment la curiosité se mêlant vous finissez par regarder le résumé et par être tout simplement tenté.



Je ne suis pas une pro du genre M/M. J'en lis à l'occasion et j'ai eu la chance de corriger certains manuscrits mais ce n'est pas un thème qui m'attire forcément.



Mais j'ai passé un très bon moment avec cette lecture. J'ai adoré l'époque dans laquelle évolue les personnages d'Eva Justine. Mikio est pleinement accepté par la société, son rôle est de donner du plaisir quand il entre au service du seigneur Akana il ne s'attendait pas à ressentir autant pour lui. En effet son nouveau seigneur lui demande une totale soumission et le jeune Mikio se laisse emporter par ce nouvel univers. Là où sa relation se complexifie c'est lors de la rencontre avec le jumeau d'Akana, Kaori. A la fois semblable et pourtant son opposé dans ses rapports.



Ce trio amoureux est entouré d'un univers raffiné, où se mêle la poésie et de belles métaphores sur la vie. J'ai pris beaucoup de plaisir à lire un roman doux. Alors bien sur l'histoire reste assez prévisible mais je n'attendais pas une surenchère de rebondissements. On se laisse emmener et attendrir par nos héros.



Pour moi les points forts de ce roman sont très certainement la douceur dans le style de l'auteur qui transparait réellement. J'ai aussi vraiment adhéré à l'époque et la description qu'elle en fait, particulièrement dans l'esthétique de la culture asiatique.



Une jolie histoire qui semble plausible et qu'on lit rapidement sans voir tourner les pages.
Lien : http://followthereader2016.w..
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