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Un bon petit roman horrifique, un peu gore, pas du tout sexe, bien écrit et plutôt prenant.
Il est réjouissant de trouver des vampires méchants, affreux et sans scrupules dans un roman contemporain ! le livre se lit facilement, pour ainsi dire d'une traite !

Après, les références sont très nombreuses (comme le dit Alfaric mais que j'ai également notées pendant ma lecture, et dont Dracula et Indiana Jones sont les plus évidentes dans les "non-dites" par l'auteur, et "le portrait de Dorian Gray" qui lui est carrément cité, lol), l'intrigue plutôt cousue de fil blanc (je n'ai pas eu vraiment de surprises à la fin, lol), et pour moi, il y a une incohérence dans le fait que des femmes mortes puissent avoir des bébés, mais bon, on est dans dans du fantastique, alors admettons...

C'est du roman "de divertissement", qui tombe à pic en cette période de vacances, léger (pour de l'horreur) et sans prétention qui remplit sa fonction : faire passer un bon moment ! (ma note : 3,5/5)
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Pour ses dix ans, Bragelonne nous fait profiter de dix titres brochés à prix poche. Parmi ces romans : « Descendance » de Graham Masterton. Belle initiative sachant que les éditions du Maître de l'horreur se font rares.
Sur le papier, il y avait tout pour plaire. Une histoire de vampires durant la Seconde Guerre mondiale à la sauce Masterton, cela ne pouvait présager que du bon. En 1944 une unité est détachée en Europe pour traquer, non pas des nazis, mais des créatures démoniaques. James Falcon est un tueur, un spécialiste de ces êtres.

S'il y a bien un style dont j'ai horreur, c'est la narration à la première personne. L'auteur nous oblige à ressentir les émotions à partir d'un personnage. Je trouve ce mode de procédé littéraire très impersonnel. C'est risible de lire un personnage décrire ce qu'il fait. Ce type d'écriture est un frein à l'action. J'ai donc eu une désagréable surprise en découvrant que Graham Masterton avait décidé d'utiliser la narration à la première personne pour son histoire.
Si on met de côté le rythme lent – qui semble être une obligation pour toutes ces histoires vampiriques (« Salem » de Stephen King, « Les fils des ténèbres » de Dan Simmons, la série Lestat de Anne Rice, la série de Anita Blake par Laurell K. Hamilton,…) –, ce livre se veut original. Tout d'abord, le mot vampire n'apparaît que deux fois dans « Descendance ». Graham Masterton préfère utiliser les termes de Strigoï et de Screechers. Une différence marquée et voulut tout au long de l'histoire même dans le détail pour se débarrasser de ces êtres démoniaques. le pieux ou les balles en argents ne sont pas efficaces et la solution que préconise le Maître est bien évidemment plus écoeurante. Je passerai les détails dessus et laisserai le soin aux futurs lecteurs cette découverte.

Tel un Simon Belmont, le fouet est l'une des armes de la panoplie de James Falcon. le personnage principal possède de nombreux outils pour faire souffrir ces Strigoï et Screechers, pour notre plus grand plaisir.
L'histoire se déroule, principalement, sur deux périodes. On découvre l'adversaire de James Falcon durant la Seconde Guerre mondiale. La suite se passera en 1957 pour une nouvelle chasse aux Screechers et Strigoï.

Comme je l'ai évoqué un peu plus haut, il s'agit d'un roman original dans sa perception des vampires. Graham Masterton s'est bien documenté sur le folklore roumain, c'est avec délice qu'il nous distille par moments de ces explications. Une originalité jusqu'à un combat étonnant avec une finalité qui l'est tout autant.
Parfois décalé, j'ai l'impression que « Descendance » veut se démarquer des autres écrits sur le vampirisme. Il s'agit au final d'une oeuvre mineur de l'auteur qui nous a habitués à mieux. Toutefois j'ai passé un bon moment de lecture avec des scènes pleines d'hémoglobine, de viandes faisandées et d'horreur. J'ai été toutefois déçu par la fin, celle qui intervient après le dernier face à face. L'histoire se termine abruptement et on continue – pour ma part – à se poser des questions. Une fin ouverte qui pourrait n'être qu'un prélude à une série de romans ?
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1957, à Londres. Des massacres ont été commis dans ses banlieue, où les victimes ont été éventrées, le coeur arraché et vidés de leur sang.
Le gouvernement emploit James Falcon pour retrouver les assassins... Qu'il connait trop bien et pour cause : ce sont des strigoi, des vampires monstrueux, qu'il a déjà traqué pendant la Seconde Guerre mondiale, quand ceux-ci ont été employés par l'Axe. Afin de retrouver les responsables des meurtres et surtout leur chef, Dorin Duca, il décide de le chasser à nouveau, en compagnie de Jill, une belle femme maître-chien émérite... La partie commence...
Comme toujours, Masterton est un grand maître de l'horreur. Déjà transportée dans le jour J du jugement, ici, on frissonne avec des vampires, autour d'une traque angoissante...
Descendance est un excellent roman de fantastique et de peur, malgré deux où trois 'hics' plombant un peu le récit. Mais dans l'ensemble, c'est une très bonne lecture.
Tout d'abord, il est intéressant de voir le héros marqué par les traditions roumaines impliquant les strigoi. En effet, c'est un homme influencé par les berceuses et légendes roumaines de la part de sa mère (mère qui se révèle assez importante...) et qui connait donc bien les strigoi. C'est aussi un héros sympathique, m'ayant fait un peu songé à Indiana Jones, érudit et partant à l'aventure avec un fouet !
Evidemment, on mêle les strigoi avec l'histoire. Plaisant de voir ceux-ci agir, tuant les résistants. Par contre, la phrase " le IIIeme Reich a libéré leur pouvoir " est MENSONGER. On a certes mention des nazis mais pas un moment le régime fait figure ! Même pas en figurant !
Quand aux strigoi, oh là, ce sont de vampires cruels, répugnant, n'hésitant pas à étriper leurs victimes, et ils attaquent n'importe qui... Les enfants ne sont pas épargnés, donc attendez vous à voir des éviscérations enfantines... Mais malgré ce sadisme et la pourriture demeurant en eux, ils sont séduisants, rien qu'à voir Dorin Duca... Mais bon, mêmes avec leurs charismes, ils sont bien loin de Dracula et de Lestat...
La traque est minutieuse, alternant avec des moments de tuerie, de stress et de combats, avec ces délicieuses pointes de terreur. Et évidemment, Masterton parvient à transformer des moments de quotidien en instants glaçant : après le Jour J où j'ai peur d'écouter les portes, maintenant, je me méfierais plus souvent de mon médecin si je devrais aller en consultation...
En revanche, hélas, on a des moments bien prévisibles, qui se voient à des kilomètres, dont on peux vite savoir les conséquences.
Et encore une fois, des personnages secondaires un peu délaissés niveau psychologie comme Jill (pourquoi ce sont toujours les femmes ?) même si elle est tout de même un poil plus déterminée et intéressante...
Tout cela servit par la plume expressive, rythmée, ne lésinant pas sur le sang mais aussi sur la peur de monsieur Masterton. Et bien sûr, toujours une fin inattendue, une chute qu'on ne s'attend vraiment pas et qui donne tout le sens au titre (parce que ce n'est qu'à la fin qu'on comprend -selon moi- le titre). Une fin qui en plus de surprendre, nous donne quelques réponses aux questions qu'on se pose au début...
En tout cas, cette aventure vampirique m'a bien régalé. Si vous voulez visiter Londres et chasser des strigoi, c'est par ici ! Mais n'oubliez pas de fermez les fenêtres dans la nuit...
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Un petit livre de chasse aux vampires sans aucune prétention, qui mine de rien fait du bien car il rompt avec la déferlante des vampires de paranormal romance ou de paranormal porno. Et j’ai trouvé assez bien senti que l’auteur alterne tout au long du roman entre le vampire gothique, tendance classique, et le vampire virologique, tendance moderne (car cela nous donne un dénouement particulièrement malin !). Et pour ne rien gâcher nous nos amis les chiens ont la part belle du début à la fin !


La mise en place du livre, partie sans doute la plus réussie du récit, nous montre d'Omaha Beach à Anvers, la traque de créatures de la nuit par une unité militaire d’un genre bien particulier. Les chasseurs deviennent chassés, les vampires ramenés des Carpates par les Nazis pour traquer les résistants alliés étant traqués à leur tour. On est entre le récit d'espionnage, de guerre et d’horreur, et quand on pourchasse le vampire alpha dans les rues sous les pluies de V2 allemands, on touche du doigt le survival.
Oui mais non. La majorité du roman est consacré à un remake de Dracula : 7 ans après les faits, James Falcon revient en Europe pour mettre fin aux agissements du vampire alpha, qui s'en donne à cœur joie grâce à une boulette des services secrets britanniques... Duda remplace Dracula dans le rôle du vampire roumain, l’américain James Falcon remplace l’anglais Jonathan Harker dans le rôle du chasseur de vampires énamouré, et Jill Foxley celle de Mina Harker, demoiselle en détresse prise en étau entre les sentiments amoureux de James Facon et les désirs fantasmatiques de Duda... Et le Londres des années 1950 remplace agréablement le Londres de la reine Victoria. Pour un peu le paquebot Normandy remplaçait le Déméter (ce qu'avait plus ou moins fait dans les années 1980 le mangaka Hirohiko Araki dans "Phantom Blood", le premier arc de la saga "JoJo's Bizarre Adventure").


Au bout de quelques livres, je commence à connaître les us et coutumes du prolifique auteur horrifique écossais. Ancien rédac-chef du magazine érotique Penthouse, il est célèbre pour son mélange humour / cul / gore. Mais ici force est de constater que mis à part le passage du gynécologue vampire, il est plus sage qu'à l'accoutumée...
La méthode Masterton, c'est bien souvent un background travaillé difficile à prendre en défaut. Ici nous avons la « grippe coréenne », le vaccin Salt, la Guerre Froide en Occident, la décolonisation au Moyen-Orient et réorganisation des services secrets britanniques après la trahison des Philby...
La méthode Masterton, c'est aussi l'alternance entre clins d’œil à la culture classique et clins d’œil à la culture populaire : d'une côté on a des références à Dante Gabrielle Rossetti, Mary Shelley, Bram Stoker ,Oscar Wilde, J.R.R. Tolkien, Paul Anka et Frank Sinatra… et d'un autre côté on a des références à Superman, Bela Lugosi, Loretta Young, Christopher Lee, Peter Cushing, le pilote Fangio ou les gâteaux spéculoos… Il peut donc réconcilier différents types de publics en offrant des petits plaisirs à tous ses lecteurs... ^^
Mais le plus gros clin d’œil du roman c’est celui fait à la saga "Indiana Jones" : ben oui, on a quand même pour héros un universitaire aventurier armé d’un fouet, affublé du surnom de junior par sa littéraire de père (et je ne parle même pas de la scène où le héros explique le concept de vampire à deux agente du gouvernement venus l’embaucher, entièrement tirée des "Aventuriers de l’arche perdue" ^^).
Sinon l’auteur continue d’explorer les rapports compliques entre la perfide Albion et l’Oncle Sam… blink


J’ai longtemps trouvé le personnage de Jill Foxley superfétatoire avant que je comprenne le truc… Déjà c’est l’alter ego de Mina Harker qui fait écho au personnage de Bram Stoker, mais l’auteur a bien souvent inclus un roman sympa dans ses œuvres et c’est ici le cas. Car James Falcon, fils d’un Américain de souche irlandaise et d’une immigrée roumaine, se reconnaît davantage dans Jill Foxley, fille d’un Anglais et d’une Birmane, que dans la copine de lycée qu’il a épousé avec pour seul point commun le mal de vivre post WWII…

Mais c’est vraiment dommage qu’il faille attendre les derniers chapitres pour enfin entrer dans les mystères qui donnent son titre au roman…
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Un van helsing contemporain sur fond de folklore et de mythologie roumaine. Un bouquin mou et particulièrement ennuyeux. Dommage car le postulat de départ était enthousiasmant.
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je le trouve excellent comme toujour av graham masterton il y a du sex du mensoge de la violence et surtout beauçoup de carnage comme d'abitude vraiment excellent
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Ce livre ne m'a absolument pas plus. Je l'ai trouvé sans saveur et sans originalité.

La première partie du roman qui se déroule pendant la Seconde Guerre Mondiale est assez sympa, bien que je n'aime pas cette période de l'Histoire. J'appréciai de suivre les personnages, le maitre-chien et Falcon, qui poursuivre des Screechers dans une ville militarisée. L'ambiance était sombre et assez prenante. L'idée du maitre-chien me plaisait bien aussi.
Malheureusement, la suite n'a pas ce même charme. Perso, si imaginer un peu une ville et des gens durant la guerre est possible, je n'ai aucune idée à quoi ressemble l'Angleterre en 1957. Et l'auteur ne nous aide pas à nous en faire une idée, hormis en citant très souvent de marques que je ne connais pas (comme l'auteur est écossais, c'est peut-être compréhensif pour ces compatriotes). Bref, l'ambiance est presque inexistante et j'avais du mal à me sentir dans ce Londres où il faisait très chaud ou quand il pleuvait des cordes.
Si l'ambiance est quasi inexistante, la trame générale est intéressante. Elle est plate et sans rebondissement. Presque tout est prévisible et d'une linéarité affligeante. Les passages d'actions sont fades.
Un truc qui m'a aussi beaucoup déçu, c'est le personnage féminin de Jill. En fait, Jill aurait dû être un homme pour que son personnage ne soit si mauvais. Que l'auteur ait pris parti de lui faire une grosse poitrine et de la faire belle, OK. Mais quand ce personnage est une potiche de première à tomber amoureuse comme une ado de quinze ans, je dis que ce n'était pas la peine. D'ailleurs, l'ensemble des personnages féminins est pitoyable : les mères ou les amoureuses. Sans surprise, Falcon en tombe amoureux. Mais le fait qu'il soit marié ne semble pas trop le perturber. Bon, je n'ai rien contre le fait qu'il ait pu se marier avec sa femme parce qu'il se plaisait bien et qu'il couche avec une autre femme. Mais quand il le fait avec Jill, il ne s'en soucie pas trop. Pire, il n'a même pas d'état d'âme, ni rien. Après cette scène (qui est aussi inutile qu'une veste polaire à midi au Sahara), la pauvre femme de Falcon semble disparaitre du récit pour ne réapparaitre qu'à la fin quand elle vient voir son mari à l'hôpital.
Falcon est inintéressant. Au début du roman, on a l'impression qu'il a un côté sadique et qu'il s'amuse bien en tuant les screechers. Sauf qu'il passe son temps à dire qu'il n'a pas choisi cette activité et qu'il s'en passerait bien.

L'écriture de l'auteur se lit bien (et heureusement), mais il y a trop de dialogue à mon gout. Les descriptions ne m'ont jamais permis de me mettre dans l'ambiance ou de bien saisir l'aspect des personnages. Parfois, l'auteur prend parti de faire de la répétition pour insister sur certains points, mais ça ne fonctionne pas. J'en avais marre qu'il répète que les balles de son pistolet sont issues des coupes de la Cène à chaque fois qu'il tire son arme contre les Screechers.
Avec les accroches du lire « le IIIe Reich a libéré leur pouvoir… Un seul homme peut les arrêter », j'espérais quelque chose de dynamique et de plus « construit ». Là, j'ai eu droit à un gros pétard trempé ! 1) Falcon est pas si tout seul que ça, 2) le IIIe Reich c'est même pas un figurant (pour reprendre le langage cinématographique)

J'avoue que j'ai bien aimé les « vampires », les strigoï issus du folklore roumain. Il y a de l'idée, mais dériver vers le terme de screechers m'a paru exagéré. Au final, ça fait plus un effet de « style » pour ne pas à avoir à dire (ou écrire) le mot vampire.
Duca, le principal screecher, est d'une banalité affligeante. Beau et méchant… Et qui parle parfois un peu trop à mon gout ?

Une déception pour moi. Une histoire plate sans rebondissement avec des personnages pas très convaincants surtout pour les féminins. Au final, ce récit aurait pu prendre place à n'importe quelle époque et on reste dans un flou si on ne connait pas les périodes où se déroule l'(in)action. Je le déconseille vivement.

Lien : http://0z.fr/3AuoA
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Enfin un livre où on tue des vampires ! Parce qu'en ce moment le créneau de la littérature vampirique va plus du côté de la romance que vers l'épouvante, il faut le reconnaître. Donc voici un livre qui change et ça fait du bien !

L'idée de départ avec les nazis est très originale et le mythe vampirique très bien exploité avec des explications sur les strigoïs, la différence entre strigoï vii et strigoï morti et celle avec les nosferatu. On sent que l'auteur a voulu revenir aux origines du mythe en puisant dans les légendes roumaines et du coup on en apprend beaucoup sur le sujet. le souci de réalisme est poussé jusqu'à utiliser des phrases en néerlandais dans la première partie du récit qui se passe à Anvers, et en roumain pour tuer les Screechers. La méthode pour se débarasser de ces derniers est assez détaillée, sans pour autant verser dans le gore.

Le héros est attachant, ce n'est pas un soldat surentraîné, juste un ancien étudiant en anthropologie qui a publié un article sur les strigoïs, inspiré par les histoires que lui racontait sa mère née en Roumanie. C'est l'armée américaine qui le recrute et l'envoie en plein conflit.

L'intrigue est assez palpitante car au-delà de la traque d'un strigoï, on en apprend davantage sur le héros et ses origines, difficile de vous en dire davantage de peur de vous en dévoiler trop, mais la fin et la révélation qu'elle apporte valent la peine de lire le récit jusqu'au bout. Cette fin nous donne d'ailleurs envie d'en savoir davantage et j'espère qu'il y aura une suite.

Pour terminer, bien que ce livre soit qualifié d'épouvante, je n'ai pas vraiment eu peur durant ma lecture.
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Comme à chaque fois, Graham Masterton réussit à capter son lecteur. Dans ce nouveau chaos sanglant, il met en scène un chasseur de vampires et les Strigoï, des bêtes sanguinaires venus de Roumanie semant la terreur en Angleterre. James Falcon les ayant déjà chassé dans le passé, est encore une fois contacté par l'armée pour les traquer et les tuer.
Des vampires à la sauce Masterton, vous pouvez être certain que le sang va couler à flot et que la peur va être intense !
D'accord ce n'est pas son meilleur roman. L'intrigue est assez simpliste et les personnages souvent trop survolés, mais dans l'ensemble, sa signature macabre est toujours plaisante.
Et cette couverture, n'est-elle pas attirante ? Votre curiosité n'est-elle pas aiguisée par cette sombre silhouette?
Ce n'est certes pas de la grande littérature, d'ailleurs ce ne doit pas être dans les espérances de l'auteur, mais c'est un réel plaisir et un très grand moment de détente de plonger dans les bizarreries de Graham. Donc ne vous attendez pas à une histoire profonde mais plutôt à une chasse aux monstres divertissante. du bonheur quoi !

Bref, j'ai bien aimé ce roman de Graham Masterton qui m'a permis de me détendre pendant quelques heures. de plus, juste pour mon plaisir, je dois vous signaler que c'est mon premier livre numérique et je suis vraiment ravie d'avoir fait cette première expérience avec un de mes auteurs préférés.

Lien : http://lacaveauxlivres.blogs..
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J'ai découvert ce livre après avoir lu la trilogie de Guillermo del Toro et chuck Hogan du coup je n'ai pas du tout accroché. le fait de faire des catégories de vampires m'a un peu perdu. L'action a du mal a démarrer.Le rythme est soporifique Bref je n'en garde pas un bon souvenir.
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