« Je te libérerai de cette prison, mon bel Adonis, mon gentil démon », songea Sophie en effleurant la peau de son torse. «Pardonne-nous d’avoir eu si peur ! Dieu fasse que ce court séjour dans un corps humain t’aura donné une âme et que tu seras reçu au Paradis des hommes, je prierai pour cela. Je te pardonne les souffrances que tu m’as fait endurer en m’envoyant aux enfers et je te remercie de m’avoir fait découvrir le plaisir qu’une femme peut éprouver au contact ... >Voir plus