Voici mon petit retour sur e[m]prise (sans Méprise) de
Danika Lichtträger.
Alors tout d'abord, sachez que je sors de ma zone de confort en lisant ce petit recueil de 35 poésies.
Mais je ne pouvais pas passer à côté, et je ne regrette pas ce beau moment de lecture.
J'ai eu la chance de rencontrer
Danika Lichtträger mais je la connais peu, malgré tout, je la reconnais bien dans ces poésies, tout en délicatesse, subtilité et mystère. Elle se dévoile, on la découvre à travers ses jolis mots.
La couverture, les deux mains gantées, enlacées, suggère des sentiments, que l'on découvre à travers ses poésies. L'amour, le désir et le plaisir tout en pudeur, on ressent presque les battements de son coeur, mais on y lit aussi l'abandon, la trahison et la douleur.
J'aime aussi sa petite note d'humour, en allant jusqu'à écrire un poème génial sur le café "Déclaration d'arôme" qui est visiblement sa boisson préférée.
La plume, comme celle en 4e de couverture, est légère et subtile. Pour une personne comme moi, qui n'est pas une fervente de la poésie, j'ai sincèrement aimé.
J'ai trouvé magnifique "Mon allumette" et "Zvezda" m'a touché.
Toutes les poésies, dans ce recueil, sont belles et délicates.
Je conseille vivement la lecture de ces 58 pages.
A bientôt