Cette eau me semblait être l'élément qui délie du trop dur, du trop raide, de tout ce qui empêche la croissance vers la lumière.
Si la terre est trop dure, si l'eau n'a pas dilué les sels minéraux, la racine ne peut les absorber et la plante dépérit.
Désormais, je sais que dans les moments décisifs de la vie il y a parfois concordance entre les événements intérieurs et extérieurs. Ils se reflètent les uns les autres avec une précision inoubliable.
Dernier entretien de Gitta Mallasz, le scribe des Anges, avant qu’elle a quitté ce monde (réalisé par France 3 en avril 1992), partie I