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EAN : 9782490834150
304 pages
Panseur (17/08/2023)
4.15/5   30 notes
Résumé :
Rentrée des classes, Anouk Lejczyk nous invite à la suivre en forêt pour une curieuse expérience : comment devenir bûcheronne ! Quatre saisons d'apprentissage où se côtoient odeur d'essence et effluves végétales, sueur des corps et sang du gibier, adversité et camaraderie. Quatre régions de France pour découvrir la diversité des milieux qui se cachent derrière un mot unique : forêt. Durant ces mois où elle a façonné son corps au froid de l'hiver et aux chaleurs d'é... >Voir plus
Que lire après Copeaux de bois : Carnets d'une apprentie bûcheronneVoir plus
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Dans cette rentrée littéraire qui s'apparente – as usual - à une forêt de nouveautés d'essences si différentes, je chemine entre taillis et futaie, tentant de trouver le ou les spécimens – rares - à sauvegarder, parmi ceux – plus nombreux - à délaisser.

Et sans prévenir, se dégage une éclaircie, une clairière, où apparaît un arbre-livre remarquable, pause apaisante et bienvenue avant de reprendre l'abattage. Voici Copeaux de bois, d'Anouk Lejczyk, carnets d'une jeune auteure devenue apprentie bûcheronne.

Comme tous les auteurs, son premier livre n'est pas encore paru qu'elle est déjà dans le suivant, inspiré par la forêt. Et quitte à y chercher l'inspiration, autant y ajouter le vécu en s'inscrivant pour une année de formation diplômante en bûcheronnage.

Dans les pas d'Annick, nous voilà embarqués pour 4 saisons et autant de stages qui lui permettront de tout savoir de l'abattage, du « coup de fusil » au « trait » en passant par « l'enculé ».

Mais aussi du négoce et des cours, de la chasse ou du piégeage, de la connaissance des espèces et du milieu, de la préservation des dunes et du trait de côte, du label PEFC et des écologues (à ne pas confondre avec les écolos).

Flirtant habilement entre récit de sa formation et approche érudite de la forêt, Anouk Lejczyk réussit peu à peu à nous embarquer au même rythme qu'elle, dans son approche émotionnelle et ressentie de ce qui ne devait être qu'une expérience. Et là le livre s'envole.

Les lumières, la brume ou la pluie ; les silences, le calme mais surtout les bruits ; la lecture de Genevoix durant une traque de cerfs ; le choc frontal entre la splendeur du milieu naturel et les retours du soir en RER ou les futilités germanopratines de son nouveau statut d'auteure… Les contrastes sont saisissants, et matières à réflexions.

Et puis il y a Max Antoine le formateur cash mais bienveillant, Gégé et sa pelle, Gaby, l'intersexué et ses trois filles, Marlène l'autre femme… et aussi JC, Jérémy, Bastien, Ludo, ou Guillaume. Tous ces compagnons de la forêt qui forment une micro-société à eux seuls, reflet parfait de l'autre, mais dans un décor différent.

Sans ponctuation pour ne pas brider sa plume, Anouk Lejczyk nous ouvre ainsi à une forme de retour – ou d'éveil – au vrai, à un nécessaire rappel de notre humilité face à une nature qui nous a précédé et nous survivra. Et ça touche juste !

On se précipite donc, car on y sourit aussi quand le bûcheronnage se fait sur un golf, quand il s'agit d'apprendre ce qu'est l'orme aquatique ou quand on pense au destin des chênes centenaires de Fontainebleau :

« 200 ans de pousse pour un tonneau qui tiendra trois ans (…), des arbres plantés sous Napoléon pour construire des navires (qui) sont aujourd'hui transformés en bâtons de glaces Miko. »
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Entrez dans cette clairière littéraire !
Unique, précieux et apprenant. le travail opératif, l'Alcazar en apogée.
Ici, c'est l'effort, la cadence, la Canopée qui encensent cette trame dont on ne lâche pas un seul mouvement, une minute et un regard affûté.
On ouvre le rideau d'essences et de sens. La vie écarquille ses prunelles. Nous sommes dans l'essentialisme. Dans l'instantané de la glorification de l'apprentissage.
« Copeaux de bois » un carnet qui rassemble l'épars. Un journal sans date ni heure, l'écrin même du temps présent est ici.
Dans cet espace monde où le vivifiant est la carte de route. Où ce temps d'apprendre touche le coeur, attise les muscles. La fierté d'être complice avec l'advenir et le Savoir.
Apprentie, quatre saisons dont les arbres, le cycle de la vie seront les guides. Être encerclée par une majorité d'hommes, dans cet espace où la virilité pourrait être un obstacle. Des hommes aux mains habiles et le corps agile, dans cette habitude des gestuelles innées.
« Le casque orange et les chaussures terreuses… Je secoue mon pull le fous à la machine avec le pantalon anti-coupure
passe à douche
mais malgré ça
à peine passé la porte
mon amoureux dit : Ça sent la forêt ici ».
« Avec une corde on peut faire une règle
une équerre et un compas . »
« La croix du bûcheron vous connaissez ? ».
Anouk Lejczyk est de mimétisme vêtue. Un adage : se fondre dans l'équipe. Les mousses cèdent le passage. le maniement des outils comme un défi pour écrire le beau, l'utile et la fraternité. L'osmose avec les valeurs opératives.
On aime ces fragments comme des feuilles qui tombent en nos mains. On fait attention, on ne blesse pas ce charme qui envoûte. Cette déambulation forestière.
« Se mettre dans la peau de l'animal en quelque sorte
ça lui permet de venir voir le monde autrement
et puis une nuit perché dans un arbre
il a vu une laie mettre bas
C'est peut-être bizarre de dire ça mais cette nuit-là j'avais des étoiles dans les yeux ».
Abattre un arbre. Défier le risque. le soin est une caresse naturelle et compréhensive. L'utilité : donner de l'espace au ciel, pour abreuver les racines des plus majestueux. Ceux qui ne vacilleront pas sous la tronçonneuse.
« Mon seul nuage à l'horizon c'est Omar qui se met à abattre sans regarder autour
puis change d'endroit en laissant son bois au sol
ni débité ni fendu ni stéré
ça me gonfle mais je ne moufte pas ».
Anouk va sauter les cases. Se déplacer au gré des stages. Construire sa Babel d'apprentie bûcheronne, parfaite et réalisée.
« Lacets entre les forêts sombres de résineux
grumiers chargés à bloc
bois bien stéré dans les jardins
bâtisses couvertes de travaillons
renard au milieu du pré blanc
j'ai la voiture de maman
un album de Kora qui tourne en boucle
des pneus neige
des habits pour trois semaines et quatre saisons ».
Les camaraderies comme des abris de végétal et de sourires. L'entraide-liant et les confidences des uns et des autres sont des escomptes hyperboliques pour le lendemain d'Anouk.
« Les équipes débarquent une à une
on prend le café au cul du camion
un gros gars surnommé le Sénégaulois raconte ses galères avec ses deux femmes africaines 
un autre parle de ses nouvelles doses de Xanax
un autre de son épouse partie avec la gamine
ma tasse se remplit de pluie ».
Écrire ce temps présent pour faire un livre. La main de l'écrivaine est un miroir inversé. Anouk est le griot des forêts. Et c'est beau. L'encre dévore tout. le spéculatif est la sève qui s'écoule. Les sociologies sont des bruissements. Les psychologies sont des rais de lumière qui percent au travers des cimes des arbres. Devoir d'écriture en diapason avec la beauté.
« En forêt on me présente comme l'écrivaine
ici comme la bûcheronne
une fois quelqu'un dit : Écrivain-bûcheron c'est un peu comme faire de la boxe avec des échecs ».
« Copeaux de bois » la nature souveraine, l'intrinsèque du perceptible. Anouk collecte les silences comme les secrets et le bienfait du végétal pour un lendemain meilleur. Garder son libre-arbitre, se frayer un chemin dans les méandres d'un métier physique.
« On finit la mission rotofil autour du parking
je galère encore à soulever la tête
finis par demander de l'aide au stagiaire des espaces verts
un mâle de cinquante piges qui passait par là s'arrête
Ah on on a toujours besoin d'un homme hein !
Non pas toujours
Oui c'est vrai c'est de la médisance ».
« … Tu es un pur produit de ton éducation patriarcale et tu n'as rien voulu changer ».
« Copeaux de bois » le cercle se referme. Voici l'heure de l'écoute. Ce livre est envoûtant. Il est une invitation à la merveilleuse rencontre entre la nature et l'écriture. Il est un lien et une attache. Un arbre qui flanche sous la réussite et la coupe affûtée au cordeau et à la tronçonneuse. Anouk Lejczyk nous offre la plus belle alliance : l'opératif et le spéculatif.
Magistral et authentique. Une déambulation souveraine entre les sous-bois et les pages verdoyantes. Publié par les majeures Éditions du Panseur.

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Carnets d'une apprentie bûcheronne. Un sous titre qui en dit long sur un roman singulier, puisqu'il est la chronique de quatre saisons d'apprentissage du dur métier de bûcheronne. Par touches, dans de courts chapitres aux titres évocateurs, elle nous conte son arrivée dans ce métier d'hommes. Sa découverte des mille et une espèces d'arbres. La rudesse de ces journées à débroussailler, tailler, débarder, parce,les par parcelles, travail harassant de fourmi. La force qui lui manque pour démarrer la lourde tronçonneuse, et les muscles qui au fil des mois redessinent sa silhouette. La fierté à réussir son premier abattage. Les gilets orange, les casques anti bruit et les chaussures crottées de terre qui font tache dans le RER qui la ramène le soir à Paris. Les repas frugaux dans le froid ou sous le soleil brûlant, les chips molles et sandwichs vite avalés. Les siestes ressourçantes sur un tapis de mousse ou un coin de plage. le gibier qui émerveille et saccage. Les chasseurs et les gardes forestiers à la cohabitation compliquée mais nécessaire. La camaraderie enfin, et l'esprit d'équipe de ces hommes des bois. Ces bûcherons si loin des salons germanopratins où l'on imagine les écrivains…

Écrit en vers libres et traitant du monde du travail, impossible de ne pas penser à « À la ligne » de Ponthus ou à « Mécano » de @unomattia. Une comparaison lourde à porter mais qu'elle tient brillamment. Car ce texte est protéiforme. A la fois social et sociétal, sensuel et sensoriel, poétique et écologique. Je me suis passionnée pour son parcours de formation. Avec elle j'ai découvert un peu des mystères de la forêt. Et je me suis évadée quelques heures dans la majesté des bois des Vosges ou la rectitude des pinèdes des Landes
Une lecture surprenante qui a su me charmer.
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Ce qui est fort surprenant dans le deuxième livre très rythmé, grâce à ses petites saynètes, d'une jeune autrice talentueuse, c'est sa forme versifiée. Cette "auto-documentation" déclinée sur quatre saisons est écrite en vers libres et courts, permettant un phrasé inédit. Très peu de ponctuation et l'absence de majuscules font entendre le mélange des voix, l'activité autant que la contemplation. Écrit à la façon d'un carnet de bord dans lequel règne la prise de notes rapide et vivante, c'est aussi un roman d'apprentissage. En une année scolaire, de façon donc chronologique, Anouk Lejczyk apprend le bûcheronnage, ce qui - en apparence - n'a rien de poétique :

"j'en ai marre de lire des trucs pas précis
alors je voulais faire un peu de terrain,
mettre les mains dans le cambouis."

C'est la rencontre avec la tronçonneuse, lourde et dangereuse, avec un monde viril, bourru et rustique, mais aussi chaleureux et bienveillant. le récit nous entraîne dans différents stages (la chasse, l'abattage, le nettoyage, la conduite d'engins, la préparation des sentiers de randonnée...), pour connaître ce métier d'homme en voie de disparition (restriction budgétaire oblige !), la gestion des différentes espèces, les essences à protéger, les métiers de la forêt. Anouk nous donne une furieuse envie de fabriquer un herbier, histoire de se rapprocher au plus près du végétal.

Ce voyage dans nos régions françaises délivre un regard décalé, souvent drôle, sur la nature et les hommes qui la protègent. Mais c'est aussi une parole engagée sur l'état plutôt inquiétant de nos forêts :

"des arbres plantés sous Napoléon pour construire des navires sont aujourd'hui transformés en bâtons de glaces Miko."
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Quand un premier roman vous emballe autant que celui d'Anouk Lejczyk, l'impatience est grande pour le texte suivant. Avec « Copeau de bois », l'autrice réussit à nous offrir quelque chose de totalement différent tout en restant dans son environnement de prédilection, la forêt.

Anouk Lejczyk nous partage son journal d'apprentie bucheronne. Durant quatre saisons, elle raconte sa formation, ses expériences et ses rencontres. Entre les odeurs végétales et celles de corps qui transpirent, entre la camaraderie et la rudesse du labeur, elle décrit un monde fascinant : la forêt. A travers plusieurs régions de France, sous diverses intempéries, elle apprend et progresse à l'ombre les grands arbres. Son corps se façonne et son esprit s'aiguise au contact des végétaux et de ceux qui les travaillent.

Quand un premier roman vous emballe autant que celui d'Anouk Lejczyk, l'impatience est grande pour le texte suivant. Avec « Copeau de bois », l'autrice réussit à nous offrir quelque chose de totalement différent tout en restant dans son environnement de prédilection, la forêt.

Anouk Lejczyk nous partage son journal d'apprentie bucheronne. Durant quatre saisons, elle raconte sa formation, ses expériences et ses rencontres. Entre les odeurs végétales et celles de corps qui transpirent, entre la camaraderie et la rudesse du labeur, elle décrit un monde fascinant : la forêt. A travers plusieurs régions de France, sous diverses intempéries, elle apprend et progresse à l'ombre les grands arbres. Son corps se façonne et son esprit s'aiguise au contact des végétaux et de ceux qui les travaillent.

Avec sa poésie et sa sensibilité, l'autrice nous fait sentir les effluves des arbres coupés et le piquant des gelés d'hiver. Les pointes d'humour ainsi que son regard un peu décalé sur ce qu'elle vit, offre un texte d'une grande fluidité. J'ai adoré suivre Anouk Lejczyk dans cet apprentissage forestier, la voire évoluer et sentir sa volonté farouche de réussir. Merci pour ces carnet de bucheronne riche de tant de générosités.
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critiques presse (4)
Actualitte
19 décembre 2023
Ces « carnets », écrits un peu comme des vers qui auraient pris le parti de ne pas se plier à la rigueur théorique du nombre obligé de pieds et qui poursuivent plus une idée qu’une rîme, sont une narration sans fard et sans artifice, d’expériences, de découvertes, d’enseignements, …
Lire la critique sur le site : Actualitte
LaLibreBelgique
14 décembre 2023
Anouk Lejczyk nous relate son apprentissage dans un récit vibrant composé en vers libres.
Lire la critique sur le site : LaLibreBelgique
LeFigaro
20 octobre 2023
En nous immergeant parmi les travailleurs de la forêt, ces «Carnets» forment un nouveau genre documentaire plein de vigueur et de poésie.
Lire la critique sur le site : LeFigaro
SudOuestPresse
09 octobre 2023
Anouk Lejczyk raconte la formation en travaux forestiers qu’elle a suivie pendant un an. Une expérience poétique inattendue.
Lire la critique sur le site : SudOuestPresse
Citations et extraits (13) Voir plus Ajouter une citation
Bonjour à tous
et à toutes
je vois qu’il y a deux femmes
c’est bien
moi je m’appelle Max Antoine
je suis votre formateur en bûcheronnage
c’est moi que vous allez voir le plus souvent
je suis votre référent principal cette année ok ?
Je m’appelle Max Antoine
j’ai trente-sept ans
je suis pas écolo
je suis écologue
Mes passions :
ma femme
ma chienne
mes tronçonneuses
et mes enfants bien-sûr
j’ai deux petits garçons ils sont magnifiques
ça va être des tombeurs plus tard
Moi je suis un putain de bûcheron
je suis un putain de chasseur
je suis représentant chez Stihl aussi
je pourrai vous avoir des prix
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Gaby s’est encore endormi
les autres pas loin
Sans doute subissent-ils aussi la redescente
cette accablante déprime des lendemains de chantier que j’éprouve depuis l’automne
le corps en manque d’adrénaline et d’endorphine
comme nostalgique déjà de l’instant décisif
où rien d’autre n’existe
que la chute de l’arbre
son bruit opaque définitif
et mon plaisir inavouable de l’entendre.
Commenter  J’apprécie          30
Bonjour
je m’appelle Anouk j’ai bientôt 30 ans
je vis à Paris en couple
j’ai fait des études de lettres et d’art un peu de vidéo
je suis autrice j’écris sur les forêts
j’en ai marre de lire des trucs pas précis
alors je voulais faire un peu de terrain
mettre les mains dans le cambouis
histoire de mieux savoir de quoi je parle
et puis j’aime ça tout simplement
passer du temps en forêt
avoir une activité physique aussi
j’aime bien me mettre à l’épreuve
voir si je tiens le coup à bosser dehors en hiver
j’ai jamais touché à une tronçonneuse mais je veux bien apprendre
et je suis plutôt végétarienne

Max Antoine dit : C’est bien Anouk
c’est une très bonne démarche
avec moi tu vas apprendre plein de choses
par contre il va falloir aussi couper des arbres
ok ?
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A 13h m'endors dans les pâquerettes
la tête à l'ombre le pantalon anti-coupure au soleil
j'absorbe la chaleur du ciel et la pesanteur de la terre
la sieste est cosmique délicieuse trop courte
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journée mécanique avec Max
on démonte les bécanes :
dévisser les écrous
retirer le couvercle de pignon le guide la chaîne le carter le filtre à air
virer toutes les merdes accumulées les copeaux les brindilles la pâte huileuse
nettoyer ça à sec avec la soufflette à air comprimé
et au pinceau à eau pour les parties en plastoc
passer un coup de lame fine dans la rainure du guide
l’ébavurer avec la lime
voilà ce qu’on est censés faire au moins une fois par semaine
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Anouk Lejczyk vous présente son ouvrage "Copeaux de bois : carnets d'une apprentie bûcheronne" aux éditions du Panseur. Rentrée littéraire automne 2023.
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