Le côté exotérique, ou pratique de l’astrologie nous fut légué par Ptolémée de Peluse. Toutefois, et en dépit de l’autorité dont jouit Ptolémée, nous affirmons que ce qu’il nous a transmis de la science est non seulement imparfait et incomplet, mais encore corrompu.
Les astrologues qui lui succédèrent jusqu’au XVIIIe siècle, et surtout les Arabes, sentirent tellement incomplète cette science léguée qu’ils tentèrent de la régénérer par des additions personnelles pour la plupart puériles et fantaisistes. Nous nous contenterons de délaisser ce côté empirique de la tradition — et n’en parlerons pas.