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3,56

sur 959 notes

Critiques filtrées sur 3 étoiles  
Je vois les tomes de cette série depuis des années sur les blogs et en librairie. J'ai toujours été intriguée par ces titres et ces couvertures accrocheuses sans jamais oser franchir le pas, trop sceptique. Il y a quelques temps, Evy avait proposé un concours sur son blog et j'avais eu la chance de gagner ce premier tome (merci !). Si le destin s'en mêlait, il était peut-être temps pour moi de découvrir cette saga de Melissa de la Cruz. J'ai profité d'une lecture commune organisée sur Livraddict pour me jeter à l'eau !
Résultat : j'avais raison d'être sceptique. Tout ce que je redoutais est bien présent au détriment de ce que j'espérais… Ce premier tome est définitivement plus « Manhattan » que « vampires » et quand on me connait un minimum, on sait que ça ne pouvait que casser ! Heureusement, la dernière centaine de pages m'a fait revoir mes impressions légèrement à la hausse. Sans celles-ci, je n'aurais jamais envisagé de lire la suite ; grâce à elles, je me lancerai peut-être dans le second tome si je le trouve d'occasion (et uniquement à cette condition !).
Vous l'aurez compris, je sors mitigée de cette lecture, mais je m'y attendais fortement donc je ne suis pas déçue.

Theodora, bientôt 16 ans, est élève à Duchesne, l'école huppée de New York, depuis des années. Elle côtoie quotidiennement les plus grand(e)s fils et filles de, notamment les jumeaux Force - Mimi et Jack (en réalité Madeleine et Benjamin) - unis comme les doigts de la main et beaux comme des dieux.
Avec Oliver et Dylan, ses deux seuls véritables amis, Theodora forme un trio de « loosers » pestiférés qui profitent de leur jeunesse au « Bank », une boîte réservée aux gens comme eux. de leur côté, Jack, Mimi et sa cour (dont fait partie Bliss, la fille du sénateur) se retrouvent dans le bâtiment en face, le « Block 122 », la boîte la mieux vue de la ville.
Le lendemain d'une soirée banale, les élèves de Duchesne apprennent que l'une d'entre eux, Aggie de la bande de Mimi, a fait une overdose (c'est la version officielle) au « Block 122 ».
Le petit train-train quotidien de ces gosses de riches s'apprête à changer. La mort mystérieuse d'une élève (apparemment un meurtre) n'est pas le seul élément étrange ces derniers temps… Theodora et Bliss découvrent des veines bleutées sur leurs bras et commencent à avoir des visions de ce qui semble être leur passé… Qui sont-elles vraiment ? Et qui a tué Aggie ?…

En ouvrant ce livre, je n'avais qu'une peur, que le côté chick-lit de Manhattan soit trop mis en avant. Et bien j'avais raison puisque ce que je déteste le plus au monde est ici présent : le côté fashion girly inutile et insupportable…
Melissa de la Cruz s'amuse à décrire avec de nombreux détails les tenues de ses protagonistes en insistant bien sur les noms de marques. Je me serais crue dans le Diable s'habille en Prada (de Lauren Weisberger) que j'ai détesté, soit-dit en passant ; une horreur !
Ajoutez à cela des personnages plutôt imbuvables - personnellement, l'occupation des gosses de riches qui se limite à poser pour des photos et à faire la fête, ne m'intéresse absolument pas ! - pour lesquels je n'ai donc eu aucune sympathie, ou quasiment, ne laissait rien présager de bon pour la suite des évènements…
Cependant - ouf -, l'auteure met en place (un peu difficilement quand même) une « mythologie » vampirique qui m'intrigue. Cette histoire des « quatre cent », des différents « sangs »… m'a assez titillée pour que j'ai envie de connaître la suite. Je suis un poil moins convaincue par le côté « biblique » (mais je n'en dis pas trop) dans l'histoire des vampires même si ça tient parfaitement la route ; c'est plutôt la façon par laquelle c'est amené qui manque de subtilité, mais peut-être que le second tome (si je le lis un jour) me fera changer d'avis…

Je reviens un petit peu sur les personnages que j'ai qualifié plus haut d'imbuvables. Réparons cette généralité qui ne rend pas justice à toutes les figures.
Commençons par Theodora qui se place vite comme l'héroïne de l'histoire : je l'ai trouvée molle, fade, deux de tension. J'ai rarement compris ses réactions et ses émotions. Les éléments sur sa « généalogie » semblent cacher quelque chose d'intéressant, mais on n'en sait encore trop peu pour que je me prononce.
Mais ce n'est rien comparé aux jumeaux Force qui eux sont carrément haïssables, j'ai juste eu envie de trucider Mimi. Et Jack comme figure du beau gosse dont on tombe amoureuse ? Désolée, la lectrice que je suis n'a jamais succombé à son « charme » et avait juste envie de lui en mettre une !
En revanche, j'ai été surprise d'apprécier Bliss. Je pense que la demoiselle a du potentiel et pourrait même avoir une personnalité complexe qui mériterait d'être traitée !
Mais mon personnage chouchou, malgré sa place secondaire, c'est Oliver. Il est certes effacé, en retrait, mais il est un des rares personnages de cette histoire auquel je me suis attachée ; j'espère qu'il prend de l'ampleur par la suite !

Vous l'avez compris, Les Vampires de Manhattan c'est en fait un mélange de chick-lit et de bit-lit avec, malheureusement, trop d'accentuation sur le premier genre. Cela dit, comme nous le promettent toujours les livres de ces catégories, la lecture est facile, très abordable et pas prise de tête (enfin, excepté l'étalage de marques à toutes les pages).
Les chapitres sont courts et présentent en alternance des points de vue différents : on suit tour à tour Theodora, Bliss, Mimi,… toujours à la troisième personne du singulier. La caméra est un peu partout, on peut grappiller des éléments auprès de chaque personnage. Il y a également quelques rares passages du journal intime d'une débarquée du Mayflower à Plymouth en 1620. Intéressants - car au début, on se demande vraiment quel est le rapport entre ces extraits et l'histoire actuelle - mais assez peu « vraisemblables ». Je doute qu'en 1620 une femme se soit exprimée ainsi dans son journal, mais ce n'est qu'un tout petit détail.
Si on oublie l'emploi répété et exagéré des marques dans les descriptions textiles poussées à l'extrême au début, c'est plutôt bien écrit. Contrairement à d'autres livres du genre, le lecteur n'est pas noyé par les dialogues, c'est appréciable.
Cela dit, le thème et la plume en général me feraient plutôt conseiller cette lecture à des adolescentes ; c'est un peu juste pour les adultes, à mon goût.

Je crois qu'on peut conclure en disant que suis peu convaincue par ce premier tome mais qu'il y a quand même un potentiel donc un maigre espoir que la suite soit meilleure… Je n'ai pas vraiment apprécié ma lecture, mais comme ça se lit vite et facilement, je n'ai pas peiné à aller au bout.
Un bon point pour l'illustration de couverture (est-ce une représentation de Mimi ?) qui attire le regard ; et j'adore le violet !
Lien : http://bazar-de-la-litteratu..
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Ce livre traînait dans ma PAL depuis 2008 ! Allez savoir pourquoi, cela m'agaçait de voir sa tranche violette me narguant à chaque fois que je regardais en direction des livres à lire. J'ai décidé de me lancer dedans pour l'expédier rapidement. Car, disons le honnêtement, je n'en attendais vraiment rien.

Il faut dire que le résumé de quatrième de couverture n'aide pas. Présenté comme une sorte de chick-lit aux dents longues, Les Vampires de Manhattan est en réalité bien plus que ça.

Pour pouvoir savourer réellement ce livre, il faut bien attendre la moitié de l'histoire. Et c'est là, son plus grand défaut. Si le ton est résolument chick-lit en première partie avec du Prada, du bon chic bon genre et des marques de luxe citées à la pelle (et qu'est-ce qu'on s'en tape), la seconde moitié change du tout au tout.

Plus sombre, plus fantastique, les vampires débarquent et les choses sérieuses commencent. L'occasion de vraiment découvrir les personnages qui composent la série. Et il y en a un bon paquet. Parmi eux, j'ai beaucoup aimé le personnage de Theodora, une jeune fille hors convention. Bien qu'elle fréquente la haute, contre son gré, elle est elle-même, bonne vivante, un peu casse-cou, spéciale.

C'est, avec Jack et Mimi, le personnage qui sort vraiment du lot dans ce premier tome. On la sait hors du commun, on sent son potentiel et, à elle-seule, elle réussit à nous donner envie de lire la suite.

Suite que je ne pensais même pas lire, je l'avoue. Mais la fin du tome et ses nombreuses révélations m'ont fait changer d'avis. Melissa de la Cruz sait comment harponner ses lecteurs. Et sa vision du vampirisme me plait. Adieu vampire cliché archi-connu. L'auteur réinvente le mythe. Ici, les vampires sont des êtres déchus des cieux. Et ce n'est pas leur enveloppe qui vit éternellement. C'est leur sang. Chaque vampire vit pendant un cycle (environ cent ans). Il peut, soit décider de stopper son cycle et de rester immortel, soit continuer et se reposer (mourir en somme) pendant un temps donné. Son sang est alors récupéré pour pouvoir permettre à sa vie, sa mémoire et ses souvenirs de perdurer et de se réincarner dans une nouvelle enveloppe. Une fois que son cycle recommence, le vampire ne récupère sa mémoire qu'à son adolescence.

Avouons-le, moi, un truc comme ça, ça me plait ! Et quand c'est bien amené avec un fait divers américain bien mal connu, celle des Croatan, je ne peux qu'accrocher. J'ai découvert cette histoire dans un épisode de Supernatural. Il existe 13 colonies anglaises, fondatrices des USA. L'une d'elle était connue sous le nom de Colonie de Roanoke. Si elle est connue aujourd'hui, ce n'est pas pour ses accomplissements. Mais parce qu'elle a disparue.

Tout s'est passé en 1587. le groupe de colons envoyé par la Reine pour établir une colonie en Virginie (actuelle Caroline du Nord), composé de 91 hommes, 17 femmes et 9 enfants débarque sur les terres américaines. le lieu est nommé Roanoke Island. Les hommes font connaissances avec un groupe d'indigènes, les Croatan. La relation tourne au vinaigre lorsqu'un colon est assassiné par les indiens.

Un homme, John White, responsable de l'expédition est dépêché pour retourner en Angleterre afin d'avoir des renforts. Il mettra trois ans à revenir. A son retour, il ne trouvera aucune trace de la colonie. Celle-ci a mystérieusement disparue et White ne trouve pour seul indice qu'un mot, gravé sur l'une des palissades du fort : Croatan.

Cette histoire est une des plus mystérieuses du folklore américain et déchaîne, aujourd'hui encore les passions.

C'est sur cette histoire qu'est réellement basée Les Vampires de Manhattan. Et je trouve celle-ci passionnante. Si ce premier tome démarre doucement, il corrige rapidement ses défauts pour offrir un scénario intéressant et prometteur.

J'ai hâte de lire la suite, déjà commandée et de savoir ce qui va se passer pour Théodora et les Sang-Bleus. Tant de questions dont j'attends les réponses. Une très bonne surprise !
Lien : https://parole2libraire.word..
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Les vampires de Manhattan est un mélange de Twilight et de Gossip Girl. C'est une histoire sympathique, et le mélange de la haute société avec les vampires est une idée intéressante et moins niaise que Twilight.
ça se lit facilement, on passe un bon moment.
Mais ça s'oublie vite, hélas :/ même si l'histoire est sympa, ni Theodora, ni Oliver, ni Mimi ou Jack n'ont su me donner un coup de coeur ou attiré mon attention.
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Roman visant clairement un public « jeune adulte », les vampires de Manhattan (premier de la série) réussit son pari : celui-ci est récréatif et sans prise de tête. Une lecture facile et le lecteur est tout de même emportée par l'histoire. Les dialogues semblent parfois « téléphonés » mais remplissent leurs offices. de plus, l'auteur mêle deux genres qui font fureur auprès des plus jeunes : Chick & bit- litt. Moins habituée à ce type de littérature, cela m'a fait tout de même du bien de lire un roman moins sérieux que d'habitude. Après, je ne sais pas si je compte lire la série… Probablement que non ou entre deux romans plus complexes. Malgré les avis négatifs, j'ai trouvé que l'intrigue est rondement menée et donne envie aux lecteurs de lire la suite.
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J'ai emprunté ce livre pour avoir une lecture un peu plus facile, plus légère et parce que je me demandais si ce ne pourrait pas être de la romance paranormale, et c'est loin d'en être! Au début du livre, j'avais l'impression de suivre un peu les gens du même monde de Gossip Girl. Je trouve dommage qu'il soit long avant qu'on entende parler de vampires et de sang-bleus. Heureusement, on a quelques extraits d'un journal du passé qui venaient garder mon intérêt. J'aurais aimé que l'enquête sur le meurtre de Aggie soit beaucoup plus prononcé. Et j'aurais aimé que Croatan soit autre chose que des sang-d'argent, ces créatures au poil gris... D'ailleurs, il m'est arrivé souvent de me dire que j'aimerais que les vampires soient beaucoup plus présents, car c'est sensé être de la bit-lit également, et même si je suis loin d'être adepte du genre, j'ai trouvé cela dommage. Aussi, dès qu'ils savent ce qu'est Croatan, j'ai trouvé que les archanges mêlés au monde de sang-bleu et de sang-d'argent me faisaient pensé à la saga A.N.G.E. Donc, j'ai l'impression que ce livre ne m'a rien proposé de réellement nouveau. Ce ne fut pas une perte de temps, car il se lit très facilement et vraiment vite, mais je n'ai pas l'impatience de me jeter sur la suite, même si je sais que je la lirai, un jour. J'espère que mes j'aurais aimé seront plus développés dans les prochains tomes.
Lien : http://paysdecoeuretpassions..
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Lanvin, Roberto Cavalli, Chanel, Gucci... sont auutant de marques qui viennent noircir les pages de ce roman. La plupart du temps, je n'en connaissais même pas la moitié. Blue Bloods, c'est Gossip Girl chez les vampires. Bon d'accord, on est dans l'Upper East Side, on se doute bien que les personnages ne seront pas les bouseux du coin de la rue, mais il n'était peut-être pas nécessaire de faire étalage de la fortune de chacun, à chaque page.
Passé ce détail, l'histoire des Vampires de Manhattan se révèle plutôt originale.

L'intérêt de cette saga repose sur sa mythologie des créatures de la nuit, particulièrement captivante.
(Attention spoiler!!!)
Ici, les vampires ne sont pas tout à fait immortels ; du moins, pas au sens où on l'entend habituellement. C'est leur sang et la mémoire de leurs vies précédentes qui font de chaque descendant un vampire. Ainsi, les sangs-bleus, comme ils se nomment, vivent chacun une vie plus longue que la normale, avant de quitter ce monde et de transmettre son sang à un héritier ou une héritière.
Mais une menace les guette, une menace venu de leur plus lointain passé, un passé difficile à se remémorer pour certains. (Fin du spoiler !!!! ^^)

L'idée de Melissa de la Cruz est vraiment intéressante et très bien développée. Elle présente tout un univers structuré, hiérarchisé, parfaitement encadré, où les surprises, pourtant, ne manquent pas. Chaque personnages a ses secrets et le lecteur est vite envoûté par la trame de la saga. Je dis de la saga et non du tome, car à lui seul, par contre, ce roman est un gigantesque prologue.

Une intrigue se dessine au début du volume 1 : la mort d'Aggie, une élève de Duschesne, mais aussi une sang-bleue. Comment un vampire a-t-il pu être éliminer définitivement ? A la fin du bouquin... bah... on sait toujours pas et on a à peine une hypothèse sur la créature qui aurait pu faire ça.
En fait, pendant 340 pages, le lecteur suit une adolescente de 15 ans entre ses sorties en boîte, ses tenues "vintages" et ses réunions du club des vampires. Pas très palpitant !

Ce tome 1 des Vampires de Manhattan est une longue mise en situation que le lecteur lit jusqu'au bout, uniquement pour en apprendre davantage sur les sangs-bleu, créatures incroyablement passionnantes.
Lien : http://biblio-steph.over-blo..
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Ce livre est le premier d'une trilogie écrite par Melissa de la Cruz, un auteur déjà bien établi dans la littérature jeunesse, notamment dans la chick-lit pour adolescentes. Il est publié dans la collection Wiz, la récente section d'Albin Michel, dirigée par Shaïne Cassim, un auteur jeunesse et adulte dont la qualité des romans n'est plus à faire. Par conséquence, j'attendais beaucoup de ce roman qui mêle ambiance chic et contemporaine et fantastique, ce qui a tout pour plaire. Même si le résultat n'est pas à la hauteur des espérances, comme toujours lorsqu'on en attend trop, il s'agit d'une histoire plaisante avec des personnages accrocheurs qui donnent envie de connaître la suite. (...)
Lien : http://oiseausecret.canalblo..
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Entre les très niais Gossip et Rebelles, l'histoire ne m'attirait pas du tout, et je ne voyais pas comment accrocher à des personnages de ce type, de ces milieux... c'était sans compter l'écriture riche et intéressante de l'auteur. Contente d'avoir acheté la série en vide-grenier !
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Chez mon bouquiniste, j'avais vu les quatre premiers tome pour 20 €, mon petit coeur n'a pas su résister longtemps d'autant que je voulais les lire depuis un bout de temps ! D'autant qu'ils étaient dans un état correct. Et je n'ai pas trop été déçue ! (chronique incomplète dû à un retard de publication - donc rien ne sera mise en avant)

Le premier tome de cette saga se déroule dans une Manhattan aux allures de Gossip Girl (ça tombe bien j'aime bien la série). Comme dans la série, on suit différents personnages qui auront chacun un rôle défini. On alterne d'une personnage à un autre, ayant la possibilité de connaître son ressenti. Bien qu'étant parfois radicalement différents, ils sont tous liés par un lien bien particulier qui est leur nature. Nature qui semble menacée.

Comme dit précédemment je n'ai pas été trop déçue par contre ce n'est pas non plus le coup de coeur de l'année. Mais certains m'ont rassurés en disant que la suite est bien meilleure. Ce qui m'a un peu cassé c'est les connaissances approfondie de l'auteur sur la mode. Une profusion de marques inconnues dans mon champs de bataillon, c'est presque si on n'a pas le prix avec. Ces détails étaient purement inutiles, mais bon comme ça j'ai appris que l'auteur était une férue de mode. Mais si on mets de côté cet aspect, j'ai beaucoup aimé la mythologique empruntée par l'auteur. L'angle pris pour aborder la mythologie vampirique est vraiment l'aspect qui m'a plus plu et dès qu'on pousse un peu plus loin dans l'intrigue ça devient très sympa et on brûle d'en savoir plus ... C'est donc vers la deuxième moitié que tout se bouge et qu'on mets un peu de côté la phase fashion de l'auteur.
Ce qui est sûr, c'est que je lirai la suite qui m'attends dans ma PAL bien sagement, un peu trop d'ailleurs !

On va du personnage grungie à la nana imbuvable du type Blair Waldorf puissance 10 et on a vraiment de belles surprises avec certains. J'ai adoré Théodora qui se la joue bobo-chic et en qui j'ai reconnu une partie de mon adolescence.

Concernant la plume de l'auteur, elle s'avère plutôt fluide une fois abstraction faite de son tapage modesque. On a droit à des rebondissement assez sympa une fois la première moitié passée, car avant on se demande où l'auteur veut en venir. C'est un peu le jeu de l'âne et la carotte avec une fin qui vous laisse carrément sur votre faim et vous donne envie d'en savoir davantage !
Lien : http://bulledepomme.blogspot..
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Voici un livre que je n'aurai peut-être pas lu sans 1/ le baby challenge Bit litt et 2/ la lecture commune propposée par Galleane sur Livraddict. Alors, qu'en ai-je pensé ?

L'histoire tout d'abord. Assez longue à démarrer, on assiste à une mise en place de personnages dont on suivra les mésaventures au fil de plusieurs tomes. L'intrigue se situe donc au coeur de Manhattan (ça on s'en serait douté), dans un milieu lycéen très (très très) aisé. Bon, à priori, ça se confirme, ce n'est pas trop le type d'intrigue qui va me mettre en transe.... Très vite, les différents caractères se dessinent les liens se nouent et se dénouent, les choses se mettent en place donc. Après cette entrée en matière, on peut enfin plonger au coeur de l'intrigue (passé la page cent au moins...). Et là encore, j'ai trouvé que tout allait un peu au ralenti... J'avais deviné certaines choses bien avant de les lire. Et la chute m'a laissé un peu perplexe...Mais j'ai aimé le "détournement" de l'expression "avoir le sang bleu"...

Le style ensuite. Oh là là ! Je n'aime pas la mode, les marques, et je ferais très difficilement la différence entre "petite robe noire Prada" et "une petite robe noire trucmuche".... Alors lire toutes les 5 lignes le détails des marques pour chaque vêtement porté...ouhh... mais que c'est lourd ! J'imagine que l'auteur à voulu insister sur le milieu, l'argent brassé, voir jetté par les fenêtres... Personnellement, cela m'a un peu lassé. A part ce "léger" détail, l'écriture est simple mais pas trop "nunuche", et le livre se lit très vite et très bien.

Alors, qu'est-ce que j'en retiens ? Et bien une petite détente assez agréable, mais sans plus, un livre que je conseillerai à mes nièces de 15 et 13 ans, mais qui restera peu dans ma mémoire.
Lien : http://sofynet2008.canalblog..
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