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4,11

sur 2179 notes

Critiques filtrées sur 4 étoiles  
J'avais une amie qui, au début des années 2000, ne jurait que par Douglas Kennedy. Elle avait lu tous ses bouquins, attendait avec impatience la parution du prochain, et avait réussi à m'entraîner à une sorte de barnum où, ce monsieur sur la scène, était interviewé par un journaleux local qui, me semblait-il alors, posait des questions insipides, auxquelles le prestigieux invité apportait dans un français à l'accent tellement susurré des réponses auxquelles je ne comprenais goutte. Puis le show se concluait par quelques questions de quelques fans (des femmes) dans le public. En sortant du conservatoire qui accueillait la grande-messe kennedyenne, j'avait été frappé de voir qu'une queue de plusieurs dizaines d'inconditionnels (je mets un masculin pluriel pour respecter la grammaire et le seul homme qui patientait au milieu de groupies tout "excitées" à l'idée de pouvoir approcher leur idole pour la sacrosainte dédicace que leur demi-dieu les gratifierait, assis au chaud derrière son guichet... à côté d'une pile himalayesque de ses ouvrages à consommer sur place... entendez... à acheter).
S'en était "naturellement" suivie l'idée que j'avais affaire à une sorte de Musso (pardon pour les adeptes), un écrivain dont raffole la ménagère de plus ou moins 50 ans... bref, un sous-produit de la littérature américaine.
Et puis, d'un passage chez Busnel à un autre passage à LGL... je me suis demandé si je n'avais pas été leurré par des apparences auxquelles j'avais donné une interprétation qui, somme toute, convenait à mes stéréotypes, lesquels ne sont pas à l'abri quelquefois d'une certaine forme de mauvaise foi.
J'ai donc acquis - La poursuite du bonheur -, que j'ai commencé à lire avant-hier, et dont j'ai bouclé les presque 800 pages hier...
Si je n'avais pas eu besoin de mes huit heures de sommeil, de me sustenter et de m'hydrater... je l'aurais lu d'un trait.
Plus sérieusement, je dois reconnaître que je m'étais complètement fourvoyé.
Douglas Kennedy est un petit malin. Non seulement, il écrit bien. Non seulement ses histoires sont magistralement construites et structurées, mais ce diable d'homme possède une substance appétente qu'on appelle talent, et qui rend le lecteur totalement addict.
Dans ce pavé, deux femmes tiennent le haut de l'affiche : Kate Malone qui introduit et conclut le roman, et Sara Smythe qui en occupe le coeur... de tout son coeur... puisqu'elle est la protagoniste d'une merveilleuse histoire d'amour. Histoire d'amour qui donne à l'auteur l'opportunité de nous faire traverser l'histoire de l'Amérique, du début du XXème siècle, en passant par l'entre-deux-guerres, la guerre... celle contre les nazis... celle plus froide contre l'URSS... la terrible "chasse aux sorcières" que symbolisèrent les années noires du maccarthysme ... pour se terminer au moment où se referme ce XXème siècle et où débute celui qui lui prend le relais.
Les personnages sont en multi D, finement croqués, tout en chair, tout en émotions ; le rendu psychologique est impressionnant ; ils vivent grâce à des mots "incarnants" diablement inspirés.
J'avoue avoir lu pas mal de bouquins sur cette Amérique-là, avoir été le témoin privilégié de quelques grandes et belles histoires romanesques, mais force est de constater que Douglas Kennedy a réussi le pari et du grand Amour, celui de l'Histoire, celui de la peinture sans complaisance et parfois glaçante d'une certaine Amérique, et celui de la littérature lorsqu'elle vitriole les faux-semblants, le désir de paraître pour plaire. Lorsqu'elle ne se compromet pas. Lorsqu'elle ne concède rien. Lorsqu'elle dénonce pour ne pas se soumettre.
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J'ai lu ce livre grâce à ma grande soeur. Elle est une inconditionnelle de cet auteur et de ce roman. Comme je suis curieuse, je l'ai acheté et bien sûr je l'ai lu.
Un ouvrage très captivant, un récit inattendu et pourtant…. comment dire... très… enfin… pas vraiment fait pour moi.
J'ai aimé le côté historique la « chasse aux sorcières » cette face sombre des états unis.
Sinon c'est une histoire de passion dévorante qui ne détruit pas une seule vie, mais une famille.

Je ne suis pas convaincu que les romans d'amour sont faits pour moi. Je garderais tout de même un souvenir impérissable de cette histoire.
Puis je me dis quand même que ma vie est si douce, si paisible et que la folie amoureuse n'est réellement pas ma tasse de thé ou de café…

Bonne lecture !
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C'est le billet de Karmax 211 qui m'a finalement décidé à inscrire ce livre sur la liste de mes lectures.
Je prenais Douglas Kennedy pour un ersatz français de Musso et ce type de littérature n'était pas, à priori, mon style préféré....
Mais j'ai lu les différents critiques sur Babelio et ai décidé de tenter.

Et je dois avouer que la pioche fut bonne.

J'ai passé un moment très agréable de lecture, dans ce roman fleuve, à travers l'histoire de cet amour impossible, dans cette Amérique tristement puritaine , en pleine chasse aux sorcières, à la grande époque du Maccarthisme .
Une histoire rondement menée et où l'on s'attache aux personnages.

Un parfait bouquin d'été qui me donne envie de lire d'autres romans de Douglas Kennedy .

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Je viens de lire ce gros pavé de 775 pages en deux jours, car il
faut reconnaître que Douglas Kennedy s'y connaît pour accrocher son lecteur.
J'ai beaucoup aimé la période décrite, les Etats-Unis de l'après-guerre, avec un très long passage sur cette abominable période du maccarthysme qui a traumatisé et ruiné tant de vies.
La vie de Sara Smythe est également très bien abordée, quand on se souvient de l'époque, où le but ultime de la femme était de devenir une épouse au foyer et une mère exemplaire (passionnant en effet...) sous peine d'être regardée de travers quand on sortait de ce schéma.
Par comparaison, la vie de Kate Malone est bâclée, et on aurait facilement pu s'en passer. Ou alors développer plus en avant, pourquoi pas.
Enfin j'ai trouvé que le style laissait parfois à désirer, mais bon, l'histoire ménage suffisamment de suspense et de rebondissements pour faire oublier tout ça.
Au final un bon gros pavé pas prise de tête et agréable à lire. Un Douglas Kennedy, quoi.
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J'avais déja ouvert puis vite refermé un livre de Douglas Kennedy (je ne sais plus lequel d'ailleurs,preuve si l'en est qu'il m'avait marquée... ,du moins à l'époque),me disant que ce n'était qu'un phénomène de mode ,sans plus.Tape pas si tu es un fan!!

Et puis ,l'autre jour ,en cherchant des livres se passant à New York pour le Challenge en question ,j'ai pris au hasard (il y avait toute une tête de gondole des romans de Douglas Kennedy) ce livre, peut être attirée par le titre...

Je commençais à vivre la maladie de ma maman ,et ,en ce début de lecture il était question de l'enterrement d'une vieille dame décédée des suites d'un cancer assez foudroyant ..., le tout raconté à la fois au présent pour ce qui concernait ce jour difficile s'il en est et au passé car il y avait des flashbacks sur les derniers moments, par la fille de la défunte, Kate Malone.Honnêtement je pensais ne pas y arriver mais prise par les mots ressentis de Douglas Kennedy je me suis laissée aller pour comme puiser un réconfort dans les termes choisis et les situations que je commençais à vivre.Sorte de dédoublement...

Donc enterrement de cette dame ...et Kate Malone aperçoit une inconnue,plus très jeune ,qui suit le cortège.Son allure ,sa façon, d'être la frappe.Qui est elle? Que veut elle? En effet cette personne ,Sara ,veut tout faire pour entrer en contact avec elle ,la harcèle même ,en arrive à lui faire peur même ,et pour finir lui remet un album plein de photos de son père,d'elle même à des moments différents de sa vie et de son petit garçon....Elle lui dit ces mots qui concluent la première partie:

"Je ne vais pas vous retenir plus longtemps ce soir Kate.Sachez seulement que votre père a été le grand amour de ma vie"

Et là nous basculons dans un très long flashback qui raconte de très belle manière une histoire d'amour hors du commun .Pas facile de lâcher le roman tant on veut savoir, d'autant qu'il est documenté sur une époque pour le moins troublée: le Maccarthysme.

Tres belle et malheureuse (évidemment ) histoire d'amour donc où la psychologie féminine est, je trouve, très bien analysée par Douglas Kennedy.Très belles histoires d'amour devrais je dire mais vous aurez bien compris que je ne peux en dire plus sans déflorer ce pavé...

Analyse très fine des comportements humains en fonction de leur sexe mais aussi de l'époque à laquelle ils vivent.Parallèle entre la vie de couple des parents de Kate et le sien (elle a divorcé du père de son enfant).

Comportement de Jack Malone inadmissible aux yeux du lecteur mais il est facile de critiquer quand nous ne sommes pas à la place,au moment de faire un choix.La peur fait avoir des réactions imprévisibles.

Tous les personnages ont de l'étoffe,je n'ai pas cherché à juger ,je me suis juste laissée embarquer dans cette histoire d'amour hors du commun avec tout ce qu'il peut y avoir de beau,de grand, d'hypocrite,de mensonge...La vraie vie quoi!

Lien : http://lemelimelodepyrostha...
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"Nous tenons pour évidentes par elles-mêmes les vérités suivantes : tous les hommes sont créés égaux ; ils sont dotés par le Créateur de certains droits inaliénables ; parmi ces droits se trouvent la vie, la liberté et la recherche du bonheur." Cette affirmation figure en bonne place à l'ouverture de la déclaration d'indépendance des Etats-Unis d'Amérique réunis en Congrès le 4 juillet 1776.
Quant à moi, ignorant d'où venait ce titre, qui à mon goût détient un fâcheux relent de "Collection Harlequin" j'ai failli ne pas ouvrir ce roman .... et j'aurais commis une belle erreur !

En effet, rien de gnangnan ici, même s'il s'agit d'amour - d'amour fou et destructeur, d'amour maternel, d'amour fraternel, d'amour des mots, d'amour et d'appétit de la vie.... de goût de la création, de désir d'indépendance ... de la vie, quoi, avec ses fulgurances de bonheur et les chagrins dévastateurs auxquels nous sommes tous condamnés.

Sara Smythe rencontre Jack Malone le soir de Thanksgiving 1945 à une fête donnée par son frère Eric. Elle sait dès ce soir là que Jack est l'homme de sa vie.
Cinquante ans plus tard, elle assiste aux obsèques de la mère de Kate Malone.
Entre ces deux dates, des vies torturées, gâchées par les aléas de l'existence, les faiblesses humaines, les égoïsmes, les hypocrisies et trahisons en tout genre ....

Douglas Kennedy, doté d'un talent de conteur hors pair, sait tenir son lecteur en haleine, il fait la part belle à l'american way of life et d'une plume trempée dans l'acide brosse avec brio un portrait truculent, même si quelque peu caricatural, d'une certaine bourgeoisie wasp de la côte Est.
Un régal d'ironie !

Mais ce dont traite également cet ouvrage, c'est surtout d'une époque bien sinistre de l'histoire états-unienne, en l'occurrence, la fin de la guerre, avec petit à petit et grâce aux débuts de la guerre froide, les premiers relents et l'explosion du maccarthysme.
Douglas Kennedy nous jette dans le bain en plongeant ses trois héros, Sara, Eric et Jack en pleine tourmente du maelstrom de dénonciations, de violence, de purge, de condamnations et de mises au ban de la société, ayant principalement touché les milieux intellectuels et ceux du spectacle au début des années cinquante.
D'après Joseph Mc Carthy, de triste mémoire, ce sénateur hanté par le spectre du communisme, une partie de l'intelligentsia américaine aurait répondu aux sirènes du stalinisme, et aurait fourni au mieux de dangereux sympathisants et au pire de vils espions ! (voir l'affaire Rosenberg, emblématique de cette époque).
D'où cette immonde chasse aux sorcières qui, pendant plus de quatre ans, empoisonnera les Etats-Unis et décimera les rangs de ce que ce pays compte de plus brillant et que l'auteur nous restitue avec brio !
Bien sûr, il ne s'agit pas ici d'une analyse pointue du maccarthysme, mais Douglas Kennedy s'y entend pour nous montrer avec verve les effets délétères de cette infâme période sur l'existence de ses trois personnages.
Que deviendront Sara, Eric et Jack dans cette valse de destins brisés ?
Pour le savoir .... je vous invite à vous procurer ce livre de toute urgence et à vous y plonger sans attendre !

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Avec ce livre, je fais d'une pierre quatre coups puisqu'il me permet de participer à quatre challenge en même temps : les baby-challenges contemporain 2013 et 2014 et les baby-challenges drame 2013 et 2014 de Livraddict !

Sans surprise, j'ai beaucoup aimé ce roman, mais je l'ai trouvé assez inégal dans sa présentation. Autant les passages avec Sara m'ont passionnés, autant ceux de Kate m'ont ennuyés ferme. Il faut dire aussi que les deux femmes sont très différentes l'une de l'autre : Kate recherche le côté rassurant d'une vie de famille tandis que Sara rêvait d'indépendance à une époque où c'était difficilement possible pour les femmes.

De La poursuite du bonheur, ce n'est vraiment que l'histoire de Sara que je retiendrais : elle m'a autant émue qu'horrifiée. J'ai été admirative de son courage qui l'a aidé à continuer d'avancer alors que plus d'un aurait baissé les bras à sa place. Et j'ai été déçue pour elle de voir que, dès que les choses s'amélioraient enfin, le destin semblait s'acharner d'encore plus belle sur elle et ses proches. Honnêtement, je ne sais pas du tout comment j'aurais agit à sa place, surtout envers Jack : ça a beau être impardonnable, on a tout de même envie de lui pardonner...
J'ai beaucoup aimé les différentes facettes de ce roman : Douglas Kennedy y parle d'amour, d'homosexualité, de travail, d'indépendance, de voyage... Ça m'a beaucoup plu de découvrir ce petit condensé de vie d'un autre temps ! Par contre, j'ai trouvé le passage sur Dachau un peu creux et faux, ou peut-être est-ce la mentalité américaine sur ce passage qui m'a dérangée, mais il m'a profondément déplu et agacée.

J'ai trouvé l'écriture de Douglas Kennedy très agréable. Les chapitres sont assez longs d'autant plus que leur dernière phrase me donnait sans cesse envie de lire le suivant !
Par contre, personnellement, je trouve les parties de Kate assez inutiles et bâclées par rapport à celles de Sara. Je pense que j'aurais préféré d'une certaine façon que Kate ne nous raconte que le prologue et éventuellement que Meg nous donne la conclusion...
La poursuite du bonheur est une lecture très agréable.
Lien : http://lunazione.over-blog.c..
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Le jour de l'enterrement de sa mère, Kate est contactée par une vieille dame très élégante, Sara Smythe, qui, malgré ses réticences, lui confie un manuscrit. Miss Smythe y raconte sa vie de journaliste, et surtout sa passion pour Jack Malone, le père de Kate...
Un roman-fleuve sur l'amour et le pardon, mais surtout une peinture terrible de la société américaine d'après-guerre et de son maccarthysme meurtrier. Un très beau roman qui n'épargne personne.
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Que d'émotion ! le réalisme avec lequel Douglas Kennedy arrive à décrire ses histoires me surprendra toujours autant. Comment ne pas se sentir visé par certaines tournures de phrases, comment rester insensible aux tragiques existences qu'il dépeint ? Cet auteur m'époustoufle, et m'émerveillera encore longtemps.

Au vu du nombre de pages assez volumineux que contient ce roman, j'ai pris la décision de le lire durant mes vacances, pour éviter de le faire traîner dans le temps, un jour de semaine ordinaire. Mais même si je l'aurais lu en temps de cours, il aurait été vite terminé, tant le récit est prenant. Douglas Kennedy arrive à nous entraîner au coeur de son histoire, à nous plonger dans l'existence (qui aurait pu paraître banale) de ses personnages, ce qui rend très rapidement ce livre additif.

Les événements s'enchaînent assez rapidement, et ne se ressemblent pas. Sans pour autant aller trop vite, l'auteur trouve le juste milieu du bon rythme imposé, ce qui ajoute un point de plus à la perfection du récit.

Concernant les personnages, je trouve qu'ils ont été très attachants. Les tragédies qu'ils ont traversés ont sans doute rajouté de la pitié au lecteur, de façon à se qu'ils puissent apprécié plus grandement les protagonistes... en tout cas, ces personnages ne laissent pas indifférents, et émeuvent. Alors qu'en apparence, l'histoire partait d'un quotidien banal, on se rend très vite compte qu'en creusant plus profondément dans les tourments de l'existence humaine, de lourds secrets sont enfouis, cachés depuis pas mal d'années dans les antres de l'esprit.

Il serait bon de félicier Douglas Kennedy, qui a une nouvelle fois réussi à nous importer très loin dans ses idées. L'intrigue était bien menée, l'histoire fort originale, et innovante. Même si la majeure partie du roman se déroule dans les années 50 (voire moins), le phrasé de l'auteur se veut moderne, et ne prend pas une seule ride.

Très bouleversante, cette histoire d'amour sort complètement de l'ordinaire. Entre les hauts et les bas de leur existence, les personnages transpiraient néanmoins l'amour à plein nez, et ont du faire bouillir de jalousie plus d'un lecteur (dont moi, je l'avoue).
Avec un contexte politique et historique en arrière-plan (qui ne peut rendre le roman que plus intéressant), l'auteur arrive à combiner la réelle atmosphère de l'époque, tout en plongeant le lecteur dans un monde parallèle, grâce aux histoires d'amour des protagonistes, qui paraissent assez extraordinaire.

Vous l'aurez sans doute compris, ce roman très réaliste m'a bouleversé. J'ai un petit pincement au coeur de devoir quitter ses personnages, avec qui je semblais désormais si bien m'entendre... mais ce n'est que partie remise ; je compte relire du Douglas Kennedy très bientôt !

Lien : http://addictbooks.skyrock.c..
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Une belle découverte! Un livre au premier abord facile à lire, mais qui passe en revue beaucoup de sujets pas toujours faciles.
Kennedy nous raconte l'histoire de deux merveilleux amours qui traversent avec difficultés les soubresauts de l'Amérique des années 50. Surprenant mais très intéressant.
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