Q Mysteries, tome 1

Un manga policier décevant. C'est trop tiré par les cheveux et on passe du coq à l'âne ou plutôt de la banane à la tomate, sans comprendre... Enfin JE n'ai pas compris car chez les 12 ans, ça avait l'air de bien fonctionner ! En revanche l'héroïne est super bien dessinée. Donc Q Mysteries 1 : one point.

Q Mysteries c'est avant tout l'histoire d'une rencontre inattendue, celle d'un jeune journaliste Yuto Ogasawara et celle d'une spécialiste de l'expertise Riko Rinda, non moins jeune.

Yuto travaille depuis quatre ans pour le magazine d'investigation papier Kadokawa Hebdo avec un succès plutôt limité et il se retrouve à enquêter sur un sujet à première vue ennuyeux : dans plusieurs quartiers on a trouvé un grand nombre de stickers collés un peu partout, stickers représentant un visage mystérieux.

Pour tenter d'en apprendre plus il est à la recherche de quelqu'un capable d'expertiser les fameuses images mais malheureusement pour lui, aucun expert ne veut engager publiquement sa réputation sur une telle affaire.

Il tombe alors plus ou moins par hasard sur un cabinet d'expertise où Rinko officie seule, s'il a quelques doutes sur les compétences réelles de la jeune femme, une démonstration de ses talents lors de l'expertise d'une toile va rapidement lever ses doutes.

Ce premier tome pose de très bonnes bases et mets l'accent sur la rencontre entre nos deux protagonistes que tout oppose. La narration est fluide, le texte est conséquent, ce n'est pas un manga qui se lit en 30 minutes, et c'est plutôt une bonne chose. Habituellement je n'aime pas quand un manga dépasse l'heure de lecture, mais ici, c'est très utile de prendre le temps de tout analyser, afin de parfaitement comprendre le génie de Rinko.

J'aime bien les mystères, les enquêtes, les choses un peu complexe. Habituellement je lis des thrillers ou polars en roman, mais là je trouve son pendant en manga ce qui est vraiment agréable. Cela me fait penser à Detective Conan, une série que j'adore (et dans laquelle j'ai un retard de 80 tomes xD), sauf qu'ici il n'y a pas le coté enfantin. de plus, le personnage principal est une femme, qui part son cerveau se fait rapidement une place dans un milieu d'hommes. Cela peut paraitre idiot mais je trouve que ça apporte beaucoup au titre.

Cette série démarre plutôt bien et je la découvre un peu tardivement puisque 8 tomes sont déjà parus en France et qu'au Japon elle s'est terminée après 10 tomes. Je pense donc attendre la fin de la série pour tout lire d'une traite !

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Q Mysteries est d'abord une série de romans écrit par Matsuoka Keisuke. Ce manga est donc une adaptation.
Experte en tous genres, génie de la déduction holmesienne, Riko Rinda est contacté par Yûto Ogasawara, journaliste au Kadokagawa Hebdo, afin de l'aider dans le cadre d'un fait divers. Mais au hasard de leurs recherches, la jeune femme va découvrir qu'un crime de grande envergure va être commis.
Le duo fonctionne bien. Les personnages sont simples, loin d'être parfaits. ce premier tome nous présente l'univers des deux principaux protagonistes de la série. Même si à la fin de ce tome, nous comprenons qu'au suivant, nous en apprendrons un peu plus sur les origines de Riko Rinda et de ses capacités extraordinaires.
La lecture est agréable, et l'humour est présent mais ce n'est pas farfelu. Les dessins, en noir et blanc, sont fluides et nets.
L'intrigue est prenante, on veut savoir ce qui se trame derrière tout ça.

Manga seinen.
Mysteries tome 1 de Matsuoka, Kamikou etKiyohara création au Japon 2013 en France 2015 au édition Big Kana.
Résumer quatrième de couverture. Étrange autocollants représentant des visages de lutteurs de sudo sont apparus aux quatre coins de la ville. Yûto Ogasawara, un jeune journaliste, s'en procure quelques échantillons, mais ne trouve personne pour procéder à leur expertise. Pressé par le temps, au hasard d'une recherche sur internet, il tombe sur le bureau " expertises entour genres Q ". C'est ainsi que Yûto va faire la connaissance de l'impressionnante experte Riko Rinda...
Actuellement 7 tomes en librairie.

Un très bon début qui met en place un univers du Japon futur et deux personnages façon Sherlock et Watson. Dévoré.

• « Q Mysteries, tome 1 » de Hiro Kiyohara, publié chez Kana.

• J'ai commencer cette lecture à la suite du défi lecture de BD de Babelio de Mars, cherchant un manga avec un titre commençant par la lettre Q, dans le but d'étendre ma "culture" BD.

• Ceci, est typiquement le genre de manga dont je raffolais étant jeune. le manga d'enquête ou de suspense était l'un de mes péchés mignons, et je me rends compte qu'aujourd'hui encore, je me laisse facilement entrainer dans des intrigues avec des mystères bien ficelés.

• le personnage principal, journaliste banal d'une agence de presse, à la recherche d'informations sur de mystérieux autocollants diffusés dans des zones de la ville, va suivre une personne hors du commun, Riko Rinda, une experte spécialisée.. en quasiment tout, pour l'aider dans son enquête. Et c'est finalement cette jeune fille qui va l'intriguer, et sur laquelle il tente d'en apprendre plus..

• La jeune femme est un personnage très intriguant, avec tout ce mystère autour de sa personne, de son agence et de ses connaissances hors du commun. le nom de son agence, ainsi que son passé reste un mystère à la fin de ce tome.. Et il faudra entamer le deuxième tome pour en apprendre plus.

• Les enquêtes sont très intrigantes également et pousse à se demander ce qui se cache derrière chacune d'entre elles, même si très vite, on se rend compte qu'on ne pourra clairement rien deviner de sa résolution. Ici, les expertises de la jeune femme sont malheureusement totalement improbables, beaucoup trop improbables pour l'apprécier sans se sentir légèrement frustré..

• le dessin dans sa globalité est impeccable, l'encrage est également parfait. Les personnages sont très beaux, très expressifs, même si ce sont des visages relativement classique du milieu du manga et qu'ils ne se démarqueront pas de la masse.. Les objets et les décors sont très réussis également.

• Un manga plutôt sympathique, mais qui perd de son sérieux à cause des analyses sortis de nul part qui empêche un lecteur de croire à la probabilités de tels événements.. ce qui est dommage dans un récit d'enquête non paranormale. Hâte d'en lire la suite pour me faire une véritable idée de la série.

Nous suivons les aventures d'un jeune journaliste Yûto Ogasawara qui doit faire une enquête sur injonction de son chef. Là encore, c'est assez brutal comme donnée. Il n'y a pas de mise en forme ou de préparation psychologique. Bref, c'est peu crédible d'autant que notre héros a la tête d'un collégien et non d'un journaliste en herbe. Il est plutôt insipide ce qui n'incite pas le lecteur à continuer l'aventure malgré un premier tome qui remplit son rôle en guise d'introduction.

C'est véritablement le personnage de Riko avec sa belle chevelure qui intrigue. C'est elle qui semble être douée pour les expertises en tout genre. Elle trouvera toujours le moyen d'analyser en profondeur tout ce qu'on lui montre (ou pas d'ailleurs). Elle possède un très bon sens de l'observation. C'est elle qui porte cette série sur les bras d'autant que les tomes suivants sont plutôt assez intéressants par rapport à ce qui se prépare à savoir l'un des plus gros scandales du Japon contemporain. Les trois premiers volumes marquent le premier cycle autour d'une grande intrigue autour de faux billets.

Au niveau graphique, on notera un trait élégant qui sert plutôt bien ce récit. L'efficacité est de mise. On ne regardera plus la lettre Q de la même façon...

J'avais lu ce tome une première fois à la va-vite, entre deux autres lectures, et je n'avais pas forcément accroché. Ne m'en souvenant quasiment pas, je m'y suis replongé une seconde fois et j'ai été agréablement surprise.

Le concept "d'experte polyvalente", incarnée par Riko Rinda, est pour le moins original. La jeune femme ressemble à une sorte de détective/enquêtrice en tout genre, qui peut aussi bien expertiser un tableau que déceler une arnaque immobilière ! Sa capacité d'observation et d'analyse n'est pas sans rappeler celle d'un certain Sherlock Holmes, ce qui est indéniablement un compliment !

Ce premier tome constitue une entrée matière plutôt riche puisque l'auteur lance pas moins de deux intrigues simultanément : celle des mystérieux autocollants affichés partout en ville, et celle de l'arnaque immobilière découverte par Riko et Yûto. Dans le prochain tome, j'espère que l'auteur ne "s'éparpillera" pas, nous proposera une intrigue cohérente et prendra le temps de développer ses personnages.

Riko Rinda est une jeune femme travaillant au bureau "expertises en toutes genres Q". En effet, son sens du détail et ses grandes facultés de mémorisation en font une experte efficace. Un jour, d'étranges autocollants apparaissent sur les murs de la ville. Yûto Ogasawara, un jeune journaliste assez maladroit, décide d'écrire un article sur cette affaire. Ayant récupéré des autocollants, il cherche un expert pour les analyser et c'est ainsi qu'il frappe à la porte du bureau de Riko.
Ce duo fonctionne très bien : le côté plutôt enfantin et admiratif de Yûto met en valeur le côté professionnel Riko. le trait fin et élégant du mangaka permet de mettre en valeur cette grande brune au regard perçant. Ses capacités d'analyse, dignes de Sherlock Holmes, permettent à Riko de résoudre affaires les plus complexes. Ce qui en fait une histoire plutôt compliquée à suivre mais très intrigante.

L'un des titres proposés par Kana qui me tentait le plus en cette période de confinement et de tomes 1 gratuits. Mais j'ai été particulièrement déçue.
Tout repose uniquement sur Riko Rinda et ses talents d'enquêtrice/mentaliste à la Sherlock. C'est du vu et revu.Quand elle commence à énoncer ses observations, ça fait catalogue et on ne sait pas d'où ça sort. Ce n'est pas crédible.
Les affaires ne m'ont pas passionnée plus que ça, non plus. A l'image du sidekick jeune journaliste complètement fade qui suit tout ça en spectateur.
L'ensemble fait un peu trop froid et méthodique, en particulier du côté des dessins qui manquent vraiment d'âme.
Bref ça plaira à certains mais ce n'est pas fait pour moi.