Une vie

J'aime autant le dire tout net : c'est gluant et ça colle... une vie entière faite de faux-semblants et de désillusions, d'alternances entre rêve et réalité, de pleurs et de chagrins, le tout enjolivé de belles parures.

La jolie Jeanne, sous ses airs de sainte nitouche, ses beaux yeux rêveurs et sa naïveté presqu'infantile, a eu le don de m'agacer, de la première à la dernière ligne.
J'aime encore mieux m'acoquiner avec une Emma Bovary tendancieuse et dissimulatrice : elle, a eu, au moins, le mérite de prendre sa vie en main et de se débattre dans la fange qui était la sienne.

La narration, elle, est cousue de fil blanc : on en conçoit la trame, on en devine la suite, et seule la naïve Jeanne ne voit pas les coups venir, ce qui a le don de m'insurger contre les pratiques narratives De Maupassant. Quant aux descriptions, nombreuses et terriblement connotées, elles ont eu le mérite de m'engoncer, soir après soir, dans une torpeur ténébreuse qui a avancé plusieurs fois de suite l'heure de mon rendez-vous avec Morphée... ce fut toujours ça de gagné...

c'est un livre sur la souffrance. pas la souffrance romanesque la souffrance bien dur bien apre qui donne envie de mettre fin à ces jours. c'est pourquoi je n'ai pas aimé et vous invite a lire autre chose. MAIS FRERE TES 250 MOTS JE VAIS PAS ECRIRE UN ROMAN

Beaucoup d'éloges à propos de ce livre, de cet auteur.

Ce n'est pas faute d'avoir essayé, persévéré... Non, je n'y arrive pas. Une vie est un roman déprimant, auquel je ne retire pourtant rien de ses qualités littéraires.

Mais que la vie de Jeanne est triste et désespérante...

De la pluie, des larmes et des échecs.

J'ai bien aimé ce livre. Quelques passages un peu longuets, mais dans l'ensemble un très bon livre. Sans rentrer dans les détails, l'histoire en elle-même est agréable à lire. On s'attache aux personnages notamment Jeanne. Ce livre reflète bien les conditions de la femme au XIX ème siècle.

C'est nul, c'est lent l'histoire est sans grand intérêt. Une purge.