Lu dans le cadre du club de lecture d'Antastesia pour le mois de juin, je suis ravie d'avoir redécouvert le mythe de Don Juan à travers les yeux d'un auteur aussi accessible que peut l'être
Prosper Mérimée.
Ce dernier s'est en effet inspiré pour sa nouvelle d'un personnage historique, Don Juan de Maraña, contrairement à la majorité des auteurs ayant écrit sur Don Juan.
L'auteur offre au personnage de Don Juan une fin plus "convenable", plus politiquement (et surtout religieusement) correcte.
L'écriture de
Prosper Mérimée est limpide, son style assez direct, assez avare en descriptions et développements.
Même si j'ai passé un agréable (et très court) moment de lecture, j'ai tout de même préféré les autres
nouvelles de l'auteur que j'ai lu précédemment :
Carmen et
La Vénus d'Ille, plus originales.