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3,49

sur 378 notes

Critiques filtrées sur 1 étoiles  
J'avoue ma déception. J'ai lu tant de très bonnes critiques 5 étoiles que je m'encourageais au fil des pages lues à continuer ce récit qui je l'espérait me donnerait l'envie. Hélas ! C'est un livre de plus de 500 pages et j'en ai lu environ 170. Pourtant l'histoire me plaisait bien : Thomas reçoit un coup de fil à 4h du matin l'informant que sa femme Camille à eu un très grave accident. Elle devait revenir de Normandie vers Paris pour fêter leur dix ans de mariage. Il se précipite pour y aller et voit sa femme dans le coma. On ne sait pas si sa femme va s'en sortir...


Ce que je n'ai pas aimé : l'écriture est bourrée de détails qui alourdissent le récit. J'avais l'impression d'être engoncée dans ce texte. Très peu de chapitres...le premier que j'ai lu se termine à la page 156.. Il n'y a pas de respiration dans ce récit. Bien sûr le thème se prête à cette angoisse latente mais pour moi, lectrice, j'ai trouvé cette lecture longue et fatigante. C'est pour ça que j'ai abandonné cette lecture. Désolée
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Après avoir lu successivement Malloy, Un voyageur sur la terre, Martin Eden et le joueur d'échecs, je tombe (il n'y a pas d'autre mot) sur ce roman d'une affligeante banalité.

Je n'irai pas au-delà de la page 250 à laquelle je me suis arrêtée, assez perplexe à l'idée qu'on puisse aller plus loin. Tout est convenu dans ce roman au titre pompeux. Luc Lang croit-il être original quand il emploie le langage parlé le plus pauvre qui sacrifie le "ne pas" tout au long de pages bâclées? Pardonnez-moi d'y mettre un gros zéro pointé.

Quand cessera-t-on d'écrire des romans médiocres? Il y a comme du dédain de la part de l'éditeur (je parle en général) d'administrer aux masses soi-disant ignares, de la littérature au rabais. Il y aura du chiffre!

Quand cessera-t-on de se croire né écrivain?! Je crains que ce virus n'ait la vie longue.

Et l'on noircit des colonnes de commentaires idiots (attention, je ne parle des lecteurs de babelio pour lesquels j'ai le plus grand respect) sur les mérites de telle ou telle nouveauté qui ne demandait qu'à rester au placard.

J'ai l'impression d'avoir mis par erreur la tête dans le tambour de la machine à laver. On se fout de la route de Rouen! Quant au chef lieu de l'Eure (Evreux) et son café des Arts "à côté de l'office du Tourisme", je donnerai à tout candidat à l'écriture le conseil suivant : (ne) vous croyez surtout pas obligé de coller à la réalité. Inventez! Vous sortirez de cette route laborieuse qui sillonne la Normandie, et nous avec.

Ceci dit je ne veux en dégoûter personne :)

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Quand je me cache derrière une quatrième de couverture au lieu de proposer un résumé de mon cru, c'est soit parce que je ne veux pas déflorer l'intrigue, soit parce que je n'ai pas suffisamment progressé dans le livre pour prétendre le synthétiser. Ici, deuxième cas et abandon page 230, en plein milieu d'une phrase.

J'avais pourtant terriblement envie d'apprécier ce livre. Lors de la présentation de la rentrée littéraire des éditions Stock, Luc Lang m'avait envoûtée par sa présence, sa prestance, son regard profond. Hélas, je me suis heurtée de plein fouet à l'écriture de l'auteur : dense, étouffante, omniprésente. Faites un test si vous croisez ce livre : ouvrez-le n'importe quelle page et vous verrez un espace saturé d'écriture, sans presque aucun saut de ligne. À croire que le texte reflète l'état d'esprit de Thomas, protagoniste perdu. « C'était simplement un brouillard de plus en épais autour de Camille depuis cet accident. » (p. 79) Heureusement qu'il y a des retours à la ligne pour reprendre un peu son souffle ! Ici, tout est au même niveau, discours ou récit.

J'avais pourtant terriblement envie d'apprécier ce livre, de découvrir les mystères qui entourent Thomas, son frère et sa soeur, de comprendre ce qui se passait dans la vie de Camille. « Je sens comme une malédiction qui pèse sur la famille, sur nous… » (p. 216) Mais il y a trop d'histoires dans cette histoire : des affaires professionnelles, des magouilles politiques, des secrets de famille, des cheminements personnels, etc.

J'avais pourtant terriblement envie d'apprécier ce livre. Pas réussi. La faute à qui ? Certainement pas à Luc Lang dont le travail est remarquable. Sans doute à mon esprit un peu fatigué. Mais ce n'est pas un adieu : je range Au commencement du septième jour pour un dimanche où mes neurones, mieux entraînés à la brasse coulée, accepteront de plonger dans sa masse textuelle.
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Je vais à l'encontre des critiques mais je n'ai vraiment pas accroché à cette logorrhée. J'ai lu jusqu'à environ la 200ème page, puis commencé à parcourir les pages en diagonal, pour finir par aller lire les quelques 10 dernières pages par curiosité. L'auteur a fait le choix de laisser couler les mots, presque sans respiration, pour de longues pages pleines qui je l'avoue m'ont épuisé. J'ai pourtant eu envie de m'accrocher car le début est intéressant et je ne voulais pas m'arrêter mais j'ai capitulé.
C'est rare quand je ne finis pas un roman.
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Le titre était sibyllin, le quatrième de couverture, intriguant. Au final, je cherche encore la signification du titre et le quatrième de couverture n'a pas tenu les promesses qu'il nous a faite.
A sa lecture, on imaginait une quête pour comprendre pourquoi Camille se trouvait là où elle était lors de son accident. Mais non, Camille, c'est le livre 1. Il n'en est plus question par la suite.
On reste sur notre faim, on ne sait pas le fin mot de l'histoire.

Trop de sujets se télescopent dans ce livre. J'aurais aimé aller au bout de l'histoire de Camille. A chaque fois qu'on passe à un autre livre, je ne trouve aucun lien avec le précédent qui nous laisse sans réponses. C'est comme si l'auteur avait écrit trois livres inachevés, qui multiplient les retours en arrière, les passages du rêve à la réalité, sans aucun marqueur nous permettant de nous y retrouver..

Mais cette histoire, ou plutôt ces histoires décousues ne sont qu'un moindre mal dans un livre pesant.
Ainsi l'auteur nous livre des pages entières de description qui non seulement ne nous apportent rien, mais alourdissent un texte déjà étouffant.
En effet, dans ce livre, il n'y a aucune mise en page. On se trouve face à des pages et des pages de texte compact, écrit au kilomètre. Pas d'aération du texte, pas de chapitre, pas même de paragraphe (un paragraphe qui fait plus de trois pages, ce n'est plus un paragraphe).
Il y a, certes, des dialogues, mais ils sont sans marqueurs, intégrés dans le texte (pas de tiret, pas même de retour à la ligne). On a du coup du mal à savoir qui parle, quand on réalise du premier coup qu'on est dans un dialogue.
Le tout est étouffant, monotone.
A tout cela s'ajoute des phrases parfois difficiles à comprendre, incomplètes.

Pour résumer, je dirai que si ce livre était un discours, on reprocherait à l'auteur de s'écouter parler.
L'histoire en elle-même était peut être intéressante. Je ne saurais le dire car elle est tellement noyée dans les descriptions, dans ce style étouffant et parfois pompeux, qu'on finit par l'occulter totalement et par n'en retirer aucun plaisir.
Un livre qui ne restera ni dans ma mémoire, ni dans ma bibliothèque !
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Grosse déception, une lecture qui fut interminable pour moi. le résumé annonçait une histoire palpitante, une quête, une course. Moi je me suis ennuyée avec les descriptions interminables de l'auteur.
Et ce style d'écriture serré, étouffant, mêlant dialogues et narration, ce n'est pas pour moi.
J'ai attendu pendant 600 pages une issue à l'histoire de Camille, mais Camille est passée aux oubliettes après le premier tiers du livre. On passe d'une histoire à l'autre, mais rien ne les lie, ou alors je n'ai pas compris.
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L'histoire est celle de Thomas, un père de famille ordinaire. Trois parties dans ce roman : Paris, la montagne et enfin l'Afrique. A chaque fois, un certain temps s'est écoulé entre les paysages. A chaque fois, comme une nouvelle histoire qui commence. On commençais juste à être intrigué par Camille, sa femme victime d'un accident, qu'il faut changer de contexte. Les rapports ne sont plus les mêmes et l'on comprends le destin de cette femme peu à peu, mais le voile n'est jamais levé. Certaines de nos questions n'ont jamais de réponse et j'en suis un peu frustrée. En fait, j'aurais largement préféré que l'auteur continue sur sa lancée et développe ce mystère autour de l'accident de Camille.
Lien : http://troisouquatrelivres.b..
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(mai 2017) le livre commence par " .. c'est elle qui raccroche ? Qui lui raccroche au … Il appuie fébrilement sur la touche rappel, mais c'est un numéro privé."

A ce commencement, j'aurais dû me méfier. Des phrases et des paragraphes qui ne sont pas achevés, qui nous laissent en plan pendant des centaines de pages avant d'avoir des bouts de réponse. Une étonnante (artificielle ?) façon de créer du suspense.

Après 538 pages interminables, je n'ai même pas la réponse à l'énigme de départ (je n'exclus pas l'hypothèse de l'avoir ratée). Lasse d'une écriture proche de l'errance mentale et épuisée à essayer de suivre le déchiffrage de l'inexplicable, de l'ancien, du présent et du semblant d'avenir, j'ai détesté ce roman.

Et puis j'ai lu les commentaires ailleurs, et il semblerait que je n'ai rien compris. Je n'en reprends pas la lecture. Je vous laisse m'éclairer !
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