Les muses

M y s t i q u e & inquiétant … 🎭
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Mariana met sa vie entre parenthèses lorsque sa nièce Zoé l'appelle à l'aide. À Cambridge, dans l'école de Zoé, une de ses amies vient d'être retrouvée sauvagement assassinée. « Les Muses », un petit groupe d'étudiantes, semblent être la cible du tueur. Mariana, psychothérapeute, décide de mener sa propre enquête sur ces terres qu'elle connaît si bien.
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Voilà un thriller que j'ai apprécié découvrir ! J'ai pris mon temps, et j'ai suspecté les mauvaises personnes (comme d'habitude !). J'étais tellement sûre de moi quant à la personne que je suspectais d'être le tueur, et en fait, rien à voir ! Pour le coup, la fin était inattendue !
On nous fait voyager dans une école typiquement britannique (perso, je visualisais un peu ça comme Poudlard 🤪) avec les grands parcs autour du château, et les dortoirs dans les tours. A cela, on ajoute une atmosphère angoissante et une touche d'histoire, la mythologie grecque étant bien présente tout au long de l'histoire !
C'est un huis clos (sans vraiment l'être), c'est annoncé comme un thriller psychologique (mais pas tout à fait), mais surtout, ça se lit tout seul !
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Je ressors de cette lecture extrêmement satisfaite, mais aussi surprise (vraiment, je ne m'attendais pas à ce dénouement), on peut dire que l'auteur joue vraiment avec ses lecteurs et ça me donne terriblement envie de lire son précédent dont je n'ai entendu que du bien !
Bref, obviously, je recommande !

Deuxième volume pour l'auteur et deuxième réussite à mes yeux même si je rajoute un bémol parce que je me suis dit que la fin semblait avoir été quelque peu précipitée.

Le lecteur est transporté d'une île grecque où passer quelques jours de vacances au milieu universitaire pour la reprise des choses sérieuses :-)

L'enquête sur le meurtre est menée avec application par Mariana même si ce n'est pas son rôle et l'auteur aime à perdre le lecteur dans des pistes qui se révèlent être des portes à fermer même si parfois le doute persiste et est encouragé, jusqu'à l'aboutissement final qui, comme mentionné plus haut, m'a semblé un peu trop invraisemblable et comme précipité par rapport au rythme de l'histoire.

Ceci dit, j'ai eu beaucoup de plaisir à me plonger dans cette enquête et je n'hésiterai pas à lire le prochain volume de l'auteur.

Mariana est psychothérapeute à Londres. Depuis le décès de Sebastian, son époux, elle ne voit plus « monde en couleurs ». (P. 17). Cela fait un an qu'il s'est noyé et elle culpabilise. C'est elle qui a souhaité qu'ils passent des vacances en Grèce, là où elle a passé son enfance. Alors qu'elle pense à lui avec douleur, elle reçoit un appel de Zoé, sa nièce, étudiante à Cambridge. Un corps a été découvert et la jeune fille est persuadée qu'il s'agit de son amie Tara, que personne n'a vue depuis la veille. Ses craintes sont fondées sur la description de la fille retrouvée et sur l'étrangeté du comportement de Tara, le soir précédent. Mariana s'empresse de rejoindre le campus.


A son arrivée, Zoé l'informe de ses soupçons : Tara avait peur d'Edward Fosca, un professeur de grec ancien. Très vite, Mariana partage cette conviction. Elle le sent dans son corps : l'enseignant est le meurtrier. Elle doit agir, car une autre étudiante est assassinée ; comme Tara, elle était proche de Fosca et elle faisait partie de son cercle privé. Certaines jeunes filles entretiennent des relations privilégiées avec lui et se surnomment elles-mêmes « les Muses ». La thérapeute est déterminée à prouver que le bel enseignant est coupable et elle ne cache pas ses intentions.


J'avais beaucoup d'attentes au sujet de ce thriller. En effet, Dans son silence avait été un énorme coup de coeur pour moi. Aussi, même si le début de ce deuxième roman m'a paru lent, j'étais persuadée que j'allais être éblouie et que le rythme allait s'accélérer. La première partie relate la vie de Mariana, son deuil difficile, ses activités de thérapeute de groupe et ses liens avec Zoé. Ensuite, Les Muses prend une dimension plus oppressante, lorsqu'elle décide de démasquer Edward Fosca. Les cours de tragédie grecque et les investigations de Mariana se confondent, les attitudes du professeur, ainsi que ses relations avec « les Muses », sont entourées d'un voile mystérieux. Pourtant, des faits ne parvenaient pas à s'insérer dans cette pièce dramatique et mes doutes s'éparpillaient dans plusieurs directions. J'appréciais ma lecture et j'attendais ce moment qui me ferait basculer dans un plaisir plus grand. J'espérais cette claque reçue par le premier livre de l'auteur. J'ai compris, très tardivement, le noeud de l'intrigue, aussi, je peux affirmer qu'Alex Michaelides est parvenu à me manipuler. Hélas, alors que j'espérais être scotchée, la fin m'a laissée dubitative : je n'ai pas été convaincue par le mobile des crimes.


J'avais tellement adoré Dans son silence que ma lecture a souffert des attentes que j'ai projetées. Je pense que Les Muses est un bon suspense psychologique, mais je n'ai pas ressenti cette jubilation que le précédent opus m'avait provoquée, aussi, je me sens déçue.


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Dès la première phrase, j'ai été happé par le roman et j'ai senti que j'allais le lire d'une traite. Et effectivement, tout comme son précédent, je ne l'ai pas lâché. Il faut dire qu'un roman qui allie psychologie, littérature et mythologie, c'est fait pour moi ! En plus les citations de Tennyson sont pour moi un enchantement.
Dans le cadre prestigieux de Cambridge, le calme est loin de régner. Mariana, qui ne se remet pas du décès de l'amour de sa vie, va faire l'effort de se rendre à Cambridge, ville dans laquelle elle a été étudiante, pour soutenir sa nièce qui est très affectée par le meurtre de sa meilleure amie. Et une fois sur place, la psychothérapeute qu'elle est va se muer en enquêtrice
Avec elle nous allons visiter – ou revisiter – non seulement la belle ville de Cambridge, mais encore la mythologie grecque, les tragédies grecques.
Un petit bémol toutefois. Même si le personnage de Mariana est attachant, elle m'a légèrement tapé sur les nerfs avec ses états d'âme..
Contrairement à son premier livre « Dans son silence » je n'ai pas du attendre la fin pour comprendre qui était le coupable. Par contre je n'avais pas compris le pourquoi…
Mais j'ai trouvé la combinaison tragédie grecque – thriller psychiatrique intéressante et je vais continuer à suivre cet auteur

Bonsoir les amis ,
J'ai lu , il y a peu Dans son silence de Alexis Michaelides. Vous m'avez conseillé de lire Les muses , ce que je viens de faire. Mais quel régal ! Ce deuxième roman , que je lis , de cet auteur est différent , entre rêve et réalité. Ce roman à la tragédie grecque est si bien construit ! Mariana est prise au piège : héroïne principale , autour de laquelle , va tout se jouer : Les Muses , Sébastian , Zoé et bien d'autres. le suspect numéro un , le professeur de grec Edward Fonca , l'ancien professeur de Mariana. Tous les feux sont au vert mais Alexis Michaelides est beaucoup plus retors ! pour découvrir une fin inattendue.
J'attends avec impatience vos retours !

Voilà un petit moment que je souhaitais lire ce livre, en partie pour sa couverture et ses références à la mythologie (il me faut peu 😂).

Malheureusement je n'ai pas du tout été envoutée par ce roman. le début a été extrêmement long, c'est très mélodramatique et c'est traité avec une certaine lourdeur, j'ai vraiment dû attendre la 3eme partie pour m'y intéresser vraiment. le style d'écriture ne m'a pas non plus vraiment transporté, j'ai trouvé que certaines descriptions étaient là pour combler un certain vide. Je n'ai pas forcément non plus accroché à l'intrigue qui a mes yeux n'avait pas grand chose d'original mais, on va dire que le rythme était assez prenant. La description de la psychologie est a levé les yeux aux ciels, non les psychologues ne lisent pas dans les pensées, fort heureusement. Pour la fin, je suis assez mal à l'aise, j'ai vraiment l'impression que quelque chose clochait qu'il y avait une certaine incohérence.

Concernant les personnages, Marianna était totalement exaspérante, une bonne thérapie n'aurait pas fait de mal. de plus elle sert mensonge sur mensonge, en se mettant dans des situations totalement hurluberluesque et je comprends même pas comment ça passe avec les autres personnages… le petit rafraîchissement de ce livre est clairement Fred, le seul personnage qui n'est pas s'iriser les poils de la nuque.

Pour conclure, un livre qui ne m'a pas forcément transporté et qui m'a même un peu exaspéré. Cependant, le rythme reste assez prenant.

72//2023

Pour cette ultime lecture de l'année malheureusement cet auteur n'aura pas réussi à maintenir l'excellent niveau de son premier roman, Dans son silence :/

Passage souvent risqué et souvent raté, le second roman après un tube est un exercice casse-gueule comme le dit l'auteur dans ses remerciements de fin d'ouvrage.

Et bien ici on a tout simplement affaire à un thriller de série B, avec peu ou pas de suspense, peu ou pas de rebondissements, une héroïne peu attachante, un scénario vu et mille fois vu, bref pas grand chose de réjouissant si l'on compare avec le premier roman qui était une réussite.

Alors oui la thématique de l'Antiquité et des divinités apporte un fond "culturel" intéressant. Oui comme dans son premier livre l'auteur apporte des connaissances pertinentes sur la psychologie au sens large. Mais pour le reste que de longueurs et que de grosses ficelles tirées (les suspects sont caricaturaux, les scènes d'action frissons sont ratées et l'héroïne s'en sort toujours, son passé trouble va venir jouer un rôle dans le présent...).

Vraiment dommage pour cette seconde proposition car l'auteur a un talent indéniable et il y avait ici matière à produire un thriller de meilleure facture...

J'ai beaucoup aimé l'ambiance de ce roman qui se déroule sur le Campus de Cambridge et l'enquête. J'ai trouvé les chapitres courts très addictifs et j'ai dévoré le roman ! J'avais pressenti une partie de la fin, et j'ai trouvé la révélation spectaculaire mais trop tirée par les cheveux. J'ai aussi été mitigée par certains points comme Mariana qui ne semble pas être une therapiste très compétente et dont l'enquête fonctionne plus par chance (comme par hasard tout le monde accepte de discuter avec elle des meurtres...), certaines réflexions sur le fait qu'un tueur le devient forcément à cause d'un manque d'amour dans l'enfance ou le comportement des hommes pour qui la notion de consentement semble inconnue.

Le lecteur se perd avec crainte et délice dans le labyrinthe de l'université de Cambridge.
Allusions à des tragédies grecques, ambiance étudiante, vieux bâtiments aux passages étroits et sombres, petits cafés et traditions séculaires ainsi que des références à des techniques de thérapie de groupe sont les excellents ingrédients de ce thriller psychologique en huis clos.
Mariana, une psychothérapeute encore très fragile suite à la mort accidentelle de son mari, est plongée dans une enquête malgré elle. Elle quitte Londres pour répondre à l'appel de sa nièce Zoé. Tara, une étudiante, est retrouvée morte. Mariana n'aura de cesse de prouver la culpabilité d'Edward Fosca, le professeur de grec ancien de sa nièce. Arrivera-t-elle à faire arrêter le coupable ?
Une fin surprenante pour une lecture passionnante.
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Pour être honnête, l'intrigue ne m'a pas spécialement emballée au début : elle est plutôt commune, un meurtre au campus, une secte d'ados, tout ça... L'intrigue est, en plus, assez longue à se mettre en place ; il y a beaucoup de descriptions / explications qui peuvent vite ennuyer mais qui vont se révéler, finalement, essentielles au fur et à mesure de la lecture.

Bien que commune, cette histoire est grandement menée : du suspense, des rebondissements... Mariane, le personnage principal, est une psychothérapeute que la vie n'a pas épargnée : son mari est mort noyé, sa soeur et son mari sont décédés, la laissant tutrice de Zoé, sa nièce... Lorsque celle-ci l'appelle à l'aide, elle n'a pas d'autre choix que de lui porter secours.

Personnellement, j'ai dévoré cette lecture sans pause ; j'étais vraiment prise dans cette intrigue que j'ai trouvé excellente dès les premières pages, jusqu'au dénouement. de nombreux personnages suspects se succèdent (même si ceux qui sont finalement écartés n'auront pas eu d'autre utilité). J'avais, pour ma part, prédit un peu le coupable, mais pas ses motivations ! de fait, je trouve la fin vraiment excellente, et surprenante.