Première chose, je me suis "fait avoir" en quelque sorte puisque je n'avais pas vu que l'histoire était en fait extrêmement courte et laissait très vite place au scénario du film (je ne savais pas non plus qu'il y avait un film, que j'ai vu depuis, que j'ai bien aimé: il est très bien fait pour l'époque).
Si l'histoire n'est pas d'une grande originalité, loin s'en faut, ça m'a fait un bien fou.
Retrouver l'écriture de
Stephen King à ses débuts, retrouver les années 80 avec un jeune ado pour héros, retrouver cette sensation de peur enfantine. Car c'était comme retourner en enfance, installé au fond du canapé devant les Gremlins le soir de Noël, avec un chocolat chaud entre les mains pour se rassurer, pendant que les adultes continuent de s'empiffrer d'huîtres.
J'ai donc retrouvé le
Stephen King conteur d'histoires qui font peur, un magnifique conteur.
Un mois = un chapitre. J'aurais voulu qu'une année se compose de 24 mois! C'était trop court.