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Critiques filtrées sur 5 étoiles  
Un alibi en béton de Peter May ( Rouergue N° 31 - 438 Pages )

En prenant un livre de Peter May, je suis assurée de passer de bons moments. Il y a tout ce qu'il faut : suspens, tendresse, amitié, morts, stress et un dénouement final heureux.
Pour moi qui habite près de Cahors, Peter May parle dans ses livres d'une région que j'adore. A mon avis lui également puisqu'il habite dans le Lot.
Enzo continue ses recherches pour gagner son pari, résoudre des crimes anciens racontés dans un livre de Roger Raffin, journaliste.
Il démarre une nouvelle enquête, la mort de Lucie Martin, disparue en 1989 et retrouvée dans un lac en 2003 à cause de la sécheresse.
Il devra rencontrer un serial Killer, Régis Blanc.
Mais quand vous remuez la boue, vous gênez et mettez en péril votre famille.
Polar lu en deux jours car impossible de le laisser, il fallait que je puisse connaître la solution finale.
Mireine
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Je n'ai pas été pressée de lire cette enquête d'Enzo McLeod car dans les derniers livres celui-ci m'agaçait fortement. Pourtant dans ce tome qui cloture la série des Assassins sans visage, je me suis réconciliée avec lui. Cette enquête qui va révéler les deux derniers cas du livre de Raffin va mettre en danger, non seulement notre héros, mais aussi sa famille entière.
L'enquête est passionnante car pleine de fausses pistes, de voies sans issues et d'intrigues parallèles. On sent toutefois que c'est l'épilogue de la série avec les révélations qui sont faites au fur et à mesure et les relations entre les personnages secondaires qui se nouent ou se dénouent d'une façon plus définitive.
J'ai beaucoup apprécié cette lecture et j'ai été heureuse de retrouver tous ces personnages. Je regrette de ne pas avoir relu la série entière avant car de nombreuses références sont faites à des événements ayant eu lieu dans les tomes précédents et n'étaient plus très clair dans mon esprit.
La série est bouclée et pourtant Enzo reprend apparemment du service dans le nouveau roman de Peter May, j'espère que j'y retrouverai avec plaisir un personnage qui m'a fait vivre de bons moments malgré quelques traits de sa personnalité qui m'ont parfois déplus. Mais c'est ainsi, nul n'est parfait, même un personnage de fiction...
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Enzo Macleod s'attaque à une des enquêtes non résolues rassemblées par son ami l'écrivain Roger Raffin dans un ouvrage à succès. Il s'agit du meurtre de la jeune Lucie Martin, dont le cadavre a été retrouvé dix-huit ans plus tard à la faveur de l'assèchement d'un lac du Lot-et-Garonne lors de la canicule de 2003. Pari impossible ? Malgré un solide alibi, tout semble pourtant accuser Régis Blanc, un ancien proxénète, enfermé à vie dans la prison de Lannemezan pour le meurtre de trois prostituées. Et nous voilà entraînés dans un jeu de miroirs déformants, en compagnie de personnages aux multiples visages. Passé maître en la matière, Peter May s'ingénie à tromper le lecteur, lui offrant des pistes plus fausses les unes que les autres jusqu'au dénouement final, inattendu. Un roman policier comme on les aime, faisant travailler l'imagination tout en nous plongeant dans le monde réel, celui d'une société en perte de ses repères, où la frontière entre bien et mal devient de plus en plus floue…
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Notre cher Enzo continue à se pencher sur les crimes non résolus du livre écrit par Raffin, qui est donc devenu le père de son petit-fils. Ce n'est pas pour cela que les relations ente les deux hommes sont devenues plus cordiales… Dans cette enquête, les deux filles d'Enzo sont présentes et surtout Sophie. Sophie qui au début du livre organise une petite fête pour l'anniversaire de son père à laquelle elle souhaite convier tous ceux qui ont eu de l'importance dans la vie de son père. de fait dans le roman on croisera beaucoup de personnes de la vie de ce dernier…
Mais surtout il y a l'enquête : Un dossier qui en devient six…
Et une fois de plus je n'ai pas lâché le roman. L'écriture est fluide, les personnages attachants, j'aime les univers de Peter May, que les crimes se déroulent en Ecosse, en Chine, en France ou ailleurs…
Alors je ne vais pas tarder à attaquer le petit dernier… C'est toujours un excellent moment de lecture, avec du suspense, de l'humanité, un petit sourire aux lèvres…
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Après s'être concentré sur une intrigue « culinaire », Enzo McLeod s'intéresse à l'affaire Lucie Martin, disparue en 1989 en même temps que trois autres filles, prostituées. Régis Blanc s'était alors accusé du meurtre. Pour autant, rien n'est moins sûr… et alors qu'Enzo se rapproche de la vérité sur cette affaire, sa fille et son beau-fils courent un grave danger.

Il est dommage que nous ayons découvert cette saga des « Assassins sans visage » par le dernier tome sorti car le twist final en était moins savoureux. Cependant, Peter May sait jouer avec nos nerfs et nous propose un récit correctement ficelé. Si la fin de l'affaire Martin semble terne, l'histoire d'Enzo devient encore plus puissante. Un jeu de manipulation que l'on n'aurait jamais deviné (sauf si, encore une fois, on avait pas démarré par la fin 😅)

Espérons qu'un tome 8 apparaisse, à moins que « La Gardienne de Mona Lisa » ne soit la conclusion…
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Une ancienne affaire remonte à la surface. Un crime non-élucidé. En 1989, Lucie Martin, étudiante à Bordeaux a disparu sans laisser de traces. Malgré tous les efforts de la police, jamais son corps n'a été retrouvé. En 2003, alors que la canicule frappe la France, un promeneur découvre son cadavre dans un lac asséché du Lot-et-Garonne, non loin de la propriété familiale. Des indices font croire à un meurtre et ceux-ci relient la victime à Régis Blanc, un ancien détenu charismatique, à nouveau sous les verrous et suspecté de l'assassinat de trois prostituées qui besognaient pour lui. Est-il le coupable idéal ou y a-t-il maldonne à son sujet ? le détective Enzo McLeod décide de remonter le fil du temps et d'investiguer sur ce qui, pour lui, ressemblerait davantage au modus operandi d'un serial-killer. En jouant des coudes et en bousculant la routine, il se rend à l'évidence que cette enquête sera loin d'être sereine, prompte à réveiller de vieux fantômes et à raviver la douleur des parents de la malheu-reuse. Puis, à son insu, il met les doigts dans un engrenage qui pourrait lui être fatal et découvre qu'on ne doit jamais ouvrir la boîte de Pandore, sous peine d'en subir les déflagrations.
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. Peter May signe un nouveau thriller découpé au rasoir, avec un suspense bien ficelé et des personnages ambigus, victimes ou bourreaux. Un ensemble servi par une écriture dense et pénétrante qui donne envie de lire les cinq tomes précédents, avec lesquels le présent titre forme la série « Assassins sans visages ». Addictif !
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De PETER MAY : Un alibi en béton.

C est avec plaisir que j'ai retrouver notre détective écossais devenu lotois Enzo Macleod vivant à Cahors.

_Le corps de Lucie Martin disparu depuis 1989 est découvert dans un lac asseché par la canicule de 2003 dans le Lot-et-Garonne a proximité du domicile de ses parents.

_Macleod en reprenant l'enquête va déterrer une histoire ancienne ou un serial killer près de Bordeaux a étrangler plusieurs prostituées.

_Sa famille et lui-même seront menacée, sa vie personnelle exposée.

_Des personnages rencontrer dans de précédent livre l'accompagneront.

_ de Cahors a Bordeaux à Paris à Lannemezan à Biarritz ce livre nous fait parcourir ces lieux a cent à l'heure.

Comme toujours avec Peter May, ce livre est agréable a lire avec une bonne intrigue.
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