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EAN : 9781030700450
Au Diable Vauvert (22/04/2016)
4/5   17 notes
Résumé :
À vingt ans, Charlotte envoie ses vers au plus grand poète de son époque. Mais justement l’époque victorienne ne lui est guère favorable. Implacable, le grand homme lui conseille de rester à sa place : à la maison ! Elle et ses deux petites sœurs, Emily et Anne, sont d’ailleurs priées de s’effacer devant leur frère ainé, Branwell, que leur père considère comme un génie. Mais le presbytère familial, la lande à perte de vue, le climat austère et surtout le désir inass... >Voir plus
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Critiques, Analyses et Avis (10) Voir plus Ajouter une critique
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C'est une collection très prometteuse que nous offre les éditions Au diable Vauvert, notamment avec cet ouvrage, Les soeurs Brontë à 20 ans.

Le récit débute sur un moment crucial dans la vie de Charlotte. Elle a tout juste 19 ans, et n'a pas d'autre choix que de quitter le presbytère familial de Haworth pour aller enseigner. Les moyens sont limités, il faut bien travailler.

A partir des évènements marquant la courte vie de Charlotte, d'Emily et d'Anne, Stéphane Labbé nous parle des relations familiales de cette célèbre fratrie très vite frappée par le deuil, du rapport au père et au frère, et de leur rapport si particulier à l'écriture.
3 soeurs au caractère dissemblable mais passionné : Charlotte, la plus déterminée, Emily, la plus exaltée, et Anne, la plus discrète.
Stéphane Labbé revient sur leur éducation, riche et libre, sur la difficulté d'être une femme à cette époque, et qui plus est une femme qui aspire à écrire. On retrouve dans cette biographie l'atmosphère particulière et mystérieuse qui entoure les Brontë.
On sent nettement que l'auteur est un admirateur d'Emily et du récit enfiévré et atypique des Hauts de Hurlevent, on pourrait donc parfois sentir un léger parti pris face aux écrits des autres soeurs, sans que cela soit toutefois gênant.

C'est un ouvrage bien documenté, très bien écrit. J'ai pris beaucoup de plaisir à le lire et à parcourir un bout de chemin dans ces landes si sauvages du Yorkshire.
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Avec une écriture simple et efficace, l'auteur Stéphane Labbe nous livre les éléments de la vie des soeurs Brontë les plus intéressants pour mieux comprendre leur oeuvre.
Nées dans un milieu austère et dans une religiosité qui confine au fanatisme, elles ont toutes les trois connues une vie assez difficile. Leur père Patrick Brontë est vicaire. Charlotte a deux soeurs aînées quand elle naît le 21 avril 1816. Un an plus tard naît son frère Patrick-Branwell (26 juin 1817) surnommé Branwell, puis sa soeur Emily (30 juillet 1818) et enfin Anne (17 janvier 1820). Leur mère meurt prématurément le 15 septembre 1821 et leur tante très religieuse s'installe au presbytère pour les élever.
Les deux aînées, Maria et Elizabeth, atteintes de la tuberculose, décèdent lors de leur première année à l'école Cowan Bridge où elles sont pensionnaires. Il ne fait aucun doute que ce pensionnat au règlement draconien, avec une pédagogie douteuse et des enseignements donnés par des enseignantes impitoyables (sans oublier les châtiments corporels et l'hygiène douteuse) ont inspiré Charlotte pour son livre « Jane Eyre » et par ailleurs, le personnage d'Hélène Burns, l'amie de Jane Eyre est inspiré de Maria, sa soeur aînée.
Au cours de leur enfance et de leur adolescence, les petits soldats de plomb de Branwell seront les seuls jouets en leur possession. Ils se réfugient tous les quatre dans des mondes imaginaires. Les deux aînés, Charlotte et Branwell consignent leurs aventures par écrit dans des tous petits carnets. Branwell aime particulièrement les intrigues géopolitiques et les récits de bataille. Charlotte aime les romances et les jeux de politique. Les benjamines Emily et Anne inventent également un univers imaginaire : Gondal.
Dès la fin de l'adolescence, Charlotte, Emily et Anne seront institutrices et gouvernantes. Leurs expériences plutôt malheureuses auront un impact sur leurs oeuvres.
Charlotte souhaite devenir écrivain, mais son père estime que c'est l'homme de la famille qui doit être l'artiste de la famille : Branwell se voit offrir des cours de peinture, mais il se révèle un élève assez médiocre. Il se noie dans l'alcool et se drogue avec du laudanum. En outre, quand Charlotte envoie au poète Robert Southey des extraits de ses oeuvres, il lui répond en lui disant qu'effectivement elle a du talent mais que bon, l'écriture c'est pour les hommes et qu'elle devrait réserver son talent à ses proches.
Les trois soeurs s'unissent pour publier mais elles meurent toutes les trois prématurément et leur père enterre tous ses enfants. Branwell succombe en 1848, suivit de près d'Emily, puis d'Anne en 1949. Charlotte décède en 1855.
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Jane Eyre et Les Hauts de Hurlevent étant mes deux romans préférés de tous les temps, il me tardait d'ouvrir cette biographie signée Stéphane Labbe. S'il me reste encore à découvrir la plume de la plus jeune des soeurs Brontë (Anne), j'avais déjà eu un petit aperçu du vécu de la fratrie avec le monde du dessous (recueil répertoriant quelques poèmes d'enfance, si peu connus). Ici, Stéphane Labbe nous brosse le portrait d'une famille unie mais heurtée par de nombreux drames. Tout y est : Haworth. le presbytère isolé. Les landes battues par le vent. J'ai une nouvelle fois adoré retrouver les soeurs Brontë. J'y ai même appris de nombreux détails, comme le désintérêt de Charlotte pour les romans d'Anne dont elle fera peu d'éloges à la fin de sa vie ; le sacrifice des trois soeurs pour subvenir aux besoins de Branwell, destiné à une brillante carrière ; le caractère dur et revêche de la tante Branwell (qui viendra seconder le pasteur à la mort de sa femme). J'ai beaucoup aimé cette biographie qui s'attache à dresser un portrait fidèle de chacun des membres de la famille Brontë. Il me tarde maintenant de découvrir Agnès Grey, ou encore de lire la biographie de Daphné du Maurier consacrée à Branwell.

L'auteur commence à nous présenter la famille Brontë au grand complet en démarrant par le père, Patrick, pasteur dont il retrace le parcours. Né en Irlande, Patrick Brontë est un homme très cultivé qui reportera sur Branwell de grandes ambitions. La tante Branwell viendra le seconder dans l'éducation des enfants, suite au décès de Maria (sa soeur). le climat venteux, les conditions de vie difficiles d'alors ne manqueront pas d'occasionner de nombreux drames dans le vécu de la famille, à commencer par le décès des deux filles aînées (mortes en pension). Charlotte, Emily et Anne en resteront marquées pour toujours.

Les chapitres suivants mettent tour à tour en lumière la fratrie Brontë. Si Emily, peu sociable si ce n'est “sauvage”, aimait plus que tout le quotidien du presbytère et les longues promenades sur la lande, Charlotte (en tant qu'aînée) se sera toute sa vie sacrifiée pour le bien de sa famille. Anne se montre plus douce et réservée que ses soeurs, elle restera la préférée de sa tante et sera peut-être la plus sensible au poids de la religion sur le quotidien d'alors. Il est de même intéressant de constater le rôle clef de Branwell dans la carrière littéraire de ses soeurs. Artiste dans l'âme et exubérant, les Brontë placeront en lui tous les espoirs de la famille. Malheureusement, fragile, le jeune homme sombrera progressivement dans l'alcool, l'opium et la dépression suite à une déception amoureuse. Il ne pourra se montrer à la hauteur des lourdes attentes de son père et de ses soeurs. Charlotte, Emily et Anne s'étant sacrifiées pour subvenir aux dépenses de leur frère, elles ont désormais le feu vert pour laisser vivre leur passion : l'écriture.

Dès leur enfance, grâce à Branwell, les trois soeurs ont cependant eu l'occasion de développer leur imagination et leur goût pour l'écriture. À travers les petits soldats de plomb offerts au grand frère, la fratrie imagine de folles aventures. Charlotte se rapprochera de Branwell, pour décrire des personnages et des décors à tonalité exotique : tous deux donneront naissance au royaume d'Angria. Emily et Anne uniront leurs efforts pour écrire autour d'un royaume au climat plus venteux, le royaume de Gondal (associé à l'archipel de Gaaldine).

Plus que tout, j'ai également apprécié découvrir les liens unissant la fratrie. Si Emily se sentira toujours très proche d'Anne (inséparables, elles étaient souvent comparées à des soeurs jumelles), Charlotte se sentira parfois laissée pour compte. Autre élément : lorsque Branwell commencera à sombrer, seule Emily le soutiendra jusqu'au bout. Ce ne sont peut-être que des détails, mais je me suis ainsi sentie plus proche du quotidien des soeurs Brontë tout en ayant un tout autre regard sur les personnalités de chacun. Passionnant !

Les grandes étapes de la vie de la famille sont bien sûr tour à tour évoquées. Les différents postes en tant que gouvernante ou institutrice. le séjour de Charlotte à Bruxelles (c'est d'ailleurs là que Charlotte rencontrera l'amour pour la première fois). La descente aux enfers de Branwell. Les décès d'Emily, puis d'Anne, emportées par la tuberculose. La solide amitié entre Charlotte et Elizabeth Gaskell.

Vous l'aurez compris, j'ai beaucoup aimé cette biographie que j'ai dévorée d'une traite. le tout me semble fidèle à ce que furent les soeurs Brontë. Il ne reste plus qu'à lire / découvrir leurs oeuvres. Encore et encore.
Lien : https://labibliothequedebene..
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Passionnée par les écrits des soeurs Brontë, que je relis régulièrement, cette biographie qui leur est consacrée représente un complément très instructif.
Avec une belle écriture très agréable à parcourir, Stéphane Labbe nous emmène vers ces années 1835-1842 pour nous éclairer sur les lieux et les contextes qui ont donné naissance à quelques chefs-d'oeuvre de la littérature anglaise.

Branwell, Charlotte, Emily et Anne s'inventent des royaumes où s'expriment leurs imaginaires débordants de créativités littéraire et poétique.
Les trois soeurs ont un attachement profond au presbytère de Haworth. Sujettes, tour à tour, aux dépressions et souvent de santé fragile, elles oscillent entre des placements en tant qu'enseignante ou gouvernante et des retours dans leur maison d'enfance.
Charlotte n'est pas à l'aise dans l'enseignement et considère ce travail comme une servitude. Elle a soif de liberté et ses désirs vont irrémédiablement vers l'écriture. Mais en tant que femme, à cette époque, il est bien difficile de se faire une autre place même au sein de sa propre famille. Tous les espoirs reposent sur l'unique garçon, Branwell, plutôt fantasque et dont les addictions courront rapidement à sa perte.
Emily, exaltée, enfermée dans son mutisme, est très attachée à la lande : un amour que l'on retrouvera dans « Les Hauts de Hurle-Vent ».
Anne, la plus discrète, effacée, est très proche d'Emily. Des affinités se créent au sein de cette fratrie.

Leur part de vécu se retrouve immanquablement dans leurs romans et ce petit livre sur la genèse de leurs futurs écrits est passionnant.
C'est un bel ouvrage qui vient compléter agréablement les oeuvres de ces trois soeurs et nous dévoile le destin tragique de leurs existences.
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Comme c'est la troisième ou quatrième biographie des soeurs que je lis, je n'ai pas appris grand chose de nouveau mais elle est bien écrite, documentée et comprend l'essentiel en peu de pages (160 au total). Je la conseille donc volontiers à qui s'intéresse aux soeurs Brontë et recherche une biographie pas trop volumineuse ou ardue pour commencer ;)

Comme le titre le laisse deviner, cette biographie démarre lorsque les soeurs entrent dans leur vingtième année (même si leur enfance est également évoquée) : âge charnière où elles doivent décider que faire de leur vie et surtout comment faire pour gagner de l'argent et aider leur père, alors que celui-ci fonde tous ses espoirs sur son fils unique, Branwell. C'est au passage le gros point fort de cette biographie : mettre en avant la différence de traitement entre Branwell et ses soeurs, voir comment il a toujours été orienté et favorisé vers une carrière artistique alors que Charlotte, Anne et Emily ont dû avancer dans l'ombre et faire valoir leurs talents anonymement (et avec des pseudonymes masculins). Mais aussi comment cela entraîne une rupture dans les relations entre la fratrie, d'une part car Branwell tombe vite dans l'alcoolisme et la drogue, d'autre part car ses soeurs réussiront là où il a échoué.

Chaque chapitre se concentre sur une soeur en particulier, c'est là aussi une très bonne idée car cela permet de voir les différences de caractère et d'aspirations de chacune, c'est notamment flagrant chez Emily qui n'a pas la soif de voyages ni de sociabilité que ses soeurs, trouvant son bonheur dans le presbytère d'Haworth et ses longues promenades sur la lande.
Il y a enfin une grande place qui est accordée aux écrits de jeunesse des Brontë, et notamment à tout ce qui a trait aux royaumes imaginaires de Gondal et d'Angria : je pense que ce sont les passages que j'ai préféré dans ce livre, d'une part car il me semble que c'est la première fois que je lis un ouvrage qui en parle autant et d'autre part car cela m'a vraiment donné envie de découvrir cet aspect si particulier et original de la fratrie Brontë.

La suite de la biographie est plus classique (on suit le déroulé de la vie des soeurs Brontë, de l'écriture de leurs différents romans et leur accès à la célébrité) mais néanmoins très intéressante. L'auteur insiste notamment sur la place de Charlotte dans la postérité de ses soeurs, et surtout comment elle en a dressé une image conforme à ce qu'elle pensait acceptable, minimisant voire étouffant complètement la véritable personnalité d'Anne et d'Emily et la qualité de leurs écrits (en particulier pour Anne).
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Citations et extraits (6) Voir plus Ajouter une citation
Tous les romans de Charlotte Brontë se feront l'écho des rapports conflictuels que leur auteur entretient avec l'enseignement. Jane Eyre, héroïne du roman éponyme, lorsqu'il s'agit de qualifier son état d'institutrice ou de gouvernante, utilise non sans ironie le mot de "servitude". [...]
Charlotte perçoit donc la condition d'enseignante comme une humiliation, surtout lorsqu'il s'agit d'instruire des demoiselles de la haute société qui tirent leur vanité des effets de leur garde-robe ou des soins apportés à leurs coiffures. La fortune de leurs famille dont dépend le bon fonctionnement de l'école leur assure de surcroît une forme d'impunité qui exaspère encore plus la jeune enseignante. Et l'incompréhension se fera d'autant plus grande que, pour Charlotte, qui a étudié, s'est cultivée avec passion, il est inconcevable qu'on puisse manifester des réticences à l'égard du savoir.
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Si Charlotte a choisi de s'arrimer à son frère, c'est peut-être parce que, plus que ses deux sœurs, elle souffre de la distance paternelle, de ce qui pourrait apparaître comme une préférence mais n'est au fond qu'une pratique sociale inhérente aux habitudes familiales du XIXème siècle : on éduque avant tout les garçons. Les futures romans de Charlotte et d'Anne accuseront d'ailleurs des prises de position nettement féministes en ce domaine, déplorant les injustices faites aux femmes en matière d'éducation et de considération : "On suppose généralement, fera dire Charlotte à son héroïne Jane Eyre, que les femmes sont très calmes, mais les femmes ont des sentiments comme les hommes ; elles éprouvent le besoin d'exercer leurs facultés, le besoin de disposer d'un champ d'action où appliquer leurs efforts, comme leurs frères [...] ; cette étroitesse d'esprit chez leurs semblables jouissant de plus de privilèges de dire qu'elles devraient se limiter à confectionner des desserts ou tricoter des bas, à jouer du piano et à broder des réticules."
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Elles écrivent par fidélité à leur enfance, comme beaucoup d'enfants du XIX e, elles ont réellement très peu joué, les petites filles, plus que les garçons, sont très tôt astreintes aux tâches ménagères, les seuls jouets qu'elles ont pu manipuler et investir de leur imaginaire sont les petits soldats de Branwell ; l'écriture s'est donc très vite imposée comme un rempart contre la grisaille des jours, les rigueurs du réel, le scandale de la mort.
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Anne avait trouvé en Emily un tempérament analogue au sien, toutes les deux aimaient les animaux, les longues promenades sur la lande, et la vie calme du presbytère. Toutes deux avaient préféré les brumeuses et froides contrées boréales de Gondal aux royaumes africains de Charlotte et Branwell. Elles pouvaient ainsi évoquer les paysages des moors qu’elles aimaient arpenter par tous les temps.
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Charlotte sait qu'elle nourrit un rêve impossible mais ses 19 ans l'autorisent à rêver ; en une dizaine d'années, elle a noirci des centaines de pages, de cette écriture minuscule qui par sa dimension même manifeste la répression dont elle est victime.
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