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3,52

sur 143 notes

Critiques filtrées sur 3 étoiles  
Le style d'écriture naturel et la description "vraie" des personnages m'ont rapidement fait entrer dans l'histoire de cette longue novella, située entre SF et fantastique : du jour au lendemain, les pensionnaires d'une maison de retraite subissent d'étranges décharges énergétiques dans leur cerveau, suivis de visions d'images...

Si d'emblée je n'ai pas aimé l'inévitable et indécrottable pensionnaire commère et son amie bigote, j'ai tout aussi rapidement ressenti beaucoup de sympathie pour Henry Erdmann, le physicien nonagénaire, incapable d'analyser une situation autrement que par la science. Et il y a Carrie... l'aide-soignante qui a une grande affection pour Henry et dont le sort de femme battue ne peut laisser indifférent.

Nancy Kress a su dépeindre (presque tendrement) la vie quotidienne dans cette maison de retraite et les réactions de ses habitants avec réalisme... il n'en va pas de même pour le scénario science-fictif dont l'épilogue mystificateur ne m'a pas convaincue. Une lecture en demi-teinte.
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Quand j'ai commencé ce livre, j'ai eu beaucoup de mal à le reposer. Henry m'a tout de suite plu. Il m'a attendri ce nonagénaire qui n'a eu qu'une seul fierté dans sa vie : son cerveau. Son intelligence est toujours là, mais il sent bien que "ça pédale" moins vite, que la société n'est plus celle qu'il a connu. Et puis, c'est vrai que la vie de cette maison de retraite est bien dépeinte. Il y a ces p'tites vieilles que l'on a plaisir à détester, les idiotes qui nous irritent.

Le "mystère" est aussi bien amené. On comprend vite que ces "attaques" ont quelque chose d'anormal. Moi, lectrice, je me suis beaucoup questionnée : qu'est ce que l'auteur allait nous pondre...j'avais hâte de comprendre.

Et puis, les derniers chapitres...là l'auteur m'a perdu. Un discours scientifique, un peu de mystique, allé hop, emballé c'est pesé, on n'en parle plus. L'explication est rapide, elle tombe de nulle part, bref je suis loin d'être convaincue, dommage...

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En Résumé : J'ai passé un moment de lecture assez agréable avec cette novella, même si dans l'ensemble elle n'a pas répondu totalement à mes attentes. L'histoire en soit n'est pas mauvais offrant un récit de SF légèrement teinté de Hard science et de policier qui se laisse lire de façon plaisante et offre des réflexions intéressantes comme par exemple sur les personnes agées ou les violences conjugales. Les personnes se révèlent attrayants à découvrir, des héros humains, complexes qui offrent un panel assez large de notre société, sauf que voilà j'ai trouvé que parfois ils ne servent pas obligatoirement l'intrigue et surtout auraient mérité plus de présence. J'ai trouvé aussi les personnages secondaires plutôt caricaturaux. Autres points qui m'a dérangé, l'intrigue m'a ainsi paru classique ce qui la rend prévisible et enfin les passages sur le vaisseau spatial m'ont paru pas vraiment utiles. La plume de l'auteur est simple, efficace et entraînante offrant ainsi une histoire sympathique, mais que je classe dans le vite lu, minimum apprécié, mais rien de marquant.


Retrouvez ma chronique complète sur mon blog.
Lien : http://www.blog-o-livre.com/..
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Le Nexus du Dr Erdmann nous permet de suivre Henry, ancien physicien qui vit aujourd'hui dans une maison de retraite. Il donne quelques cours à l'université afin de garder un contact avec le monde qu'il affectionne tant. Quand les pensionnaires de la maison de retraite ressentent tous cette étrange douleur au cerveau, Henry s'inquiète de voir défaillir son atout le plus précieux.

L'intrigue est originale puisqu'elle nous permet de suivre des héros originaux. Personnellement, un roman avec des héros de 90 ans qui enquêtent sur des phénomènes inexpliqués, je n'ai jamais vu. le roman, bien qu'il soit court, ne donne pas une impression de trop peu. Je trouve pourtant que certaines idées auraient pu être un peu plus développées. Toute la théorie sur l'évolution de l'humain à travers le cerveau des personnes âgées par exemple nécessiterait plus de détails. de même, la fin semble un peu floue, l'auteur aurait probablement pu aller plus loin.

Pourtant, comme je l'ai dit, il n'y a pas de sensation de trop peu, je vois cette histoire comme une histoire qui agite, qui pose des questions, qui nous titille et qui nous laisse face à nos doutes, nos questions et notre imagination.

Alors certes, il y a quelques défauts, notamment les parties sur le vaisseau qui selon moi n'apporte pas grand chose à l'intrigue, certes le roman ne révolutionne pas le genre, mais j'ai vraiment passé un bon moment avec Henry et ses compagnons.

Lien : http://emlespages.blogspot.c..
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Je continue ma lecture des novellas de la nouvelle collection Une Heure-Lumière des éditions du Belial... Après le choix de McAuley et ses petits jeunes, me voici dans le Nexus du Dr Erdmann de Nancy Kress avec ses petits vieux. J'ai toujours apprécié Nancy Kress, notamment avec sa série Réalité Partagée, que je me désole de ne plus pouvoir conseiller en librairie, ou encore Danse Aérienne, novella qui pour moi est son chef d'oeuvre (ed. du Belial)... Je ne pouvais donc pas passer côté du "Nexus", novella qui a gagné le Hugo. Le principal de l'intrigue se déroule dans un hospice où des personnes âgées, comme le Dr Erdmann du titre, finissent tranquillement leurs jours sous l'oeil protecteur d'infirmières et de médecins... Bref, le Dr Erdmann, qui fut un éminent physicien, se voit confronté, soudain, à des pertes de conscience et à des flux d'énergie étranges qui le traversent (lui, mais aussi d'autres personnes âgées). Avec Carrie, sa jeune infirmière, ils vont affronter ces étonnants phénomènes... La novella est structurée au burin, tout est carré et à sa place. On est assez loin de la subtilité narrative ressentie chez McAuley, l'écriture est donc plus neutre et plus sobre, moins poétisée, misant sur cet atout pour dérouler aisément une histoire bien pensée et bien ficelée, qui au départ m'a rappelé l'épisode Kick the can de The Twiligth Zone, où vient s'adjoindre une ligne narrative récurrente qui nous permet de découvrir une étrange entité naviguant dans l'espace. Quoi qu'il en soit, la sobriété narrative (qui n'aide pas forcément à s'attacher à des personnages à la psychologie somme toute sommaire, même si l'on s'attache plutôt bien au Dr Erdmann et à Carrie) aide à prendre la mesure des concepts scientifiques développés par Nancy Kress dans son intrigue. C'est parfois un peu didactique, un peu facile et jeté en pâture, mais le tout fonctionne bien. Ainsi, on ressort de cette lecture avec l'agréable impression d'avoir vécu une jolie petite histoire. le principal.
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Nancy Kress, à travers cette histoire traitant de la complexité émergente aborde le problème plus large du Gestalt ou intelligence collective qui s'oppose à l'individualisme fondamental de l'homo-americanus.
Gestalt qu'on trouvait déjà dans «Les Plus qu'humains» en 1953 de Theodore Sturgeon et largement développé par d'autres auteurs avec leurs civilisations coopératives dont la notre. Ce qui en fait un problème de sociologie plus que de S.F.

Nancy Kress avec une certaine aisance nous parle donc de la civilisation humaine assemblage d'individus autocentrés psychologiquement qui entre en contact avec le vaisseau: une conscience intelligente collective à la recherche de ses égaux.

Chaque humain possède un cerveau et donc d'une multitudes d'atomes qui interagissent en permanence entre eux. Cantonné dans son narcissisme il est confronté individuellement avec cette conscience collective et l'entité est horrifiée par cet individualisme violent et destructeur constance. L'entité se tourne vers les humains empathiques.

Roman court très homogène plutôt de gérontologie et de sociologie
Une intrigue équilibrée qui va en s'intensifiant sans jamais laisser deviner la fin avec rythme soutenu, un humour à petite dose et de bon ton bien amené, un portait de femme Carry Vesey l'aide-soignante très réaliste (On pardonnera volontiers le personnage masculin extrêmement violent du concubin qui semble inéluctable dans tout écrit féminin (américain) d'autant plus qu'elle lui réserve un vilain sort, bien fait pour lui), des théories scientifiques sommaires mais parfaitement intelligibles, théories associées à des spiritualités religieuses. Il semblerait que la science pure, la hard, se mâtine, et chez les scientifiques et chez les écrivains, d'aspects religieux qui sont à mon sens complètement antinomiques mais bon là on reste dans la fiction!

Une S.F avec un vaisseau «vivant» qui tord
l'espace/temps et dont la propulsion se ressent comme une onde simultanée dans l'espace et les humains et ce pour la « technique » Une interconnexion espace /humain au sens de prospection interne de l'individu: cela se situe dans le cerveau des êtres humains donc leur conscience. du quantique vous dis-je..

La S.F est, ici, un support de narration, une caution mais n'en est pas l'objet

Prix Hugo du meilleur roman court 2009 Hum! Hum!
Pas plus mérité que celui de «les unes rêvent d'autres pas» 1991et «La fontaine des âges!» 2007 mais une écriture plus mature, synthétique et plus scientifique, moins mélodramatique, moins genré, plus neutre au niveau des personnages et ma foi plaisante.

Toutefois ce livre, certes agréable et qui se lit fort bien, me paraît un peu formaté, trop propret. Il semble que cela soit le cas général en littérature aujourd'hui d'où, on l'apprécie en pensant que cela pourrait être moins bien.

J'ai beaucoup de mal a retrouver le dynamisme sauvage et l'imagination débridée de la S.F de papy. Ils sont est en berne: c'est tellement sage. Trop!

Effectivement Aujourd'hui, le réel dépasse la fiction et les théories scientifiques sont en soi de sacrés morceaux de S.F. Et donc les auteurs ne peuvent plus précéder, anticiper la science.
Pour créer le seul créneau accessible reste l'introspection de l'être humain, ici cerveau, formuler un livre socialement genré et s‘accrocher à certaines théories scientifiques du moment pour en extraire une substantifique moelle adaptable.
A quand le sursaut salutaire?
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Dans une maison de retraite, certains patients se mettent à ressentir des douleurs inexpliquées et certains voient une corrélation entre celles-ci et des évènements concernant leur entourage …
Je suis mitigée par cette lecture, d'un genre très inhabituel pour moi car j'ai bien aimé les descriptions des personnages, leurs histoires et interactions, la réunion pour tenter de comprendre ce qui se passe mais vraiment, je n'ai pas tout compris, surtout la fin que j'ai relu plusieurs fois pour tenter de comprendre mais ???
En fait, j'ai plus adhéré au roman normal de cette maison de retraite qu'au côté SF.
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Tout d'abord, je dois dire que cette collection Une Heure Lumière m'intrigue depuis un bon moment, et que j'avais très envie de lire quelques-uns de ses titres. Mais payer dix euros pour des livres de même pas 150 pages, ça m'embêtait un peu. du coup, quand j'ai pu échanger celui-ci contre un de mes livres au cours d'un troc "livraddictien", j'ai sauté sur l'occasion. Surtout que c'était ce titre-là qui me faisait le plus envie.

Après lecture, je suis un peu embêtée, parce que d'un côté, j'ai vraiment apprécié cette histoire, et d'un autre côté, j'ai l'impression d'être passée à côté, car je n'ai pas du tout compris le pourquoi du comment, l'explication scientifique (ou pas) à tout ce qui arrive à ces personnes âgées. Est-ce que c'est voulu par l'auteur ou est-ce moi qui n'ai pas su faire assez travailler mes neurones, ou mon imagination ?...

Ce que j'ai aimé, c'est tout le côté "humain" : la vie dans cette résidence pour personnes âgées, les différentes personnalités des uns et des autres, les relations entre elles, les amitiés, les amours (partagées ou non), les petites mesquineries, les vérités qu'on ne dit pas mais qui démangent... Même en si peu de pages, tout cela est très bien rendu et l'auteur arrive à dresser un portrait à la fois acide et tendre de ce microcosme.

Mais c'est le lien qui s'est créé entre Henry Erdmann et son aide-soignante attitrée qui m'a le plus touchée, car c'est un attachement très fort qui est né peu à peu, à tel point que l'on croirait presque voir un grand-père et sa petite-fille. Leur relation dépasse le strict cadre professionnel, puisque le vieux professeur connaît tout des difficultés que traverse la jeune femme dans sa vie, et que celle-ci, quant à elle, prend la santé de son "patient" très à coeur et s'en préoccupe comme s'il était vraiment un proche. Et cette tendresse, entre eux, va avoir une grande importance au cours de l'histoire.

Ensuite, j'ai été très intriguée et passionnée par tout les phénomènes étranges et un peu inquiétants qui assaillent ces vénérables personnes : ces visions, ces sortes de "connexions" qu'ils semblent établir entre eux. D'autant plus que seuls les résidents de plus de 80 ans sont touchés, et qu'en quelques phrases, l'auteur nous fait comprendre qu'il en est de même tout autour de la Terre. Donc, que le phénomène est mondial et ne touche pas que cette Maison de retraite.

Grâce à la médecine, et notamment aux IRM, on apprend que normalement, ce qui se produit est impossible, cérébralement parlant, donc j'étais très impatiente de voir jusqu'où cela irait, jusqu'où les "pouvoirs" de ces personnes se développeraient, et surtout, j'avais vraiment hâte d'apprendre ce qui se passait réellement, pourquoi tout cela arrivait et d'où cela venait ?

Et c'est là que j'ai été un peu déçue, car même si j'ai plus ou moins compris ce qui est arrivé au moment du dénouement, je me suis sentie vraiment déroutée car pour moi, là, on n'était plus dans de la science, mais quasiment dans de l'ésotérisme. Ou alors, s'il s'agissait toujours de science (ce qui semblerait logique, puisqu'on est dans une collection de science-fiction), il m'aurait fallu un peu plus d'explications. Car là, je n'ai vraiment rien compris au processus, au comment et au pourquoi. C'était assez désagréable, car j'avais l'impression d'être au bord de la compréhension, mais de ne pas arriver à décoder les réponses.

Et surtout, je ne suis pas du tout parvenue à comprendre la raison d'être des cours interludes insérés régulièrement entre les chapitres. Ces interludes parlaient apparemment de vaisseaux, d'espaces intersidéraux, d'organismes en pleine création, etc... Mais jusqu'au bout, j'ai été incapable de saisir quel était le rapport avec l'histoire, ni même si on était réellement dans les immensités de l'univers ou si c'était une métaphore pour parler de phénomènes se déroulant en réalité dans l'organisme humain. Mais qu'il s'agisse d'un cas comme de l'autre, je ne sais toujours pas ce que j'ai lu, ce qu'on m'a décrit. Et c'est à la fois perturbant et assez frustrant.

En fait, je pense que, pour moi, ce roman était un peu trop court, ou en tout cas trop sibyllin, dans le sens où il y avait trop de choses à déduire par soi-même. Ce qui ne m'a pas empêchée de passer un bon moment de lecture, même si cela peut paraître paradoxal.


Conclusion : Un roman agréable à lire, intéressant, avec des personnages attachants, mais qui me laisse mitigée car frustrée de ne pas avoir tout compris.

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Merci premièrement au membre de la communauté qui a créé une liste regroupant les oeuvres disponibles au édition le Bélial'. le style SF n'est pas celui que j'affectionne le plus mais le format novella/court roman en plus d'une série comptant déjà plusieurs titres allait sans doute réussir à capter mon attention. le Nexus du Dr. Erdmann est le premier à atterrir dans ma PAL, par pur hasard.

L'action se déroule dans une résidence pour personnes âgées et où le protagoniste principal a 90 ans. Bien qu'on sorte des sentiers battus de ce côté, c'est justement ce thème de la vieillesse qui sert de trame au récit. La jeunesse qui n'est plus qu'un souvenir, la maladie et toutes les émotions d'une sagesse plus ou moins acceptée et qui crée une force du nombre menant à des événements incompréhensibles au sein de ce petit groupe. C'est l'aide soignante de Dr. Erdmann qui mènera sa petite enquête sur ce mystérieux mal qui semble affliger plusieurs membres de la résidence.

Je ne sais trop quoi en penser. J'ai quand même passé au travers les quelques dizaines de pages assez rapidement et l'immersion a été un succès. C'est peut-être cet aspect métaphysique qui m'a un peu dérouté car ce n'est pas un domaine que je connais vraiment ou suis habitué de voir dans mes lectures. J'ai également pas trop saisi la finale mais c'est peut-être bien le but visé aussi. J'ai bien aimé la personnalité des quelques personnages qu'on croise. le vieux scientifique qui ne jure que par le rationnel, un ancienne gloire du ballet qui vit dans ses souvenirs, la mégère, l'aide soignante qui voit son patient comme un idéal masculin. Un assez belle entrée en matière dans l'univers de cette série qu'il me fera un plaisir de découvrir encore plus.
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Nancy Kress propose une immersion plaisante au milieu de tous ces seniors qui vivent dans leur propre écosystème avec problèmes de santé, cancans et histoires de coeur. le ton est assez comique au sein de cette atmosphère bon enfant est tendre, et se mélange bien à ce mystère autour de ces absences.

Malheureusement, le tout est bien trop mou pour que l'on prenne réellement plaisir à découvrir le fin mot de l'histoire. le regard sur la vieillesse, sur le dysfonctionnement du corps et de l'esprit, et sur les expériences engrangées par les années, est intéressant à explorer mais l'autrice n'apporte pas assez de rythme à toute son histoire.

De plus, elle jongle entre facilités scénaristiques et manques d'approfondissement. Alors qu'une enquête s'ouvre en lien avec l'aide soignante et Henry, l'inspecteur en charge de l'affaire est bien trop clairvoyant alors que rien ne l'amène à avoir des doutes pareils. Et d'un autre côté, l'histoire autour d'Anna, ancienne danseuse étoile, et de Bob, qui est fasciné par elle, est tellement effleurée que l'on se demande finalement à quoi elle sert.

S'appuyant sur des théories scientifiques, l'intrigue prend par la suite une tournure bien plus mystique. Malheureusement, ce choix est encore assez mal exploité par l'autrice, elle ne va pas au bout de son concept et de ses idées, préférant conclure son histoire avec des éléments qui sortent un peu de nulle part.
Lien : https://entournantlespages.w..
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