Malet et Isaac/5
11 notes
Un ouvrage de référence qui se lit comme un roman. Un récit chronologique clair et précis, un texte solidement charpenté et d'une lecture agréable: autant de qualités qui font du "Malet-Isaac" le livre d'histoire de référence.
Résumé :
Un ouvrage de référence qui se lit comme un roman. Un récit chronologique clair et précis, un texte solidement charpenté et d'une lecture agréable: autant de qualités qui font du "Malet-Isaac" le livre d'histoire de référence.
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Critiques, Analyses et Avis (2)
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Un incontournable de l'apprentissage de l'histoire. Un livre ancien, certes, mais écrit à une époque où l'histoire était encore la matière noble par excellence : à elle seule, elle permettait de comprendre le présent et de préparer l'avenir. L'ouvrage reste une référence et donne les bases indispensables à la compréhension des enjeux qui se posent à nous aujourd'hui encore.
Je l'ai lu comme un roman, avec beaucoup de plaisir et puis le Malet et Isaac a marqué notre vie de lycéen Maintenant, il figure auprès de mes « référentiels » tels que dictionnaires, atlas, etc.
Je viens de m'y replonger en cette année « napoléonienne ».
Je viens de m'y replonger en cette année « napoléonienne ».
Citations et extraits (2)
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Les Arabes, qui ont toujours été de tempérament belliqueux, ne demandaient qu'à suivre ses conseils : l'année même de la mort du prophète la guerre sainte commençait. Page 116
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Les Arabes nous ont ainsi conservé beaucoup de l'héritage intellectuel des peuples anciennement civilisés. D'ailleurs quelqu'un des plus grands savants, théologiens, géographes, médecins, poètes du Moyen Age furent des musulmans d'Espagne. Page 118
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Les Arabes nous ont ainsi conservé beaucoup de l'héritage intellectuel des peuples anciennement civilisés. D'ailleurs quelqu'un des plus grands savants, théologiens, géographes, médecins, poètes du Moyen Age furent des musulmans d'Espagne. Page 118
Il n'est pas besoin d'insister sur ce qu'il y avait de démoralisant pour tous les citoyens de Rome à avoir 175 jours de fête par an sur 365; sur ce qu'il y avait de dégradant pour eux à être nourris gratuitement sans qu'ils aient besoin de travailler et à trouver leurs amusements dans les spectacles les plus bassement cruels. Page 74
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