Le bureau de bienfaisance est, en droit, le seul représentant des pauvres : son existence écarte, au niveau de la commune, toute autre institution charitable. Cette centralisation doit assurer une meilleure gestion : le bureau de bienfaisance communal assure une meilleure répartition des secours, faisant circuler les aumônes des quartiers riches vers les pauvres des quartiers populeux.