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4,16

sur 3292 notes
Ouf j'ai enfin terminé ce dernier roman d'AGNES MARTIN LUGAND. J'ai d'abord été attirée par la couverture que je trouve très jolie et le 4e de couverture a fait le reste.

Néanmoins, je sors très mitigée de ma lecture.

L'idée de départ était intéressante mais pas assez approfondie en ce qui me concerne.
Pourtant cette auteure je la connais et j'ai pu apprécier quelques uns de ses romans.

J'ai parcouru ma lecture sans parvenir à m'attacher aux personnages, ni au lieu.

La magie de "la Datcha" n'a pas agit sur moi .....Dommage !!
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La magie des belles histoires qui finissent bien dont cette auteure est une spécialiste n'a pas fait son effet sur moi (comme cela avait été le cas pour l'un ou l'autre de ses autres romans).
Sitôt lu, sitôt oublié, les personnages de ce roman ne vont pas faire trace en moi, je les laisse poursuivre leurs aventures ...
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Agnès Martin-Lugand est une auteure que j'aime beaucoup et dont j'ouvre chaque livre avec plaisir. Je me régale dès la couverture avec ces jolies photos de portraits en noir et blanc.
Je ne pouvais donc pas passer à côté de l'opus paru cette année.
Et comme d'habitude, j'ai passé un très bon moment. J'ai apprécié tant les personnages que l'histoire ou le cadre.
Heureusement il me reste encore deux livres de cette auteure à découvrir !
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Hermine a été abandonnée par sa mère. Elle a fui les services sociaux, a connu la rue puis a décidé de partir pour le sud. Une halte en Provence et elle se retrouve à travailler dans un hôtel luxueux, la Datcha. 20 ans plus tard, elle y est toujours et la clientèle bat son plein. Pourtant, le moral n'est pas au beau fixe. Celui qui l'a accueillie les bras ouverts et lui a offert sa confiance, le propriétaire, vient de décéder. Sa femme va d'ailleurs ne pas tarder à le suivre. Que va devenir la Datcha ? Quel est l'avenir d'Hermine et de ses enfants, elle qui a tout donné pour faire fonctionner au mieux cet hôtel ? le fils qui était parti peu après son arrivée revient. Que va-t-il décider ? La réponse tarde à arriver et on devine que tout ce qui va être décidé est en rapport avec un lourd secret de famille. Un roman émouvant, on s'attache tout de suite aux personnages, mes larmes ont coulé régulièrement, au début, au milieu, à la fin... Une histoire intrigante, facile et agréable à lire.
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Du grand Martin-Lugand comme on l'aime.
Il y a de l'amour, des drames familiaux, des problèmes de couple, de l'héritage, le tourisme du Luberon bref de quoi dévorer ce livre.
Dans le premier quart du livre, on s'impatiente.
La vie à La Datcha se passe dans un tourbillon heureux.
Cette auteure, rien qu'avec ses choix de couvertures, rend ces femmes, des héroïnes toujours attachantes.
On dévore ce nouvel ouvrage car bien sûr on souhaite le meilleur à Hermine.
Il est devenu pour moi le meilleur des romans de cette écrivaine.
Et vous, quel est-il *
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Pour un moment de cocooning sous la couette ou pelotonnée au coin du feu en attendant le printemps, quand un retour d'hiver et l'annonce d'un nouveau confinement vous ont fait perdre tout espoir de joyeuses randonnées dans les sentiers odorants, La Datcha est l'escapade idéale.
Une jeune fille perdue, recueillie au sein d'un établissement hôtelier de charme de la campagne drômoise, que l'on retrouve vingt ans plus tard, installée, mariée-deux enfants, confortablement établie dans le moulin attenant à l'hôtel-auberge, officiant comme bras droit des propriétaires qui lui ont offert cette vie rangée. Voici les ingrédients de départ de cette nouvelle romance d'Agnes Martin-Lugand, auteure assez prolifique et spécialiste du genre. Bien entendu, on découvre peu à peu le caractère des personnages, les liens qui les unissent, et par de nombreux allers-retours dans le temps, l'essentiel de ce qui s'est passé durant ces 20 ans au sein de cet établissement, un refuge pour ses occupants comme pour le lecteur. Jusqu'au décès de Jo, le « patron » bourru-aimé de tous qui va désorganiser toute cette mécanique bien huilée et déclencher le retour de Vassili, le fils de Jo et Macha, expatrié à Singapour depuis de longues années.
Peut-être un peu plus soigné que son précédent roman, qui m'avait plutôt déçue, même si certains passages laissent encore à désirer, ce nouvel opus remplit son contrat divertissant et bien qu'il ne se passe pas grand-chose en dehors du quotidien de la réception de l'hôtel et les quelques allers-retours au village des protagonistes, l'histoire se laisse découvrir, lentement mais sûrement.
Mon avis est que cette auteure est probablement une des meilleures de la catégorie « romance » , lecture de détente, feel-good. Et j'avoue qu'entre deux ouvrages plus ardus, ce n'est pas désagréable.
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datcha : (nom féminin) originellement, cela signifie en russe résidence secondaire à la campagne. Par extension, le terme peut définir sa maison, son foyer. Ce lieu où l'on peut se réfugier pour panser ses peines et ses plaies, ce lieu emplit d'amour où l'on sera toujours le bienvenue, que l'on soit attendu ou non.

C'est un rendez-vous mensuel, immuable que je ne saurai manquer et que j'attends avec impatience. Une sorte de tradition pour moi-même. Chaque année, je trépigne devant les miettes semées tel le petit poucet. Une date. Une couverture. Un titre. Et tous les ans, cette même excitation, cette joie d'enfant la veille d'un réveillon de Noël, quand je franchis les portes de la librairie et que je tiens entre mes mains le dernier opus d'Agnès Martin-Lugand.

Le pire c'est que dans mon euphorie je suis partagée entre le lire d'une traite ou le déguster. La modération n'étant pas mon fort, aussitôt acheté, aussitôt lu. Mais sans regrets. Car les histoires contées par la plume de l'auteure me touche en plein coeur, et garde cette résonnance particulière en moi, même des années après. Et je crois bien que c'est la seule qui avec sa plume me tire autant de larmes, autant d'émotions. Qui touche dans le mille et fait tomber les barrières, mes barrières.

La Datcha n'a pas failli à la règle cette année encore : « L'homme venait de me déposer dans un décor de rêve, dont je n'aurais même pas soupçonné l'existence. L'hôtel en lui-même était imposant, majestueux ; les pierres, les grands volets, les immenses platanes tout autour de la cour, la fontaine couverte de mousse qui lui conférait un aspect féerique. Je ne tiendrais pas deux jours, je n'étais pas à ma place. Devais-je fuir immédiatement, retrouver ma vie d'errance dont je connaissais les codes, où je savais comment survivre, ou bien rester et tenter ma chance dans ce monde inconnu, étranger, mais qui exerçait sur moi une attraction aussi soudaine qu'incontrôlable ? «

C'est ainsi que je suis entrée pour quelques jours dans la datcha. Que j'ai fait le tour du propriétaire et fait connaissance avec le lieu, qui se révèle être le personnage central du roman. le pivot autour duquel tourne la vie, le monde de ses occupants. Lieu inondé d'amour mais également de fantômes du passé. Lieu chargée d'une histoire d'exception, qui a porté et vu des naître des histoires d'amour. Familiale, passionnelle, passionnée.

C'est ainsi que j'ai emboité les pas d'Hermine, notre nouvelle héroïne écorchée vive, qui se livre entière à nous, lecteurs, dans ses doutes, ses choix, ses sentiments qu'elle met à nues et qui la rende plus forte que vulnérable. C'est ainsi que j'ai rencontré Jo, Macha, Vassily et tant d'autres. Leur famille, leurs liens, leurs vies, dont le centre est La Datcha, leur foyer à tous.

Lire Agnès Martin-Lugand c'est prendre le risque d'être immerger dans un tourbillon d'émotions qui nous tire les larmes. Lire Agnès Martin-Lugand, c'est prendre le risque de ne plus pouvoir se passer de sa plume. Lire Agnès Martin-Lugand c'est prendre le risque de s'attacher à ses héroïnes fortes et belles. Alors prenez ce risque et foncez lire La Datcha.
Lien : https://lesjolismotsdeclem.c..
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Je dois dire que je n'avais jamais lu cette auteure, ce n'est pas vraiment mon genre préféré. Mais j'avais reçu les premiers chapitres dans une box kube et j'avais été transporté immédiatement à la datcha alors j'ai décidé de me lancer dans cette lecture, mais elle aura quand même attendue deux ans dans ma PAL.

On rencontre Hermine, une jeune femme SDF, qui rencontre par hasard Jo qui lui propose un travail à la Datcha, un hôtel. Au deuxième chapitre on fait un bond de 20 ans et on retrouve Hermine à la datcha, maman de deux enfants et en train d'organiser l'enterrement de Jo.

Je dois dire que ce qui m'a plu dans ce livre, c'est l'émotion que j'ai ressentie en le lisant. Ce sont des histoires de reconstruction après un deuil, des histoires de famille et pas seulement par le sang. Et cela a provoqué des souvenirs, des pleurs et des questions. J'ai beaucoup apprécié également l'ambiance de la datcha, j'y ai ressenti une certaine sérénité et une envie d'y séjourner.

Cela n'est certainement pas très original et l'histoire d'amour à la fin m'a semblée de trop mais cette lecture a su me toucher et je lirais peut être d'autres livres de cette auteure.
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Conseillé par une amie connaissant mon amour du Lubéron et des lieux ayant une âme la Datcha, roman d'Agnès Martin Lugan, auteure que je ne connaissais pas, ne m'a pas convaincue.

Pourtant le début du roman est prometteur avec ce saut en avant de 20 ans entre le prologue et le premier chapitre qui mobilise le lecteur et lui donne envie de combler ce blanc immense.
Pourtant Hermine l'héroïne résiliente est plutôt attachante. Jo et Macha couple bohème propriétaire de la Datcha sont assez atypiques et sympathiques.
Pourtant la Datcha est un lieu où l'on aimerait se poser pour quelques jours.

Mais hélas je suis assez vite déçue. L'écriture simple est factuelle, plate et pleine de redites. Il y a peu de descriptions permettant de créer une atmosphère, de faire de ce lieu "magique" (adjectif souvent utilisé) un personnage à part entière. Je ne suis pas à la Datcha, je peine à la rendre réelle.
L'intrigue, quant à elle est cousue de fil blanc. Tout, ou presque, y est prévisible. A aucun moment on ne s'inquiète de l'avenir d'Hermine et de la Datcha. L'histoire d'amour ne me convaint pas, l'égocentrisme de l'héroïne m'agace et les secrets de famille me semblent quelques peu saugrenus.

Si je ne tenterais plus l'aventure avec cette auteure, beaucoup de lecteurs Babelio ont apprécié ce roman. Alors, si vous aimez les histoires un peu à "l'eau de rose" laissez vous tenter le temps, par exemple d'un voyage en train en partance vers le Lubéron.


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Hermine, jeune femme de 21 ans, blessée par la vie, trouve refuge à la Datcha, un hôtel familial tenu par Jo et Macha, dans lequel elle va pouvoir se reconstruire et se sentir aimée, enfin.

Ce roman est avant tout une ambiance, un lieu et la plume de l'auteure est emplie de douceur, de tendresse, de pudeur, de délicatesse et de sensualité envers les personnages et l'héroïne de ce roman, La Datcha, le foyer, cette ancienne ferme reconvertie en hôtel.

Ce récit est empreint de nostalgie, de mélancolie, de secrets, de blessures enfouies, d'amitié, d'amour, de transmission et nous apporte, comme d'habitude avec Agnès Martin-Lugand son lot d'émotions.

Une belle lecture !
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