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sur 1477 notes

Critiques filtrées sur 1 étoiles  
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bla bla blablabla blabla blablablabla

J'ai rendu les armes à l'aménagement avec le peintre à Berlin. Que de mots pour ne rien dire !
J'ai essayé pour en apprendre un peu sur le Mur, mais Kennedy est certainement payé au mot, et là trop c'est trop, surtout quand ils sont inutiles...

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Douglas Kennedy est-il surestimé ? C'est un peu ce que je pense à l'issue de la lecture de Cet instant-là, reçu dans le cadre de l'opération "Masse critique" de Babelio. J'attaque le morceau avec une certaine Vorfreude (pour reprendre un terme allemand découvert dans le roman, qui désigne l'anticipation de la joie), ou du moins avec bonne humeur et dans de relativement bonnes dispositions. Et pourtant ...

Thomas Nesbitt, écrivain de récits de voyage, sous le coup d'une procédure de divorce qui l'accable, reçoit soudain un paquet qui le replonge dans sa prime jeunesse. Il se remémore alors sa période berlinoise, à ses débuts, alors que son éditeur lui avait commandé un bouquin sur la ville divisée.

Dans l'avion, une Berlinoise lui raconte l'histoire de son passage in extremis à l'Ouest lors de la nuit de la construction du mur. le cadre est posé : Berlin est "une espèce de boîte géographique" ; c'est une ville "peuplée de réfugiés", où Thomas Nesbitt fait son trou, lui qui a toujours voulu s'échapper.

Dans les couloirs de la radio de propagande occidentale Radio Liberty, il rencontre la traductrice Petra Dussman, une "Ossie" ayant récemment rejoint l'ouest. C'est le coup de foudre, et, très rapidement, les tourtereaux filent l'amour parfait, envisagent le mariage et même la conception d'un enfant.

C'est compter sans le retournement de situation qui intervient, comme (très) souvent chez Douglas Kennedy, environ à la moitié du livre, dont la construction est, du coup, assez sommaire - quoique le récit à deux voix, par journaux intimes interposés, soit, lui, assez original.

Toutefois, l'histoire d'amour dans le fond assez guimauve (pour ne pas dire carrément gnocchi), avec des personnages manquant un peu d'épaisseur et de subtilité (surtout en sortant d'un opus de Joyce Carol Oates) aura eu raison de moi. Certes, l'homme est cultivé, et plutôt sympathique. Sans constituer cependant le génie littéraire absolu, évidemment. Et, du reste, on ne retrouve pas l'efficacité d'un L'homme qui voulait vivre sa vie ou l'humour d'un Piège nuptial.

Bref, quand Douglas Kenndey s'aventure à faire du roman d'espionnage ... on peut certainement trouver mieux (encore John le Carré décline).
Lien : http://le-mange-livres.blogs..
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Je ne devrais peut-être pas le critiquer, par honnêteté intellectuelle, puisque je ne l'ai pas fini (et n'en ai pas l'intention)...
Ce livre, ou du moins ce que j'en ai lu (environ une petite moitié) m'a fortement agacée. D'un côté, j'avais envie de le lire parce que son histoire avait l'air bien fichue, bien romanesque, parce que ça se passe à Berlin, parce que j'aime les histoires d'amour. Mais de l'autre côté, je n'ai jamais réussi à dépasser le style déplaisant de Kennedy, le caractère tellement caricatural de ses personnages (et la pseudo-ironie de leurs échanges), les dialogues-clichés (LE tic d'écriture qui m'énerve le plus au monde, probablement : terminer une phrase par « Et... » pour montrer que la personne qui parle est interrompue), et la pénible mièvrerie de la partie romance. Je peux aimer les histoires d'amour un peu gnan-gnan, mais mièvres à ce point, pas possible. J'ai d'ailleurs renoncé à finir le livre après que les deux héros concluent, exaspérée par leurs serments d'amour éternel après trois heures passées ensemble, et leur verbiage qu'on n'oserait pas même planter dans la bouche de l'héroïne de Twilight (je suppose – ou tout autre connerie mièvre et adolescente dans le genre).
Une lecture en version très accéléré de la suite (parce que j'avais quand même envie de connaître le déroulement de l'histoire) m'a permis de vérifier que ça tournait carrément au putassier, ou au larmoyant, et que par conséquent, je n'avais pas de regrets à avoir.
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Un roman agréable à lire malgré des longueurs et une impression de déjà lu après avoir adoré " La poursuite du bonheur" où on retrouve quasiment les mêmes thèmes en un lieu différent.
Mon opinion est donc très mitigé.
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Régulièrement déçu par les romans de cet auteur, j'ai voulu lui donner une "dernière chance", et ce sera effectivement la dernière. le thème et le début s'annonçaient bien, mais très rapidement, devant ce déluge de mots, de développements longs et inutiles concernant le contexte ou la vie des protagonistes (qu'on retrouve souvent dans la littérature américaine), et cette enfilade insupportable de réflexions sur l'existence, toutes plus affligeantes les unes que les autres, j'ai rapidement déclaré forfait.
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Si vous recherchez un livre original et passionnant, passez votre chemin . Une éniemme histoire sur le Berlin des années 80.Une vision reagannienne, bourré de clichés. On connait déjà la fin de l'histoire des le second chapitre. Un auteur juif new-yorkais traumatisé par ses parents et une espionne est allemande.
Bref si vous n'avez pas à le payer et que vous avez du temps à perdre, libre à vous de le lire.
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Mon avis : Deuxième abandon de l'année .. d'habitude j'aime beaucoup Douglas Kennedy et là !! j'ai stoppé les machines au bout de 120 pages, je me suis ennuyée à mourir. C'est quand même un pavé de 500 pages environ et je me voyais mal continuer ce livre d'une lenteur monotone.

Tout d'abord on retrouve un peu toujours les mêmes personnages un peu larmoyants, Thomas Nesbitt m'a tout de suite tapé sur le système, il traine son mal être, c'est un personnage solitaire. le jour où il hérite d'une somme d'argent conséquente, il décide d'acheter une maison perdue au fin fond de nulle part sans demander l'avis de sa femme, du coup elle le quitte.

et puis surviennent les souvenirs .... stop j'ai fermé le livre. J'auriais peut-être du continuer mais je n'ai pas eu le courage.

Lien : http://lisalor.loulou.over-b..
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Comme à chaque fois que je lis un Douglas Kennedy, je me dis "on ne m'y reprendra plus !", mais comme on me prête les livres, alors bon... je les lis.
Un de plus donc, et toujours le même acharnement à plonger les héros dans le drame le plus profond (et surtout les femmes, elles en prennent pour leur grade en général).
Bref, longueurs et eau de rose sur fond d'Allemagne à l'époque du Mur.
Au fil des pages, j'imaginais D.Kennedy déambulant en Allemagne (comme son héros), prenant des notes en vue de son prochain livre, celui-ci, et fantasmant sur une histoire d'amour (dans un style très niais s'il vous plaît), avec une vague histoire d'espionnage inintéressante prétexte à en faire baver un maximum à ses deux héros (comme à son habitude).
Je viens donc de perdre six heures précieuses de ma vie à lire ce livre, il faudrait que je m'en souvienne pour la sortie du prochain.
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Douglas Kennedy est-il surestimé ? C'est un peu ce que je pense à l'issue de la lecture de Cet instant-là, reçu dans le cadre de l'opération "Masse critique" de Babelio. J'attaque le morceau avec une certaine Vorfreude (pour reprendre un terme allemand découvert dans le roman, qui désigne l'anticipation de la joie), ou du moins avec bonne humeur et dans de relativement bonnes dispositions. Et pourtant ...

Thomas Nesbitt, écrivain de récits de voyage, sous le coup d'une procédure de divorce qui l'accable, reçoit soudain un paquet qui le replonge dans sa prime jeunesse. Il se remémore alors sa période berlinoise, à ses débuts, alors que son éditeur lui avait commandé un bouquin sur la ville divisée.



Dans l'avion, une Berlinoise lui raconte l'histoire de son passage in extremis à l'Ouest lors de la nuit de la construction du mur. le cadre est posé : Berlin est "une espèce de boîte géographique" ; c'est une ville "peuplée de réfugiés", où Thomas Nesbitt fait son trou, lui qui a toujours voulu s'échapper.



Dans les couloirs de la radio de propagande occidentale Radio Liberty, il rencontre la traductrice Petra Dussman, une "Ossie" ayant récemment rejoint l'ouest. C'est le coup de foudre, et, très rapidement, les tourtereaux filent l'amour parfait, envisagent le mariage et même la conception d'un enfant.



C'est compter sans le retournement de situation qui intervient, comme (très) souvent chez Douglas Kennedy, environ à la moitié du livre, dont la construction est, du coup, assez sommaire - quoique le récit à deux voix, par journaux intimes interposés, soit, lui, assez original.



Toutefois, l'histoire d'amour dans le fond assez guimauve (pour ne pas dire carrément gnocchi), avec des personnages manquant un peu d'épaisseur et de subtilité (surtout en sortant d'un opus de Joyce Carol Oates) aura eu raison de moi. Certes, l'homme est cultivé, et plutôt sympathique. Sans constituer cependant le génie littéraire absolu, évidemment. Et, du reste, on ne retrouve pas l'efficacité d'un L'homme qui voulait vivre sa vie ou l'humour d'un Piège nuptial.



Bref, quand Douglas Kenndey s'aventure à faire du roman d'espionnage ... on peut certainement trouver mieux (encore John le Carré décline).
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A lire le résumé de l'histoire, j'avais très envie de le lire. Seulement, je me suis quelque peu ennuyée et j'ai attendu jusqu'à la page 400 et des brouettes pour que le livre commence à être intéressant. Jusqu'à ces pages, il raconte son récit, avec des longueurs et des longueurs... Il devient vraiment intéressant à partir du moment où Petra entre en scène et lui raconte son histoire et là, jusqu'au bout, page 697, l'histoire révèlera un dénouement auquel on ne s'attendait pas forcément. A lire, mais par curiosité...

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