AccueilMes livresAjouter des livres
Découvrir
LivresAuteursLecteursCritiquesCitationsListesQuizGroupesQuestionsPrix BabelioRencontresLe Carnet
3,6

sur 138 notes
5
8 avis
4
11 avis
3
4 avis
2
0 avis
1
3 avis
Enzo Macleod s'attaque à une des enquêtes non résolues rassemblées par son ami l'écrivain Roger Raffin dans un ouvrage à succès. Il s'agit du meurtre de la jeune Lucie Martin, dont le cadavre a été retrouvé dix-huit ans plus tard à la faveur de l'assèchement d'un lac du Lot-et-Garonne lors de la canicule de 2003. Pari impossible ? Malgré un solide alibi, tout semble pourtant accuser Régis Blanc, un ancien proxénète, enfermé à vie dans la prison de Lannemezan pour le meurtre de trois prostituées. Et nous voilà entraînés dans un jeu de miroirs déformants, en compagnie de personnages aux multiples visages. Passé maître en la matière, Peter May s'ingénie à tromper le lecteur, lui offrant des pistes plus fausses les unes que les autres jusqu'au dénouement final, inattendu. Un roman policier comme on les aime, faisant travailler l'imagination tout en nous plongeant dans le monde réel, celui d'une société en perte de ses repères, où la frontière entre bien et mal devient de plus en plus floue…
Commenter  J’apprécie          80
Coup de griffe , un auteur que je suis habituellement et qui écrit normalement fort bien cf la trilogie écossaise . Mais là c'est extrêmement médiocre , sans écriture, sans saveur, poussif … ce ne peut pas être lui qui a écrit cela … ou comment prendre le lecteur pour un blaireau …
Commenter  J’apprécie          10
J'ai fini le 6eme tome de la série "assassins sans visage" de Peter May. Ce tome s'appelle "un alibi en béton" et est paru dans l'édition que j'ai lu chez A vue d'oeil (et aux Editions du Rouergue auparavant).
Dans ce tome, on retrouve Enzo Macleod, le scientifique écossais, pour une nouvelle enquête issue du livre de Roger Raffin, qui est maintenant lié à lui par le bébé qu'il a eu avec la fille d'Enzo.
Enzo s'attaque à l'enquête sur le décès de Lucie Martin.
Sa mort a été imputée a un serial killer qu'elle connaissait, mais elle n'a jamais pu être prouvée...
Le doute persiste donc et Enzo Macleod va poursuivre cette enquête en ouvrant les champs d'investigation plus largement qu'ils ne l'avaient été lors de la découverte du corps de la jeune fille.
En parallèle, le tueur qui a déjà tenté de le tuer a plusieurs reprises s'en prend maintenant a sa fille Sophie en l'enlevant... avec toujours dans l'optique qu'Enzo arrête ses enquêtes.. Forcément, ça va lui donner encore plus de rage a parvenir a la résoudre.
Une ancienne connaissance refait aussi une apparition surprise, pour le plus grand bonheur du scientifique écossais.

J'ai réservé le dernier tome, vivement que je sache la fin....
Commenter  J’apprécie          20
Dernier tome des aventures d'Enzo McLeod et de sa saga des « Assassins sans visages », avec un ultime match bien ficelé.
En 1989, une jeune femme à qui tout semblait sourire, disparait mystérieusement dans la campagne du Lot et Garonne. Bien vite la police avait trouvé un coupable tout désigné et vite classé l'enquête. En effet, Regis Blanc, un proxénète notoire de la région avait au même moment tué trois prostituées. Qu'importe ses dénégations pour cet autre crime, ses liens avec la victime ne faisaient aucun doute et des preuves avaient été retrouvées.
2011, place à notre challenger écossais pour faire enfin la lumière sur cette tragédie! Comme toujours, il ne se laissera pas éblouir ni avoir par des ficelles trop grosses et collectera tous les petits indices semés sur son chemin, virtuose pour débusquer les témoins oubliés. Pourtant, il l'ignore mais l'épilogue de son pari ne sera pas un aisé et c'est sa famille qui va une nouvelle fois en faire les frais.
Un opus plus humain avec un héros moins aviné, plus nuancé, romantique, parental et soucieux des autres.
Un rythme toujours assez intense avec des rebondissements et un final inattendu, original et bien amené.
On quitte Sir McLeod avec nostalgie … mais ce sera pour mieux le retrouver dans « La gardienne de Mona Lisa » ;-)
Commenter  J’apprécie          30
Après s'être concentré sur une intrigue « culinaire », Enzo McLeod s'intéresse à l'affaire Lucie Martin, disparue en 1989 en même temps que trois autres filles, prostituées. Régis Blanc s'était alors accusé du meurtre. Pour autant, rien n'est moins sûr… et alors qu'Enzo se rapproche de la vérité sur cette affaire, sa fille et son beau-fils courent un grave danger.

Il est dommage que nous ayons découvert cette saga des « Assassins sans visage » par le dernier tome sorti car le twist final en était moins savoureux. Cependant, Peter May sait jouer avec nos nerfs et nous propose un récit correctement ficelé. Si la fin de l'affaire Martin semble terne, l'histoire d'Enzo devient encore plus puissante. Un jeu de manipulation que l'on n'aurait jamais deviné (sauf si, encore une fois, on avait pas démarré par la fin 😅)

Espérons qu'un tome 8 apparaisse, à moins que « La Gardienne de Mona Lisa » ne soit la conclusion…
Commenter  J’apprécie          10
Un alibi en béton de Peter May ( Rouergue N° 31 - 438 Pages )

En prenant un livre de Peter May, je suis assurée de passer de bons moments. Il y a tout ce qu'il faut : suspens, tendresse, amitié, morts, stress et un dénouement final heureux.
Pour moi qui habite près de Cahors, Peter May parle dans ses livres d'une région que j'adore. A mon avis lui également puisqu'il habite dans le Lot.
Enzo continue ses recherches pour gagner son pari, résoudre des crimes anciens racontés dans un livre de Roger Raffin, journaliste.
Il démarre une nouvelle enquête, la mort de Lucie Martin, disparue en 1989 et retrouvée dans un lac en 2003 à cause de la sécheresse.
Il devra rencontrer un serial Killer, Régis Blanc.
Mais quand vous remuez la boue, vous gênez et mettez en péril votre famille.
Polar lu en deux jours car impossible de le laisser, il fallait que je puisse connaître la solution finale.
Mireine
Commenter  J’apprécie          130
Ennui, ennui quand tu nous tiens, il est bien difficile de finir ce livre. Si Peter May continue sur cette lancée, ce sera sans moi.
Sans des descriptions à n'en plus finir, ce livre n'atteindrait les 300 pages.
Blablabla, et Macleod pris la retraite de sa retraite. ( je sais, c'est un peu tiré par les cheveux mais c'était pour atteindre le minimum de 250 caractères. )
Commenter  J’apprécie          121
J'avais beaucoup aimé la série écossaise et son ambiance parfaite. Lue il y a quelques années, il me reste le souvenir du vent, des oiseaux marins, la rudesse des personnages, le caractère somptueux des paysages.
Ici, rien de tel.
C'est plat. C'est fade. Peu crédible. Un petit roman vite torché. On se croirait dans une de ces séries policières régionalistes de l'été.
Une série franchouillarde à laquelle il n'aurait été alloué qu'un budget très limité : allez Peter, les personnages on s'en cogne et mets nous du pays. Place nous aussi un peu de pinard . Que diable, t'es dans les vignes.
A en faire aussi peu, Enzo Mac Leod n'est qu'un vieux beau sur le retour, même pas attachant. Plutôt irritant.



Commenter  J’apprécie          21

De PETER MAY : Un alibi en béton.

C est avec plaisir que j'ai retrouver notre détective écossais devenu lotois Enzo Macleod vivant à Cahors.

_Le corps de Lucie Martin disparu depuis 1989 est découvert dans un lac asseché par la canicule de 2003 dans le Lot-et-Garonne a proximité du domicile de ses parents.

_Macleod en reprenant l'enquête va déterrer une histoire ancienne ou un serial killer près de Bordeaux a étrangler plusieurs prostituées.

_Sa famille et lui-même seront menacée, sa vie personnelle exposée.

_Des personnages rencontrer dans de précédent livre l'accompagneront.

_ de Cahors a Bordeaux à Paris à Lannemezan à Biarritz ce livre nous fait parcourir ces lieux a cent à l'heure.

Comme toujours avec Peter May, ce livre est agréable a lire avec une bonne intrigue.
Commenter  J’apprécie          00
Curieux polar que celui-ci ! On débute logiquement par l'enquête consécutive à la découverte d'un cadavre dans un lac partiellement asséché. Comme d'habitude dans ce genre littéraire, on dérive très vite sur diverses pistes, fausses ou exactes. Mais ce qui n'a rien d'habituel, c'est qu'on oublie presque complètement le problème initial, qui n'est repris que dans les toutes dernières pages avec une solution sans grand rapport avec tout ce qui précède. C'est assez déstabilisant quand, comme moi, on ne cesse de se poser la même question au fil des 400 pages : Qui a tué Lucie Martin ?

Le récit est bien construit, varié et original. L'implication possible des proches de l'enquêteur est déroutante mais ajoute au suspens.

Un très bon livre au final.
Commenter  J’apprécie          10




Lecteurs (312) Voir plus



Quiz Voir plus

Quel est le bon titre des livres de Peter May ?

L’... du serment ?

Archipel
Ile
Oasis

5 questions
25 lecteurs ont répondu
Thème : Peter MayCréer un quiz sur ce livre

{* *}