Steve LyonsWarhammer 40.000 - La garde impériale tome 1 sur 1
Vincent Basset (Traducteur)/5 4 notes
Vincent Basset (Traducteur)/5 4 notes
Résumé :
Alors que les troupes impériales ont reçu l’ordre d’évacuer le monde glacé de Cressida, une escouade de Gardes des Glaces de Valhalla commandée par l’indomptable colonel Stanislev Steele est envoyée en mission de sauvetage pour retrouver un éminent confesseur impérial et lui faire quitter la planète sain et sauf. Mais les forces du Chaos sont partout et s’attellent à exterminer la population. Comme si cela ne suffisait pas, cette mission est pour Stanislev et ses ho... >Voir plus
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Critiques, Analyses et Avis (1)
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Un premier tome d'une nouvelle série sur la garde impériale basique mais distrayant.
Le 319° Valhalla est un régiment habitué aux températures négatives extrêmes. Il est donc parfaitement à son aise sur Cressida, envahie par le chaos qui ronge la planète et a modifié son climat le rendant "sibérien".
La mission : Sauver un gros ponte de l'ecclésiarchie avant l'annihilation de toute vie sur la planète. 48 heures et pas une minute de plus.
Après une brève présentation des dix membres de l'escouade choisie, façon Les Douze salopards, les voilà partis pour un voyage aussi dangereux qu'épique, contre le temps et les forces du chaos. Mais n'est-il pas déjà trop tard ?
Étant venu à bout de la série Les Fantômes de Gaunt, un peu moins attiré par les surhommes que sont les space marines, quelle joie de retrouver cette garde impériale.
Une belle escouade d'hommes (et une femme) et non des surhommes. Des doutes, des faiblesses et du courage à revendre.
Bon. L'histoire est simplissime. le style lapidaire. N'est pas Dan Abnett qui veut et ce n'est clairement pas du niveau de sa production, mais je ne peux décemment pas mettre trois étoiles à un livre qui somme toute, a parfaitement rempli son rôle : me distraire.
Basique, mais distrayant, en attendant la parution du second tome : Baneblade.
Le 319° Valhalla est un régiment habitué aux températures négatives extrêmes. Il est donc parfaitement à son aise sur Cressida, envahie par le chaos qui ronge la planète et a modifié son climat le rendant "sibérien".
La mission : Sauver un gros ponte de l'ecclésiarchie avant l'annihilation de toute vie sur la planète. 48 heures et pas une minute de plus.
Après une brève présentation des dix membres de l'escouade choisie, façon Les Douze salopards, les voilà partis pour un voyage aussi dangereux qu'épique, contre le temps et les forces du chaos. Mais n'est-il pas déjà trop tard ?
Étant venu à bout de la série Les Fantômes de Gaunt, un peu moins attiré par les surhommes que sont les space marines, quelle joie de retrouver cette garde impériale.
Une belle escouade d'hommes (et une femme) et non des surhommes. Des doutes, des faiblesses et du courage à revendre.
Bon. L'histoire est simplissime. le style lapidaire. N'est pas Dan Abnett qui veut et ce n'est clairement pas du niveau de sa production, mais je ne peux décemment pas mettre trois étoiles à un livre qui somme toute, a parfaitement rempli son rôle : me distraire.
Basique, mais distrayant, en attendant la parution du second tome : Baneblade.
Citations et extraits (4)
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Sans machines, nos ancêtres n'auraient jamais gagné la Grande Guerre. Ce sont les machines comme celle-ci qui leur ont permis de renverser le cours de la bataille et de chasser de leur planète ces pourritures d'orks.
- Les machines auraient été de peu d'utilité, répliqua Borscz, sans des hommes bon et forts pour les piloter. Ce n'est pas dans les machines que nos ancêtres ont trouvé la force de vaincre l'envahisseur, soldat Barreski, c'est dans leur cœur.
- Les machines auraient été de peu d'utilité, répliqua Borscz, sans des hommes bon et forts pour les piloter. Ce n'est pas dans les machines que nos ancêtres ont trouvé la force de vaincre l'envahisseur, soldat Barreski, c'est dans leur cœur.
Pas de problème pour les ronds-de-cuir du commandement naval, pensa-t-il. Ils pouvaient se permettre d'hésiter, répugnant à perdre un monde productif auquel ils s'étaient accrochés alors qu'il n'y avait déjà plus d'espoir. Ils auraient dû ordonner cette retraite depuis bien longtemps. Ils auraient pu épargner des millions de gardes pour d'autres combats, mais pour eux, les vies de ces gardes n'étaient rien d'autre que des chiffres sur une tablette de données, alors pourquoi s'en seraient-ils souciés ?
Certains Gardes des Glaces estimaient qu'il était déshonorant d'abattre un ennemi dans le dos, mais Blonsky avait un avis différent. La seule chose qui comptait était d'abattre un hérétique. Ce qui était mal, c'était de ne pas saisir une occasion de le faire.
Il aurait voulu pouvoir leur dire la vérité, leur dire que au final la mort d'un homme ne comptait pas. Ce qui comptait ,c'était sa legende,
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