La vie est facile, ne t'inquiète pas

J'adore, j'adore.....
Evidemment on sent bien que le TRISTAN n'est pas un ange qui vient délibérément aider ce couple dans leur projet. Il est simplement TROP ! mais comme Véra le pense à un moment, il faut arrêter la méfiance à tout va.

Encore un livre qui se déroule comme un film ; c'est simplement écrit et en même temps, on a l'impression que c'est une copine qui raconte sa vie.
J'aime beaucoup cette auteure car au-delà de ses romans, ses couvertures sont toujours superbes.
A consommer sans modération !

J'ai découvert cette suite du célèbre livre, Les gens heureux lisent et boivent du café, au hasard d'une balade en librairie du temps où c'était encore possible. J'avais beaucoup aimé le premier et la fin restait en suspens ce qui me convenait assez. Et le charme à opéré, encore une fois, les personnages sont aboutis et cohérents, ce qui reste rare dans un second tome. J'ai passé un bon moment de lecture, mais court vu la vitesse à laquelle je l'ai dévoré !

On prend les mêmes et on recommence. Cette suite Des gens heureux lisent et boivent du café reprend les mêmes ingrédients: personnages, lieux, intrigue. Ça se laisse lire et c'est sans surprise, j'avais deviné la fin quasiment dès le début. le récit manque cruellement d'originalité et à part fumer (à se demander si Lugand n'est pas sponsorisée par l'industrie du tabac), boire de la Guiness et se poser des questions existentielles, l'héroïne ne fait pas grand chose. Je l'ai lu en quelques jours et je vais l'oublier en moins de temps. Parfait pour l'été, ça ne fait pas surchauffer la tête.

Un petit livre qui fait du bien, qui ne va pas casser les briques de la grande littérature mais juste un petit livre qui parle à l'âme, qui console, qui sert de remède à la tristesse....
La suite de la quête de Diane pour retrouver une place dans une vie qui l'a tant chahuté. L'amour, l'amitié, la maladie, le deuil mais surtout l'espoir, la volonté de se redresser même dans les situations les plus douloureuses.
J'aime cette façon douce d'écrire et de faire du bien.

Il y a un moment que je me disais qu'il fallait que je lise la suite de Les gens heureux lisent et boivent du café. Ce premier tome m'avait surprise... je m'attendais à une lecture un peu facile, et pourtant, des thèmes y avait été abordés... Ce deuxième tome est un peu plus lumineux. Nous retrouvons Diane, un an après son année passée en Irlande. Elle s'est reconstruite, a racheté le café à ses parents... fait même des rencontres, puisqu'elle se sent prête, enfin, à retomber amoureuse... Elle croisera la route d'Olivier, homme rangé, droit, attentionné, qui l'aimera... Au moment où leur couple de solidifie, un événement survient : elle voit Edwards, son bel Irlandais brute de décoffrage... Retour en arrière... et elle apprend une nouvelle qui bouleversera son existence... Retour en arrière... Non, il ne faut pas le voir comme ça... Un livre très touchant, mais plein de lumière. Des sujets graves y sont abordés, mais les personnages les vivent avec beaucoup de sérénité... Et puis, la vie reprend le dessus sur tout et l'amour aussi... Un beau roman, qui nous touche autant qu'il nous fait nous sentir bien.

Tous ceux qui ont lu et apprécié " Les gens heureux lisent et boivent du café" seront ravis de retrouver Diane qui est revenue à Paris après sa "retraite" en Irlande. Une nouvelle Diane est elle née? Est elle vraiment guérie du traumatisme de la mort de son mari et de sa fille? L'auteure confirme le succès de son premier roman, la recette prend et nous emmène auprès de Diane et aussi de son fidèle Félix, non pas le chat, mais son ami homo. L'auteure a le don de rendre attachant ses personnages, de nous faire vivre avec eux. Elle fait transparaître, volontairement ou involontairement, discrètement sa profession, psychologue clinicienne. Bien sûr ce genre de romans ne plaît pas à tout le monde, pour ma part, Agnès Martin-Lugand m'a touché à travers Diane, son histoire, ses dilemmes. Je ne peux que recommander ce livre à tous ceux qui ont lu le premier opus et l'interdire à ceux qui ne l'ont pas lu, tout simplement parce que c'est vraiment une suite. En ce qui me concerne, je vais de ce pas lire les 2 autres romans de cette auteure. Serais je autant conquis? Je l'espère mais l'avenir mais le dira.

Quelle joie mais quelle joie de retrouver Diane après Les gens heureux lisent et boivent du café!

Nous l'avions laissé seule dans une parfaite illustration du bad timing… ou quand on rencontre l'amour sans le reconnaître, à un mauvais moment de sa vie, et qu'on passe à côté.

Diane a repris le cours de son existence parisienne, entre son café littéraire, Félix, son meilleur ami et les improbables rendez-vous pseudo-amoureux. Après son séjour irlandais et l'aventure tumultueuse avec Edward, elle se croit prête pour une nouvelle vie de couple…
Avec Olivier, un homme gentil… Mais parfois la gentillesse ne suffit pas… Diane va en faire l'expérience quand elle apprend la maladie d'Abby, là-bas, en Irlande, là où tout a redémarré et là où elle retourne…

Si dans le 1er volet, un événement tragique plongeait Diane dans les affres de la douleur et du désespoir, avec La vie est facile, ne t'inquiète, c'est un instantané de destin beaucoup familier et « banal ». Diane s'est construit une bulle rassurante dans laquelle les risques sont calculés et mesurés: elle écarte ce qui peut potentiellement la mettre en danger et s'entoure de personnes inoffensives et rassurantes.
Mais quand le coeur se mêle de la partie, la raison ne suffit plus. Et les certitudes d'hier ne sont pas toujours les ingrédients de demain. le bonheur se nourrit aussi de mises en danger et de prise de risque.

Alors je ne vais vous cacher que le perso d'Olivier est certes charmant et sympathique… mais mon côté romantique passionné et cérébral (oui, oui, les deux s'accouplent très bien) n'aspirait qu'à des retrouvailles avec Edward, sur les terres de la belle Irlande.

Mais les choses changent, les gens évoluent, les situations diffèrent et j'ai adoré voir Diana devoir ré-apprivoiser le berceau de sa renaissance, devoir accepter de perdre le contrôle et que la bataille contre soi-même se perd parfois pour une fin heureuse malgré soi.

J'ai aimé ce retour en Irlande et les sentiments tumultueux de ces gens heurtés par des coups durs, malmenés par le sort, doutant d'eux et des autres. Je me suis attachée à ces adultes responsables ou déjantés qui restent fragiles et décontenancés devant les élans du coeur… parce que c'est vous, parce que c'est moi… parce que tout se joue parfois à des choix parfois infimes, à des peurs ou des petites folies.
Parce qu'on ne choisit pas sa famille et que faire entrer des gens dans sa vie implique une prise de risques et de responsabilités.
Le titre de ce roman est un peu ironique quand on se sent impuissant devant la perte d'une femme, quand un enfant est privé de sa mère, quand le quotidien est secoué de toutes parts… mais il est aussi porteur d'espoir que celui qui se donne les moyens d'être en équilibre avec soi et les autres…

Je me suis attachée encore davantage à Edward, à son chien, à ce Declan, nouveau venu qu'on a envie de câliner et de rassurer, à Abby et Jack, ce vieux couple complice, à Félix et Judith, vents de fraîcheur et de folie…

Je déplore toutefois que la présence de ce café littéraire, cher au coeur de Félix et Diane, plus prononcée que dans le roman précédant, ne soit pas davantage mis à l'honneur. L'ambiance livresque d'un tel lieu m'a manqué…

Bien entendu, je conseille la lecture des deux volets, Les gens heureux lisent et boivent du café et donc, La vie est facile, ne t'inquiète pas.

La plume de l'auteur est forte et délicate, profondément humaine et, avec cette lecture, le lecteur a l'impression d'avoir une petite place aux côtés de ces personnes simples et attachantes… et c'est avec une petite pointe de tristesse qu'on les quitte à la dernière page…
Lien : http://livrenvieblackkatsblo..

Ce roman est le deuxième volet de l'héroïne Diane. Un an après son retour d'Irlande, Diane a repris sa vie en main avec son café littéraire dont elle devient propriétaire. Ayant fait le deuil de son mari, elle est enfin prête à renouer avec l'amour avec l'aide son complice Felix. C'est le hasard qui mettra Olivier sur sa route, un homme doux et prévenant avec qui tout devient possible. Puis, sa famille de coeur irlandaise fait à nouveau irruption dans sa vie avec Edward, le ténébreux et Abby malade. Diane repart en Irlande et devra se confronter à l'enfance, à ses souvenirs et peu à peu à l'amour impossible avec Edward...
Je ne dévoilerai pas la suite pour laisser le suspens aux lecteurs qui ne l'ont pas lu.
Ce roman est un roman d'amour mais aussi celui de la reconstruction d'une femme touchée par un double deuil. L'auteur montre que tout reste possible même après le pire et cela fait du bien. L'amour a ce pouvoir de nous donner des ailes, de surpasser nos angoisses et nos peurs...
J'avais adoré les gens heureux lisent et boivent du café puis j'avais naturellement enchaîné avec la sortie du second roman de l'auteur qui m'avait un peu déçu. J'ai donc commencé ce roman avec prudence mais me suis vite retrouvée happée par l'histoire, les émotions que l'auteur décrit si bien. le style est fluide, agréable et on ne referme le livre qu'une fois achevé. C'est un roman qui fait du bien et qui se lit facilement. Avec cette suite, L'auteur confirme son talent.

Sachez que c'est la suite du roman "Les gens heureux lisent et boivent du café"... mais vous pouvez vous permettre de lire que celui ci, vous ne serez pas trop perdu.

Sachez également qu'elle fume beaucoup, vraiment beaucoup, dommage que la rythmique ne suive pas cette cadence.

Les personnages y sont toujours attachants, belle description du cheminement de reconstruction après le deuil.

La lecture est rapide et fluide. Ce roman fait son job et clôture parfaitement l'histoire qui est très prévisible.

C'est avec une petite envie d'escapade irlandaise que vous quitterez les personnages.

On retrouve la suite de" Les gens heureux lisent et boivent du café".
Un plaisir de retrouver de retrouver les personnages attachants.
Une histoire pleine de sensibilité et d'émotion qui m'a arrachée quelques larmes.
Écrire une suite n'est jamais évident, celle-ci tient toutes ses promesses