Billy Summers

Tout ça pour ça ! Pas du tout fantastique, on le savait, on suit un tireur d'élite devenu tueur à gages qui décide de devenir écrivain pendant sa planque. Pas vraiment un thriller non plus, rien de tonitruant, ou alors un thriller très moyen. Sans oublier les longueurs inévitables et habituelles : ça aurait presque pu être dynamique avec 200 pages de moins et des pensées plus profondes que : "il est méchant et toi t'es une gentille, donc lui il doit mourir". Et même le livre que notre héros écrit a pour sujet une guerre américano-americaine sans intérêt. Rien de plaisant, mais plus de 500 pages pour ça ! Quand je pense que certains osent dire "l'un des meilleurs de Stephen King", ils ont dû en zapper quelques uns ! enfin on comprend qu'il ne fait pas partie du camp Trump : mais égratigner cet ancien président de façon récurrente ne suffit pas à donner de la valeur à l'ouvrage. Tant pis.

Décidemment je suis maudite lors de cette rentrée littéraire.
Pas grand chose ne trouve grâce à mes yeux.
Même pas ce bon vieux Stephen King.
J'ai du être maraboutée (Paul Pogba sort de ce corps)....
Mais non, certains ont avoué avoir été bien déçus par ces nouveaux livres qu'on attend comme le messie.
Alors oui, les personnages sont très bien exploités, avec beaucoup de profondeur et leurs relations les uns avec les autres sont intéressantes. Mais bon, on ne lit pas un livre QUE pour les personnages, à moins que l'intrigue soit excitante.
Et bien même pas.
Je me suis ennuyée, ça traîne en longueur, l'histoire est terne.
Mais où donc est passé notre bon vieux King, avec ses histoires terrifiantes et son lot d'horreurs de fête foraine ?
Mystère.
Ce n'est pas la première fois que je suis déçue par cet auteur.
Encore un qui veut se renouveler, du coup bonjour au roman noir, au roman limite policier, mais point de fantastique ou bien de bandes de gosses névrosés auxquels il nous avait habitués....
Déception donc, une de plus.
Personne n'aurait le tel d'un marabout qui m'exorciserait une bonne fois pour toute ? (Juste un numéro de téléphone ou bien une adresse postale ??).
Non, j'ai mieux ; nos bons vieux classiques, comme Thérèse Raquin de Zola.
Que je vais attaquer derechef.

Mon premier Stephen King … parce que je n'aime vraiment pas l'horreur. Si un roman me fait peur et que je fais des cauchemars, ce n'est pas pour moi. Mais, ma copine Julie m'a assurée que ce n'était pas ce genre de Stephen King. C'est plutôt un thriller.

Donc voici un bref résumé: Billy Summers est tueur à gages, il accepte un dernier contrat très lucratif. Plusieurs éléments lui semblent étranges et ne correspondent pas au “modus operandi” habituel … il décide quand même de respecter son engagement mais …..

J'ai bien aimé le début du roman mais à un moment donné j'ai commencé à lire certains passages en diagonal. Je trouvais que certaines descriptions s'éternisaient, que ça n'apportait pas vraiment plus au récit ou à la psychologie du personnage . Si tout avait été plus concis j'aurais adoré mais là ….. un peu déçu.

Tueur à gages, Billy Summers accepte une dernière mission avant de raccrocher. Cette mission est d'autant bienvenue que 2 millions de Dollars lui sont proposés pour l'amener à bien.
Les choses ne se déroulent pas comme il en a l'habitude, premièrement il a de long moment d'attente avant qu'il puisse exécuter son contrat, puis surtout il y a trop d'intervenants.
Il ne sait pourquoi, mais Billy ne sent pas l'affaire et va assurer ses arrières.

Pour ce livre, King sort de son genre fétiche à savoir l'horreur, pour nous donner un thriller qui n'est pas original où on se mange des longueurs interminables, ce qui a rendu ma lecture pesante une fois passé la moitié du livre qui compte 500 pages.

Un roman intéressant qui est très centré sur l'humain et ses émotions. Malheureusement, j'ai eu du mal à entrer dans l'histoire, car il y avait beaucoup de longueurs. le point fort de cette histoire, ce sont les personnages de Billy et Alice. Leur duo m'a touché.

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Billy Summers est tueur à gage. mais il ne tue que les méchants (heureusement il y en a) pour prendre sa retraite il accepte un dernier contrat.
Il attend l'arrivée de sa victime dans un immeuble en se faisant passer pour un écrivain.
Il attend nous aussi donc il écrity sur sa période de snipper en Irak (passablement intéressant) puis après son tir il se cache dans une maison et il attend
ça devient longuet rebondissement il sauve une fille jetée en face de sa fenêtre par 3 gars qui viennent de la violer.
et ils attendent à 2.

trop long sans beaucoup d'intérêt et la fin est abracadantesque .
un tueur trop fort par moment mais qui a des soucis avec une mamy.
Stephen King trop de livres tue le livre

Je ne sais pas si Stéphan King avait du temps à tuer pour nous infliger ce très très long roman sans intérêt jusqu'à l'arrivée d'Alice dans l'histoire mais là on a déjà dépassé la moitié du livre.
A partir de ce moment le ton change et l'on s'y attache un peu et ce, jusqu'à la fin du roman.
C'est en principe l'histoire d'un tueur à gages qui a une mission à exécuter, on devrait ne pas pouvoir lâcher le bouquin mais nous avons droit à du blabla sans fin et les dialogues sont vraiment d'une niaiserie…
J'avais adoré « 22/11/63 ». Il est impossible que ce soit le même auteur !
Ce n'est vraiment vraiment pas bon.

Je vais aller à contre courant des éloges et louanges adressées au dernier opus de Stephen King.
Allons droit au but : cette lecture fut une énorme déception. Poussé par tant de critiques favorables et surout par les comparaisons flatteuses avec 22/11/63, je suis parti de la librairie avec l'opus sous le bras et je l'ai aussitôt entamé, mettant de côté tout ce que j'avais en cours.
Bien sûr, King possède toujours cette faculté à vous ensorceler par ses mots. La fluidité de son écriture, ses qualités de conteur font qu'il pourrait être capable de vous faire lire de A à Z à peu près n'importe quoi.
Ce roman avait tout pour me plaire.
Mais je n'ai jamais accroché. L'intrigue est honnête et la capacité de King à dépeindre une petite ville est toujours présente.
Le problème, c'est que je n'ai jamais réussi à y croire. le roman baigne dans une sorte de naïveté qui contredit certains de ses aspects violents. Pas un instant, je n'ai trouvé le personnage de Billy Summers crédible.
Il sonnait faux.
Tout comme la rencontre improbable de Billy Summers avec la jeune fille (dont j'ai oublié le nom, c'est pour dire), dont je n'ai pas non plus cru un instant à la manière dont elle réagit à l'horreur qui lui est arrivée. Tout comme les patrons mafieux de Summers, qui me semblaient sortir tout droit d'un téléfilm.
La personnalité, les motivations, l'histoire même de Summers, tout m'a paru faux. c'est peut-être ce que j'aurais pu dire de pire à propos de King, qui dans son livre Mémoires d'un métier, parle avec beaucoup de justesse de la manière dont un écrivain doit être "vrai", même lorsqu'il parle de monstres.
J'ai découvert King avec ses récits d'épouvante et il a bercé toute mon adolescence, et il restera toujours pour moi un maître.
22/11/63 est le chef-d'oeuvre qui prouve de manière définitive qu'il est un grand auteur, capable de dépasser les genres.
J'aurais aimé apprécier et aimer Billy Summers et je pense l'avoir lu avec une très grande indulgence.
Mais pour moi, ce roman ressemble plutôt à une faute de frappe.

Billy Summers est un ex-tireur d'élite devenu tueur à gages, mais rien à voir avec ceux qui tirent sur tout ce qui bouge. Lui, il choisit ses victimes. Il cible uniquement ce qu'il appelle les méchants, les gros salauds qui ne méritent aucune pitié. Mais depuis quelque temps, l'ancien vétéran de la guerre en Irak souhaite arrêter ce sale boulot. Avant cela, il doit achever sa dernière mission, particulièrement lucrative et pour le moins originale, puisqu'il devra se glisser dans la peau d'un écrivain. Loin d'être un contrat de tout repos, Billy Summers devra redoubler de vigilance pour son tout dernier coup.

Lorsque le maître de l'horreur et du fantastique s'adonne à autre genre littéraire, cela interroge quant aux capacités d'un auteur à succès à s'écarter de son domaine de prédilection. Stephen King est un génie dans son milieu, mais il en est moins sûr en ce qui concerne le travail fourni pour écrire Billy Summers. Loin du thriller et davantage du roman noir, ce roman ressemble à une expérimentation qui aurait dû continuer à prendre la poussière sur le coin de la table. Une solution à la page blanche, une demande de son éditeur, ou bien une folie passagère, Billy Summers est et restera une incompréhension totale.

Si nous partons du principe que ce roman n'est pas écrit par Stephen King, mais par un auteur ordinaire, nul doute qu'il serait signé d'un primo-romancier. C'est-à-dire un pavé de 600 pages pouvant être réduit de moitié, des personnages niais dont les conversations sont dénuées de subtilités et une intrigue se traînant comme un paresseux en bord de route. Bien heureusement, Billy Summers se lit très rapidement et nous y voyons le potentiel, bien que non exploité, d'un futur auteur populaire. En définitif, le primo-romancier doit persévérer et écouter les conseils de son éditeur, mais Stephen King, lui, s'est complètement raté.

Rien à voir avec l'Oeuvre du grand Stephen King, Billy Summers sera aussi vite oublié qu'il a été acheté. Et bien évidemment, tout est déjà pardonné, bien que cela reste un crève-coeur d'avouer que même un des plus grands auteurs de notre siècle peut échouer aussi lamentablement.
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Grande fan de Stephen King, j'étais impatiente de découvrir ce roman. Malheureusement je suis totalement passée à côté. J'ai trouvé le livre vraiment long et j'ai eu du mal à comprendre l'intérêt.
Il plaira sûrement à d'autres mais ce n'est pas un roman pour moi !
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