Contrairement au premier tome, il n'y avait pas vraiment d'intrigue. Ce roman relate la routine des villageois entre naissance et décès, semences et récoltes, entraide et conflits. Assez répétitif et lassant au final.
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Le Malin fulminait dans son antre, car il y avait un village où l’amour et la joie de vivre étaient présents chaque jour que le Bon Dieu créait. Il n’y avait pas de voleur dans ce village; si quelqu’un trouvait un objet égaré, il cherchait à qui il pouvait appartenir et le lui remettait. Au marché, il n’y avait pas de marchandage, car tous demandaient le juste prix.
Dans les maisons, les femmes attendaient leurs maris avec patience et amour, et comme ils ne buvaient plus, ils ne craignaient plus les remontrances.
L'odeur familière du pain encore chaud la revigora (...) Il ne pouvait rien arriver de mal quand une maison était envahie par un pareil arôme.
Elle devait épouser un homme pour ne plus être à la charge de ses parents, sauf qu’elle ne voulait pas de celui que son père avait choisi, alors elle a décidé de venir en Nouvelle-France. En tant qu’ancien cocher royal, son père a obtenu qu’elle soit admise comme fille à marier parce qu’il ne pouvait plus subvenir à ses besoins, encore moins payer sa traversée.
Depuis qu'elle était trop grande pour entrer au complet dans un tonneau, jamais elle ne s'était immergée dans l'eau.