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L'automne des magiciens tome 1 sur 3
EAN : 9791028106232
456 pages
Bragelonne (14/02/2018)
3.71/5   68 notes
Résumé :
Octavianne, huitième fille de la reine d'Elgem, a grandi dans le palais royal. À seize ans, sa soeur aînée régnante veut la marier contre son gré.
Acculée, Octavianne s'enfuit et mène une vie d'errance, avant d'intégrer une école de magie runique où elle apprend à maîtriser ses pouvoirs naissants. Elle rencontre un jour Adalgis, un chasseur mi-homme, mi-lion qu'elle sauve et guérit.
Mais bientôt Octavianne apprend que sa soeur est morte sans héritièr... >Voir plus
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Critiques, Analyses et Avis (18) Voir plus Ajouter une critique
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Pour son premier roman, Hélène P. Mérelle se lance dans une série de fantasy dont le premier tome vient d'être publié par Bragelonne. Inutile de faire durer le suspens, la couverture comme le résumé ne laissant que peu de place au doute : l'ouvrage s'inscrit dans une mouvance très classique et ne présentera ainsi que peu d'intérêt pour les lecteurs recherchant quelque chose de vraiment original (à noter au passage que la quatrième de couverture dévoile l'intégralité des événements de ce premier tome, ce qui n'est franchement pas malin...). L'intrigue, tout d'abord, n'a rien de bien surprenant : une jeune princesse rebelle fuit sa cité afin d'échapper à un mariage arrangé et part à la recherche d'un magicien accomplis qui l'aidera à comprendre et contrôler sa magie. Car, à sa grande surprise, Octavianne a vu éclore lors de ces seize ans les fameux pouvoirs qui sont le privilège des femmes de sa famille et dont n'héritent d'ordinaire que celles destinées à régner. Or, la jeune fille est huitième dans l'ordre de succession... le roman reprend tous les codes et poncifs de la quête initiatique traditionnelle qui se découpe ici en deux parties bien distinctes : dans la première moitié du roman, l'héroïne apprend à utiliser sa magie ; dans la seconde, elle est initiée aux jeux de l'amour et de la sexualité. Les deux parties comprennent des défauts et des longueurs, même si la première se révèle à mon sens plus intéressante puisque l'auteur y prend le temps d'expliquer et d'approfondir le fonctionnement de son système de magie. Si celui-ci reste, là encore, très classique, on peut tout de même saluer l'effort d'Hélène Mérelle qui a pris soin de créer un structure cohérente qui gagne peu à peu en consistance. Ce système repose sur l'utilisation de runes qui suppose certains prérequis (en gros : on a le pouvoir, ou on ne l'a pas) et qui varie en fonction des différentes régions du monde. Ainsi, dans la cité d'Elgem dont est originaire l'héroïne, seule la reine a accès au pouvoir, tandis que dans le sud les magiciens sont plus nombreux et exercent leur pouvoir de manière affichée, parfois au dépend de la population.

On peut faire exactement les mêmes remarques pour ce qui est de la géographie : c'est classique mais c'est tout de même suffisamment détaillé pour qu'on comprenne que l'auteur ne s'est pas juste contentée de reprendre certains clichés et a au contraire cherché à se les approprier au mieux. le monde dépeint ici est ainsi composé de neuf grandes cités régies par autant de monarques et dans lesquelles règnent des ambiances totalement différentes. Les cités du nord sont ainsi jugées plus évoluées et plus mesurées (esclavagisme interdis, accès à l'école favorisé pour la population...) tandis que les cités du sud sont considérées comme barbares car reposant toujours sur un système esclavagiste (on sait pour le moment peu de chose des îles et de leurs spécificités, même si leurs souverains sont mentionnés). Pour ce qui est des paysages, on reste une fois encore sur du classique avec cela dit un décor d'inspiration plus antique que médiévale. Toujours est-il que l'on voit du pays au cours de ces quelques quatre cent pages puisque l'héroïne arpente la carte presque de haut en bas. Certains de ses déplacements ne sont d'ailleurs pas vraiment cohérents, si bien qu'on a à plusieurs reprises l'impression que ses pérégrinations relèvent moins de la logique que d'une volonté de la part de l'auteur de faire voyager son lecteur dans le plus d'endroits possibles de son univers. L'ensemble reste malgré tout divertissant et aurait même pu se révéler vraiment intéressant si les interactions entre l'héroïne et les autres personnages ne m'avaient pas autant posé problème. Posons d'abord un peu le contexte. Octavianne est, au début du roman, un personnage qui m'a un peu fait penser à Arya Stark : elle ne tient pas en place, se montre curieuse de tout, n'entend pas se conformer à son rôle de princesse et est sans cesse en train de ruser pour désobéir aux ordres qu'on lui donne. Seulement, à partir du moment où la jeune fille entame sa fuite, l'auteur ne cesse plus d'insister sur sa beauté (sujet qui n'avait pas été abordé jusque là et qui n'apporte pas grand chose...) et sur les convoitises qu'elle ne manque pas d'attirer.

Et on arrive là au point qui me gêne le plus : absolument TOUS les personnages masculins rencontrés par l'héroïne (à l'exception du vieillard aveugle, notez...) tombent sous son charme. Tous ! Les plus sympathiques se contentent d'un amour platonique, une fois la jeune fille ayant manifesté son désintérêt, mais la grande majorité cherchent à obtenir ce qu'ils veulent par la force. Résultat : notre héroïne manque sans arrêt de se faire violer et ne réchappe à chaque fois que de justesse à la pénétration. Et qu'est ce que c'est énervant ! (pas qu'elle échappe au viol, hein, mais le fait qu'il y en ait un toutes les cinquante pages) L'héroïne n'a en effet pas besoin d'un physique de rêve pour se rendre attachante, et la répétition des scènes d'agression n'apporte strictement rien à l'intrigue et donne une image des rapports homme/femme assez dérangeante. Autre point de crispation (qui n'est finalement pas très éloigné de celui-ci) : la relation entre Octavianne et Adalgis, un hybride mi-homme mi-lion qui va lui servir de protecteur, puis d'amant (je ne vous spoile rien, tout est déjà raconté dans le résumé). Tout au long de la seconde partie du roman, la romance entre les deux personnages prend ainsi totalement le pas sur le reste : la quête de magie de l'héroïne est reléguée à l'arrière plan, et les dangereux poursuivants qui se sont lancés à ses trousses ne sont plus là que pour servir de prétexte au rapprochement des deux tourtereaux. le récit alterne alors pendant plus de deux cent pages entre dispute et réconciliation, dispute et réconciliation... et là encore la répétition finit par lasser le lecteur. Il est d'ailleurs également décevant de voir Octavianne perdre toute indépendance et tout mordant à partir du moment où elle rencontre son homme-lion qui fait crise de jalousie sur crise de jalousie tandis qu'elle abandonne toute combativité et le laisse désormais gérer tout ce qui relève du combat (alors que la jeune fille est tout de même magicienne !)

Hélène P. Mérelle signe avec ce premier tome de « L'automne des magiciens » un roman de fantasy qui se révèle assez divertissant mais qui déçoit par son manque d'originalité ainsi que par la place démesurée accordée à la vie amoureuse de son héroïne (qui perd d'ailleurs de son charme au fil des chapitres). Si l'ensemble est suffisamment bien construit pour maintenir l'intérêt du lecteur éveillé jusqu'au bout, le roman peine donc à convaincre et serait peut-être davantage à réserver aux néophytes qui souhaiterait se familiariser avec le genre grâce à une entrée en matière un peu légère.
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Coucou à tous ! Un peu par hasard, je suis tombée sur ce livre, qui m'a tout de suite intriguée par sa couverture et son résumé alors j'ai décidé de l'acheter... et je suis vraiment déçue ! Même si au niveau de la note par les étoiles ça à l'air plutôt positif, ce livre m'a déplu et je vous explique tout de suite pourquoi.

Le début est pas mal, je suis entrée sans trop de difficultés dans l'histoire, Octavianne est "prise au piège" à cause de Prima, sa soeur qui veut la marier de force à un vieil homme esclavagiste (il faut savoir qu'Octavianne, qui veut dire "8", a 7 autres soeurs appelé Prima pour 1ère, Segunda pour seconde... ect) Bref, l'idée donc de fuir du palais de la jeune fille m'a excitée, j'adore les aventures comme celle-ci ! Mais en fait, Octavianne, qui va prendre le nom d'Iva, se retrouve vite confrontée aux problèmes extérieurs et au lieu, comme je m'y attendais, de s'exiler dans la nature pour faire éclater son pouvoir (REINE DES NEIGES!!!!!!), elle se réfugie chez des maîtres qui lui apprennent la magie très bizarrement et d'une manière plus qu'ennuyeuse ! Pas d'action, juste de l'apprentissage, une histoire de runes...

Lorsqu'elle rencontre Adalgis, l'histoire devient plus intéressante, l'homme-lion étant un personnage intriguant de mystères et prenant Iva (Octavianne) pour une guérisseuse malfaisante. Mais plus l'histoire avance, plus on reprend cette histoire pour moi ennuyeuse de runes...

Prima est morte, c'est donc Segunda qui prend la suite au palais et elle décide de retrouver sa soeur échappée de puis plus de 4 ans pour la faire monter sur le trône mais là encore, on se retrouve avec une histoire de conseillés, d'Etat et c'est vraiment... pénible ! Cependant, on retrouve un personnage auquel je m'étais attachée d'une certaine manière, le capitaine Maurin, l'ancien garde du corps d'Iva, aussi son ancien amoureux ! Lorsque Maurin, à la fin du livre, retrouve Iva qui est maintenant devenue une bonne magicienne ayant perdu toute innocence, il la ramène au palais, elle et Adalgis. Malheureusement, il y a eu une histoire de bataille et l'homme-lion est gravement blessé, alors forcément, à la fin du livre, on a envie de lire la suite, surtout que moi, étant une amatrice de romance, il y a une histoire de concurrence entre Maurin et Adalgis, qui est devenu l'amant d'Iva.


Mais ayant lu le début gratuitement sur Amazon, je ne suis pas du tout captivée et je n'ai pas du tout envie d'acheter un livre qui va de nouveau m'ennuyer et dont je ne vais lire que certain passages comme avec la tome 1. Donc voilà, quelque peu charmée par la série (française en plus !!!) à cause du caractère d'Iva et de ce monde fantastique mais vraiment dégoûtée par cette histoire de magie, développée et expliquée de la façon la plus ennuyeuse et les histoires compliquées des royaumes du pays d'Elgm.

C'était tout pour mon avis!!! A très vite pour de nouveaux commentaires, que j'espère, plus positifs!!!
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L'histoire de L'Automne des magiciens, c'est celle d'Octavianne, princesse du royaume d'Elgem. Dans ce royaume gouverné de reine en reine, l'idée même d'accéder au trône n'a jamais effleuré la princesse. Les règles sont claires : seules les reines sont capables de manipuler la magie. Lorsqu'Octavianne résiste à sa soeur la reine Prima, bien décidée à la marier, son pouvoir magique s'éveille. Cette nuit-là, elle s'enfuit loin de ce mariage forcé et de cette soeur qui n'a que le pouvoir en tête. Octavianne entreprend un long voyage qui la mène dans chaque coin des terres des Neuf-Cités.

J'aime beaucoup l'idée d'une princesse qui fuit sa vie de confort et part à l'aventure. C'est un thème qui peut revenir dans plusieurs histoires de fantasy c'est vrai. Mais ici la jeune femme s'en va dans le but de trouver un maitre magicien qui lui apprendra à se servir de ses pouvoirs. La première partie du roman est centrée la-dessus. Les lecteurs découvrent tout de l'utilisation de cette magie, en même tant que la princesse. C'est très enrichissant. de plus, le contexte géo-politique est assez bien représenté : neuf cités, chacune gouvernée à sa manière. Pour l'une, seules les reines possèdent la magie, dans une autre, seul le duc en est le légat, et dans une autre encore, la religion fait foi et le culte de la Lune est au-dessus de tout. Les paysages sont aussi différents que les manières de gouverner. Cette diversité fait la richesse de ce premier roman, ou plutôt, de cette première partie.

Mais toute cette dimension de l'intrigue est laissée de côté dans la seconde moitié de l'histoire, plus tournée vers la nouvelle relation amoureuse d'Octavianne. Les sentiments prennent alors une place prépondérante et ont pour conséquence de nombreuses longueurs. Certains passages m'ont fait l'impression que nous tournions en rond. S'ajoute à cela, un fait souvent relevé par les autres lecteurs.rices : la princesse Octavianne échappe à de (trop?) nombreuses tentatives de viol et attouchements. Je me demande si cette redondance est pertinente. Je terminerai ce côté plus négatif de ma critique par le résumé. Un conseil : contentez-vous de celui de la quatrième de couverture que j'ai recopié ici. Car sur les sites internet de lecture ou de ventes de livres, le résumé en dit beaucoup trop. Ils vous racontent littéralement tout ce qui se passe d'intéressant dans le roman.

J'ai beaucoup aimé les personnages. À commencer par Octavianne, une princesse farouche et téméraire, qui sait ce qu'elle veut et surtout, ce qu'elle ne veut pas ! Proche du peuple, c'est une jeune femme généreuse et attentive, qui se mouille les mains lorsqu'il le faut. Au départ indépendante et alerte, elle s'adoucira en rencontrant Adalgis. Celui-ci aura une emprise assez réductrice sur elle c'est vrai. Je trouve que le fait de s'être trouvé un protecteur a camouflé son côté débrouillard. Mais je ne doute pas qu'elle le retrouvera dans le second tome, vu la fin du premier ! Quant à Adalgis, c'est un homme-lion similaire aux loups-garous dans cette dualité qu'il vit au quotidien avec le lion en lui. À la différence cependant qu'il ne se transforme pas en lion. Il est un être hybride, mi-homme mi-lion. J'apprécie beaucoup cet effort de l'autrice de nous proposer de nouvelles créatures. J'attends d'en apprendre plus sur lui et ses semblables dans les prochains tomes. À noter également que c'est un personnage en conflit perpétuel avec lui-même, tiraillé entre le désir d'être avec celle qu'il aime et la réalité de leur situation. Par rapport à Adalgis, l'autrice a su nous décrire sans trop de longueurs cette souffrance qu'il éprouve au quotidien. Il est loin de n'être qu'une bête ou un soldat. Il est bien plus.

En conclusion

C'est un premier tome qui introduit parfaitement l'histoire. Il nous propose un nouvel univers de fantasy, avec des personnages dont on voit bien l'évolution au fil des pages. J'attends plus du tome 2 cependant. J'espère que la romance sera plus en retrait et laissera plus de place à la découverte de ce monde qui promet de belles choses.
Lien : http://thewitchlibrary.blogs..
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J'ai failli ne pas acheter La Fugitive (et je n'aurai pas dû).

Au départ, c'est du traitement ultra cliché que j'ai eu peur. La quatrième de couverture nous parlant d'une princesse fuyant un mariage arrangé et se découvrant des pouvoirs magiques. Rien de plus banal en Fantasy, mais, allez, essayons.

Pour être honnête, j'ai trouvé le début presque prometteur, bien que sans originalité. le côté conte d'apprentissage, où l'héroïne cherche à apprendre la magie, marchait plutôt bien. J'avais envie de voir Octavianne se trouver un maître de magie pour continuer.

Puis… Octavianne rencontre son homme-lion, et là, la quête de connaissance passe à l'arrière-plan (mais complètement). le reste n'est plus que scènes de sexe, disputes, réconciliations, crises de jalousie, etc. J'ai eu l'impression désagréable de désormais lire une espèce de fan fiction érotique Kemonomimi (ce truc japonais avec des personnages mi humains mi animaux).

Donc grosse confusion narrative... jusqu'à la débandade finale où un évènement très anticlimactic vient finir de gâcher le tout.

Tout cela ne serait pas complet sans un chouilla de misandrie : aucun des hommes de la Fugitive n'est capable de contrôler son désir irrépressible de coucher avec l'héroïne. Mais genre, vraiment irrépressible. Incontrôlable. TOUS. Donc le livre est constellé d'attouchements et de tentatives de viols à répétition, parfois graphiques. L'ensemble en est fatiguant et irréaliste, et m'a complètement fait perdre pied au bout d'un moment. (Pour des romans traitant du thème de la violence sexuelle de manière plus intelligente, voir à la fin de l'article du blog.)

Ah et pour finir : la quatrième de couverture spoile l'entièreté du roman. Enjoy.
Lien : https://www.thefrenchreader...
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Première lecture de l'année 2020, et je commence avec de la Fantasy : La fugitive, premier tome de la trilogie L'Automne des Magiciens, de Hélène P. Mérelle et Bragelonne, avec une magnifique couverture de la talentueuse Magali Villeneuve.

Nous y rencontrons Octavianne, huitième princesse d'Elgem dont sa soeur aînée, la reine, souhaite la marier de force à un vieil esclavagiste par pur intérêt politique. Révoltée, éprise de liberté, Octavianne se rebelle mais se fait écraser par le pouvoir de domination de sa soeur, magie qui ne s'éveille que chez celle qui doit régner.

Cependant, Octavianne apprend qu'elle aussi possède un don magique, et elle décide de s'enfuir autant pour échapper à son mariage que pour chercher à obtenir plus de pouvoir et, un jour, avoir la force de contrer sa soeur. Nous suivons donc la princesse fugitive dans son parcours à travers plusieurs contrées qui nous permettent de découvrir l'univers de l'auteure.

J'ai justement apprécié cet univers, les ambiances différentes et le rapport à la magie de chaque lieu visité. Pour un premier tome, nous voyageons déjà beaucoup et la carte permet de voir le parcours d'Octavianne.

Concernant les personnages, j'ai apprécié le caractère rebelle d'Octavianne et sa détermination à ne pas se soumettre à son impitoyable soeur. J'ai aussi apprécié Uldarick, Gungor et Adalgis dont je ne parlerais pas plus pour éviter le spoil.

Le seul bémol est le côté romance, ainsi que l'attirance irrésistible d'Octavianne sur toute la gent masculine : tous la désirent, et si certains se contrôlent, plusieurs n'ont pas cette délicatesse. Après, je sais que je ne suis pas fan de romance, alors je ne vais pas insister sur ce point, si ça se trouve, ce n'est pas si dérangeant.

Il n'empêche que c'était une bonne lecture, qui commence bien mon année littéraire, et je compte bien continuer la trilogie pour voir ce que devient Octavianne.
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Citations et extraits (4) Ajouter une citation
Le cheminement vers la vérité en apprend davantage aux hommes que la solution de l'énigme elle-même. (p.361)
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La magie corrompt, grogna-t-il. Comme les richesses, comme les couronnes. Tout humain qui se découvre un pouvoir cherche à l'accroître et en abuser. (p. 198)
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Ignorer le premier avertissement de la Lune, c'est une erreur.
Ignorer le deuxième, c'est une faute.
Proverbe des Neuf-Cités (p.566 Edition de Noyelles, France Loisirs)
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Rappelle-toi que la détermination doit vaincre l'émotion, pas l'inverse ! (p.103)
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Vidéo de Hélène P. Mérelle
Interview de Hélène P. Mérelle par Estelle Hamelin pour Actusf lors des Imaginales 2019.
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