Borderline, tome 1

La dark romance n'est pas un genre qui m'attire plus que cela, pourtant je me suis laissée prendre au jeu durant cette lecture. En effet, j'ai envie de comprendre ce qui peut pousser une auteure à écrire sur de tels sujets malsains et comment elle en vient à développer les psychés torturés de tels personnages (et pour cela, je ne peux que remercier Babelio et Hugo Roman pour l'organisation de la rencontre de Joyce Kitten la semaine prochaine!)

En effet, la dark est un genre qui rime avec des relations toxiques. le lecteur le comprend dès les toutes premières pages de "Borderline", en particulier avec le premier chapitre qui donne froid dans le dos. Pourtant, je me suis laissée emporter par la plume de l'auteure et, surtout je dois l'avouer, par une curiosité malsaine. J'avais envie de découvrir jusqu'où Ed et ses amis pouvaient aller, de même que Lara. Cette dernière n'est pas une pauvre petite chose fragile et j'ai apprécié cela. Les squelettes qu'elle cache dans le placard sont conséquents et l'auteure a très bien réussi son coup en dissimulant au fur et à mesure les réponses, obligeant le lecteur à tourner les pages pour découvrir la vérité. Joyce Kitten a très bien réussi, je trouve, à transmettre les émotions de ses personnages, leurs angoisses, leurs frustrations aussi bien que leurs désirs. Il me tardait de me plonger dans le roman tant je voulais savoir la fin et surtout voir jusqu'où les protagonistes pouvaient aller.

J'avoue avoir totalement été retournée par les twists auxquels je ne m'attendais guère, en particulier dans les derniers chapitres du roman. Néanmoins, certains passages m'ont gênée, en particulier parce que je jugeais que Lara en faisait trop et cherchait vraiment (pardonnez mon langage) la merde. Certes, elle est accro à l'adrénaline etc, mais certains moments m'ont paru parfois capillotractés. Après ils ont servi à l'intrigue et surtout à prouver au lecteur que Lara n'est pas une jeune femme comme tout le monde, qu'elle est aussi perturbée qu'Ed et ses copains.

En parlant de ces derniers, ce qui me fait le plus frissonner est que, très certainement, des hommes pareils existent et se livrent à ce genre d'activités sordides avec des femmes. Je crois que c'est ce qui m'a le plus perturbée: tant que cela reste une fiction, pas de soucis, mais dès lors qu'elle peut se transformer en réalité... Mes pensées vont aux victimes de manipulations psychologiques et se*uelles.

Et justement, au cours de ma lecture, je me suis demandée ce qui avait pu pousser Ed et ses amis dans ce tels retranchements. Puisque les 3/4 de l'histoire s'écrit du POV de Lara, il est aisé de comprendre pourquoi et comment elle a évoluée. Mais ce n'est pas le cas d'Ed. Certes, certains chapitres sont de son point de vue, mais ils sont minoritaires et il ne développe guère sur sa personnalité, mis à part son côté mâle alpha qui estime que les femmes (et en particulier Lara) doivent lui appartenir. Je me demande si le T2 répondra à mes questions.

Enfin, je souhaite mettre en avant les premières pages du roman, à savoir la mise en garde. En tant que professeure, toujours au contact d'adolescentes, je ne peux qu'approuver les propos tenus par l'auteure. Ce type de roman n'est pas à mettre entre toutes les mains et il est important d'être suffisamment mature pour lire ce genre de livres. Lorsque j'entends une jeune fille s'enamourer d'un bad boy et soupirer "han, je veux trop un Hardin dans ma vie!", ma mâchoire a tendance à se serrer. Il est nécessaire et impératif de faire la part des choses et de ne surtout pas "romantiser" ce genre de relations ultra toxiques. Ici, avec "Borderline", nous atteignons, il me semble, un cas extrême, mais ce n'est pas le cas dans d'autres dark romance et un grain de sable peut faire dérailler le mécanisme... même des années après. Alors, mesdemoiselles, faites attention à vos lectures! de fait, merci à l'auteure pour cet avant-propos, plus que nécessaire.

Attention il s'agit d'une dark romance. Certaines scènes sont choquantes, violentes, perturbantes, c'est normal, elles sont là pour ça …

Bienvenue à l'université John Hopkins, lieu d'étude de haut niveau ou sont formés les médecins de demain.
C'est ici qu'étudie Lara, qui vient d'arriver, Lara qui rêve de cette université et de son programme de pointe depuis des années.

Lara, jeune femme de 25 ans, blonde, élancée, très jolie, avec des formes où il faut et comme il faut, est aussi intelligente qu'elle est belle. Lara est sportive, elle sait aussi se défendre et vous auriez tord de la prendre pour une victime.

Lors de sa toute première journée de cours Lara croise le chemin d'un groupe de jeunes étudiants, 5 garçons, qui semble être menés par un mâle alpha, un bellâtre à la peau olivâtre.
Leur regard se croisent et Lara lit toute la perversion qui suinte d'eux, de lui …
Mais Lara ne détourne pas les yeux, au contraire, et ainsi elle attise leur attention, son attention …

Que le jeu commence !

Parce qu'alors Ezrah n'aura de cesse de la prendre pour cible pour ses jeux pervers.

Ezrah, étudiant en médecine lui aussi, et si sa beauté reflète sa perversité et son esprit retord, Lara a bien du souci à se faire. Parce qu'Ezrah est le spécimen masculin le plus convoité de leur promotion.
Ezrah, dont les prunelles vertes, ont repéré et accroché celles de Lara.
Ezrah et son aura malsaine mais ô combien attirante.

Comment se sortir de ce guet-apens ?
Ezrah a pris pour cible Lara, mais si l'agneau avait aussi des dents ?

S'engage un jeu de chat et de la souris, où le chasseur devient proie, où la proie devient chasseur.
Dans une ambiance à la limite du thriller, avec une montée en puissance progressive, Joyce nous entraine sur les traces de Lara et Ezrah.

Lequel des deux va plier l'autre à sa volonté ?
Jusqu'ou sont-ils prêts à aller ?
Et vous, jusqu'où pouvez-vous aller ?

Les lignes se croisent et se mélangent, on doute, on pense comprendre, on pense savoir mais au final, avons-nous réellement les bonnes cartes en main ?
Sommes-nous sûrs que la donne de départ n'est pas faussée ?

Page après page, l'intrigue se dévoile et se corse, à ce jeu de dupes, pauvre lecteur nous nous faisons balader et bananer.
Parce que, que savons-nous réellement de nos personnages ?
Sommes-nous surs de tout connaitre ? de tout comprendre ?

Je me suis faite avoir en beauté, j'ai été complétement prise dans l'histoire et ses multiples rebondissements. Je pensais deviner la fin mais Joyce m'a tellement pris de court, tellement retourné le cerveau que finalement…
Et si … ?

Avec une intrigue des plus haletantes, une maitrise absolue de nos palpitations cardiaques, Joyce nous offre un concentré de désir coupable, de jeux malsains, d'angoisse mêlée d'envie, une lecture déroutante, perturbante mais ô combien délectable.

Et vous, oserez-vous suivre Lara et Ezrah dans leurs chasses mutuelles ?
(Lu en bêta lecture)

Dans "Borderline" de Joyce Kitten, tu es est plongé dans un univers sombre et captivant, où l'héroïne principale, étudiante en médecine à l'université John Hopkins, se retrouve confrontée à Ezrah Milton, un personnage énigmatique et troublant.

Dès leur rencontre, une tension palpable se dégage entre les deux protagonistes, symbolisant le début d'une relation complexe et dangereuse. Ezrah Milton est présenté comme un prédateur, un manipulateur au regard démoniaque, tandis que l'héroïne semble être la proie désignée de ses pulsions perverses. Mais les apparences sont parfois trompeuses et la vraie proie n'est pas toujours celle que l'on crois.

L'intrigue de "Borderline" se construit autour de cette relation toxique, mêlant passion et danger, fascination et répulsion. Joyce Kitten explore avec finesse les méandres de la psychologie des personnages, dévoilant peu à peu leurs failles et leurs motivations. J'ai adoré c'était très intéressant et la psychologie des personnages est très travaillé, l'auteure joue avec toi jusqu'à la dernière page te faisant douter des réelles intentions des personnages.

Le style d'écriture de l'auteur est incisif et percutant, elle m'a captivé dès les premières lignes. L'atmosphère sombre et oppressante qui se dégage du récit contribue à créer une atmosphère angoissante et envoûtante.

"Borderline" est un roman destiné à un public majeur et averti, abordant des thématiques complexes telles que la manipulation, la perversion psychologique et les relations toxiques. Joyce Kitten offre une plongée vertigineuse dans l'obscurité de l'âme humaine, où les frontières entre le bien et le mal semblent s'estomper.

"Borderline" est un livre qui ne laisse pas indifférent, avec des personnages troublants et une intrigue haletante. Joyce Kitten réussit à te captiver jusqu'à la dernière page, offrant une dark romance intense et immersive.

Attention ce livre est une dark romance destinée à un public averti !

D'un côté nous avons Lara, jeune étudiante qui débarque dans une grande université pour mettre de la distance avec son passé.

Il s'avère qu'elle cache une part d'ombre au fond d'elle et qu'elle pourrait bien devenir une adversaire à la hauteur d'Ez, lui rendant coup pour coup jusqu'à devenir accro à ce petit jeu entre eux !

De l'autre Ezrah, étudiant manipulateur, il a pour habitude de choisir à chaque rentrée une proie, que lui et son groupe d'amis entraineront dans leur jeu malsain. Cependant cette fois la proie pourrait bien ne pas être le petit agneau docile qu'ils avaient imaginés…

La psychologie des personnages est très bien exploitée que ce soit pour les personnages principaux ou secondaire. L'alternance des points de vue entre Lara et Ezrah permet vraiment de plonger dans la tête de l'un comme de l'autre et ainsi de comprendre (ou au moins essayer de comprendre) leurs réactions et actions. Et je dois dire que j'ai adoré rentrer dans leur tête et tenter de décortiquer leur émotions et la noirceur qu'ils ont en eux.

Il y a une véritable tension entre les personnages. Tout au long de l'histoire ils se cherchent, se défient et multiplient les coups bas et les manipulations espérant réussir à avoir l'ascendant sur l'autre. Leur relation n'a rien de sain ni de beau, chacun réveillant la noirceur profonde de l'autre, les rendant s'en même qu'ils s'en rendent compte complétement accro à cette adrénaline qu'ils ne ressentent qu'ensemble.

L'intrigue de ce premier tome est très addictive, on ne sait jamais comment vont réagir les personnages, on se fait manipuler par l'auteure autant qu'ils se manipulent entre eux. Et je n'ai pas pu lâcher le roman avant la fin, voulant savoir jusqu'où serrait prêt à aller les personnages pour gagner leur jeu malsain.

C'est une dark romance sombre avec des personnages complexes et manipulateurs et une intrigue pleine de tension qui nous entraine dans histoire plus qu'addictive !

Bon, alors, c'était comme à s'y attendre à la fois problématique( morale, messages ) et même pas bien sur la forme / intrigue/ persos. Un torchon.
C'est la mode des dark romances en ce moment. Traduisez : la mode de sois disant romances, en réalité abusives. Toujours envers les femmes aussi d'ailleurs c'est pas un hasard.
C'est aussi la mode de " faire semblant dans le résumé que il s'agira d'un duel psychologique entre un homme et une femme, que la femme est toute aussi...bad que l'homme " est évidemment à chaque fois c'est un pur mensonge marketing faussement feministe.
Lara est idiote et pas du tt mauvaise. Enfaite, elle est fade et classique comme fille de dr.
Lui, que je refuse de nommer, est mauvais on ne nous a pas mentit. Normalement dans un récit on est pas sencer faire une apologie de tt les actes de tes persos mauvais. Ici c'est le cas. Quel honte.
Quand va ton se rendre compte du danger des dr ?
En l'occurrence il était détestable, une ordure indigne d'être aimer et j'aime pas aimer le détester car je sentais que il faillait aimer le détester et finir par laimer et l'excuser.
Il n'y a rien d'autre que l'obsession de lui envers elle, de leurs guerres, de leurs relations abusives, du comportement inexcusable de lui.
Pas d'action, pas de plot twist réel.
Pas de suspense. Qui va gagner, on le sait , pk faire une femme gagner voyons c'est so has been....
Ensuite y a des scènes de sexe mysogine type porno violent et irrespectueux à sauce de consentement fois. Pff.
Bref je ne recomande pas du tt.
Ps : plume deplorable.