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3,47

sur 296 notes
Psychothérapeute à Londres, Mariana est fortement secouée par un appel de sa nièce Zoé qui l'appelle à l'aide. Elle sait la jeune fille fragile et se doit d'aller la rejoindre mais pour cela il va falloir retourner à Cambridge.
Cambridge qui l'a éblouie lorsque, jeune étudiante, elle débarquait de sa Grèce natale, apeurée et timide.
Cambridge où elle a rencontré Sebastian, l'homme de sa vie, son mari mort noyé à Naxos il y a à peine plus d'un an.
Cambridge qui lui rappelle tant de bons souvenirs.
Mais Zoé est en danger. Sa meilleure amie vient d'être assassinée et elle soupçonne Edward Fosca, le charismatique professeur de grec ancien d'être le meurtrier.
Alors Mariana revient sur les lieux de son amour perdu et décide de mener sa propre enquête afin de démasquer Fosca, assez imbu de lui-même pour s'entourer d'un groupe de jeunes filles belles à tomber qu'il appelle Les Muses. Fosca est un adversaire redoutable mais Mariana est prête à tout pour dévoiler sa vraie nature.

Après le fabuleux Dans son silence, ce deuxième roman d'Alex Michaelides ne tient pas ses promesses.
Le style est proche de celui de Mary Higgins Clark dans ses plus mauvais jours. L'intrigue mêle artificiellement mythologie grecque et thérapie de groupe. La trame narrative reprend celle de Dans son silence. L'héroïne, Mariana, peine à susciter l'empathie. Et le renversement de situation final est peu crédible.
Bref, plus de 400 pages de lamentations de cette chère Mariana qui tente de résoudre divers problèmes alors qu'elle-même en est bardée, entre une enfance malheureuse, la perte inacceptable de son mari, son sentiment de culpabilité, son manque de confiance en soi, etc. Malgré tout, elle se lance dans une enquête qui la dépasse, soupçonne tout le monde autour d'elle et semble oublier au passage toute l'expérience acquise en tant que psychothérapeute. Une terrible déception.
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Mariana, trentenaire londonienne d'origine grecque, a "un peu" une vie de m3rde : veuve depuis un an, elle reste inconsolable et se sent coupable de la disparition de son cher époux. Psychothérapeute, elle travaille avec des groupes, et l'un de ses patients, assez flippant, perturbe les autres et se montre trop dépendant d'elle.
Déjà, vu comme ça, personne ne veut prendre sa place.
Mais après le coup de fil de Zoé... tous aux abris !

Je suis bon public s'il y a un(e) psy dans un thriller, avec des morceaux de journal intime d'un "barjot" (aussi effrayant qu'émouvant).
Ici, le décor façon Poudlard sent la poussière des vieux bouquins et l'encaustique des meubles patinés. L'ambiance universitaire so british avec un mystérieux prof bien entouré et moult références à des tragédies antiques est parfaite pour flipper.
J'ai donc dévoré cet ouvrage que j'avais hâte de découvrir après 'Dans son silence' du même auteur.

Une fois ma curiosité assouvie, je trouve des défauts (longueurs, grosses ficelles et invraisemblances), mais je suis quand même tentée par la suite annoncée par ces derniers mots :
« Puis X tendit la main, saisit la poignée.
Et entra. »
Et que vit X ?
Souhaitons que le prochain opus réponde aux questions restées en suspens et dissipe les incohérences.
Pour la crédibilité, j'espère mieux.
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Je découvre Alex Michaelides avec ce roman et je dois dire qu'il a su conquérir mon coeur de lectrice. J'avais précommandé ce roman bien avant sa sortie et en plus il faisait partie de la sélection "book of the month", autant dire que j'avais donc très envie de le découvrir.

Mariana est psychologue et sa vie est bien réglée mais a trente-six ans, elle peine à se remettre du décès de son mari, il y a un an. Et puis, un jour elle reçoit un appel de sa nièce, étudiante à Cambridge, qui lui annonce qu'une de ses amies a été sauvagement assassinée. Mariana se rend sur place pour soutenir Zoé mais elle décide aussi d'enquêter de son côté.

J'ai vraiment adoré l'enquête où dès les premières pages Mariana, nous fait le récit de son intime conviction concernant le coupable. Et au fil du récit, l'auteur nous fait douter. Est-ce qu'il s'agit du vrai coupable qui agit avec brio pour toujours passer entre les mailles du filet ou bien Mariana est-elle obstiné et décidé à faire de lui le coupable ?

L'intrigue est bien menée et j'ai beaucoup aimé découvrir Cambridge et le milieu universitaire, ses codes et son fonctionnement. J'ai adoré les descriptions des cours de littératures et plus précisément les tragédies grecques. L'auteur insère même des passages en grec ancien, écriture que je trouve absolument magnifique.

Les personnages sont attachants surtout Mariana dans laquelle, je me suis beaucoup reconnue. Elle m'a touché par son travail de deuil et son activité de psychologue. Autour d'elle gravitent d'autres personnages qui m'ont beaucoup plu également comme Clarissa par exemple.

Pour finir, je dirai que c'est une chouette découverte que je ne peux que vous recommandez.
Lien : https://missmolko1.blogspot...
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Aïe aïe aïe…
J'avais découvert Alex Michaelides avec Dans son silence que j'avais adoré. J'avais d'ailleurs indiqué dans ma critique de l'époque avec quelle impatience j'attendais la confirmation du talent de cet auteur. Ce ne sera malheureusement pas avec Les muses

Ce thriller psychologique met en scène une psychothérapeute, Mariana, une praticienne en psychologie de groupe qui officie à Londres. Toute à sa peine d'avoir récemment perdu son compagnon par noyade, elle est appelée à l'aide par sa nièce Zoé, étudiante sur le campus de Cambridge. Une jeune fille de sa promotion vient en effet d'y être assassinée…
Surmontant ses appréhensions et la crainte d'être submergée par ses souvenirs d'une époque bénie où elle nageait dans le bonheur avec son futur époux dans ce même campus, Mariana décide cependant de retourner sur ces lieux connus. Elle y retrouve sa nièce au 36ᵉ dessous et, pour faire taire ses inquiétudes, finit par prendre part à l'enquête.
Et la voilà enchevêtrée dans une initiative dont elle finit par perdre la maîtrise et qui va lui apprendre combien sombres peuvent être les coulisses du « théâtre » universitaire...

Il y avait là pour moi toutes les promesses d'un bon thriller psychologique : mythologie et tragédies grecques, psychologie, sérial killer… mais je n'ai pas été conquise. Ni par l'intrigue dont les grossières ficelles me sont apparues bien trop tôt, ni par l'écriture en elle-même beaucoup trop simpliste. L'explication, j'ai le sentiment qu'Alex Michaelides la donne lui-même dans ses remerciements : le romancier reste marqué du succès incroyable de son précédent opus et comme entravé d'une énorme pression pour l'écriture du second, écrit de plus en grande partie pendant l'épidémie du Covid-19.
Voilà qui explique sans doute mon avis très mitigé...

Allez Alex ! On se détend et on se lâche sur le troisième !

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Alex Michaelides a fait une entrée remarquée dans le thriller psychologique en février 2019 avec « Dans son silence » (voir le lien vers ma chronique en fin d'article). Quand un roman obtient un tel succès, il n'est pas facile de relever le challenge une seconde fois, en proposant, à nouveau, un thriller psychologique. « Les Muses » met en scène une psychothérapeute, Mariana, appelée au secours de sa nièce étudiante à Cambridge. le cadavre d'une jeune fille sévèrement mutilée a été retrouvé près de l'école. Mariana, très fragile psychologiquement, puisqu'elle vient de perdre son mari mort noyé lors de leurs vacances, décide de se rendre à Cambridge pour soutenir sa nièce Zoé. D'origine grecque, elle rencontre sur le campus un professeur qui enseigne le grec ancien. Ce dernier, très charismatique, intrigue Mariana. Lorsqu'elle apprend qu'il a créé un groupe appelé les Muses, assemblage d'étudiantes triées sur le volet, en adoration devant le mâle savant auquel il donne des cours privés, elle le place immédiatement dans la liste des suspects. Quand un second cadavre est retrouvé, le doute n'est plus permis : Edward Fosca est le coupable qu'il faut parvenir à démasquer.

Avant de vous dire ce que j'ai réellement pensé de ce second opus, je voudrais redire ici qu'un avis de lecture est personnel et que ce qui fonctionne avec les uns ne fonctionnera peut-être pas avec les autres. À mon sens, et c'est mon avis, que vous pourrez confirmer ou infirmer, le schéma narratif choisi est exactement le même que celui de « Dans son silence ». Pour les gros lecteurs de ce genre d'ouvrages, suspicieux dès le départ, intuitifs ou à la recherche de tous les indices que laisse l'auteur, appelez ça comme vous voudrez, les ficelles de l'intrigue sont rapidement dénouées. Ainsi, aux environs du premier quart, j'ai échafaudé une esquisse de scénario. Même si je ne savais pas pourquoi ni comment, mes pronostics se sont révélés exacts. Il aura donc fallu terminer ces 372 pages pour comprendre le tissage de l'histoire, alors que j'avais depuis longtemps répondu à la question qui ? Il faut dire que certaines « incohérences », et/ou « insistances » m'avaient mis la puce à l'oreille, grâce ou à cause de la construction de « Dans son silence ». Que dire de la fin sans être trop grinçante ? Nous sommes en plein psychodrame lors d'une scène tellement téléphonée que le pire des cinéastes ne s'y risquerait pas : vive les lieux communs bien commodes et sans ambition où le lecteur exaspéré est abandonné sur le bord du chemin avec ses questions laissées sans réponses. Comme je vous l'ai dit plus haut, je savais qui, mais pas pourquoi… L'explication finale n'est pas piquée des vers, accrochez-vous. le plan déroulé est un non-sens total. Je ne peux pas développer ici mon argumentation, mais en gros, le roman se finit en queue de poisson, avec deux références à « Dans son silence » qui ne peuvent pas parler à ceux qui ne l'ont pas lu. Pour mémoire, Mariana est psychothérapeute. Dites-moi si vous avez l'impression qu'elle a fait son boulot dans cette fin ? Ça, c'était pour la trame, ce n'est pas fini.

« Les Muses » mêle psychologie et mythologie. L'idée est intéressante, mais il manque un supplément d'âme pour y croire tout à fait. Elle aurait pu passionner si l'écriture avait suivi… Malheureusement, le style est ampoulé, ronflant et très/trop théâtral. Certes, j'ai appris des choses (mes connaissances en mythologie sont faibles), mais j'ai eu un peu l'impression qu'on me les rentrait dans le crâne à coup de massue. Et les dialogues alors ? Pompeux, ennuyeux, sans saveur et tout sauf naturels. (c'est véritablement là que réside le problème) C'est précisément ce manque de naturel qui m'a posé problème chez Mariana, ou plus tard chez Zoé. Comme si, les réflexions que se font les personnages féminins sont à des années-lumière de ce que pense une femme saine d'esprit. J'ajoute qu'il y a dans ce livre des idées très dérangeantes du type : démontrer une corrélation entre intelligence et traumatisme « Pourtant, en dépit de tous ces traumatismes, Henry était doté d'une intelligence remarquable et pendant un moment il avait semblé qu'elle suffirait à le sauver. » Puis, plus gênant, affirmer que les psychopathes se créent dans l'enfance à cause de divers traumatismes, d'un manque d'amour ou de la perte d'un parent est assez limite. (Je dois être une psychopathe refoulée !) Enfin, le traitement d'une thématique précise à la fin est très très malaisante.

D'une manière générale, je n'ai ressenti aucune empathie envers les personnages. Mariana a de sacrés problèmes non résolus avec elle-même. de plus, sa « crainte » mainte fois évoquée à l'égard de la gent masculine démontre un sérieux problème mental. C'est bien simple, elle suspecte TOUS les hommes qu'elle rencontre d'être des serials killers en puissance. du coup, je remets totalement en cause la façon dont elle exerce son métier, et, forcément sa crédibilité.

Je m'arrête là même si j'avais encore beaucoup de choses à dire. Je vous invite à vous faire votre propre opinion et aussi à lire le premier ouvrage de l'auteur qui était tout à fait jubilatoire.

Lien : https://aude-bouquine.com/20..
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Autant j'avais apprécié le premier roman d'Alex Michaelides, Dans son silence, autant celui-ci, Les Muses, me laisse tout ce qu'il y a de plus dubitative. Les thèmes en soi me semblaient prometteurs : des meurtres qui se passent à la célèbre Université de Cambridge, des références à la mythologie grecque et au domaine de la psychothérapie, un personnage principal éprouvé par le deuil… Et pourtant, j'ai bien failli l'abandonner après le premier tiers, tant j'avais de la difficulté à m'attacher aux personnages, en particulier à Mariana, archétypaux lorsqu'ils ne sont pas carrément caricaturaux. J'ai trouvé le tout inégal, avec des phrases qui cassent le rythme (« Son regard était vraiment glacé, comme celui d'un reptile monstrueux. » (p. 233), ou « Elle se sentait comme un lapin pris dans les phares d'une voiture. » (p. 236), les deux dans la même scène) et une fin alambiquée à laquelle je n'aurais jamais pu m'attendre. Et que dire du clin d'oeil un peu racoleur à Theo Faber, le personnage principal du premier roman, qui fait une brève mais significative incursion, assez entourloupée. Un roman que j'aurais voulu aimer.

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J'ai vu beaucoup d'avis très élogieux sur le précédent livre de l'auteur que je n'ai toujours pas lu, mais j'avoue que le titre ainsi que la couverture de celui-ci m'a encore plus intriguée, j'ai donc emprunté celui-ci.

Et je n'ai pas été déçue il y a ici vraiment tous les ingrédients pour que ce récit se dévore.

J'ai aimé suivre le personnage de Mariana qui est thérapeute de groupe, celui-ci a vraiment un passé plus que douloureux jalonné de nombreuses perte tout d'abord sa mère quand elle était très jeune et plus récemment son mari.

Elle est la tutrice de sa nièce Zoé, celle-ci la contacte car une de ses amies a été assassinée, Mariana va donc mener l'enquête quand à ce meurtre et rapidement elle va trouver un lien avec un des professeurs de sa nièce Zoé. En effet celui-ci semble entourée d'un groupe de jeunes femmes qu'il nomme "Les muses".

D'autres meurtres vont s'enchainer et les étudiantes ciblées font toujours partie de ce fameux groupe.

J'ai tellement aimé cette ambiance de théâtre ou de tragédie grecque que l'auteur distille au fil du récit, rappelant par moment la mythologie grecque, j'ai tellement aimé cette plume un récit que je n'ai pas pu lâcher de mon côté.

Les souvenirs de Mariana nous emmenant également en Grèce, une fin quasiment impossible à déceler, un récit que j'ai vraiment adoré de bout en bout, il n'est pas passé loin du coup de coeur, cela pour moi est dû au faible nombre de pages du récit qui ne permettent pas à mon sens de décrire plus la psychologie des personnages qui ne sont pas assez étoffés à mon goût.
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Mariana, thérapeute londonienne d'origine grecque, est une femme en plein deuil. Son mari, Sébastian, est décédé à la suite d'une noyade et elle se sent profondément coupable. Déjà très occupée par ses patients en thérapie de groupe, elle reçoit un appel inquiétant de sa nièce Zoé, étudiante à Cambridge au sujet d'une amie, Tara, retrouvée sauvagement assassinée. Notre thérapeute se rend donc immédiatement dans cette ville étudiante, qu'elle a elle-même connu par le passé. Arrivée sur place, son enquête commence, rythmée par des rencontres et des interrogations concernant un groupe d'etudiantes, les Muses. Ces dernières sont les favorites du non moins narcissique professeur Edward Fosca, qui enseigne la tragédie grecque à l'Université.
Mariana va aller de surprise en surprise et tout ce qu'elle croyait connaître va être remis en cause.
Sans spoiler le rester de l'intrigue, je m'attarderai un peu sur les personnages principaux dont certains m'ont à la fois déconcertée, fascinée et irritée.
A propos de Mariana, je n'ajouterai pas grand-chose, si ce n'est qu'elle est avant tout thérapeute et que son but est de comprendre les autres alors qu'elle ne connaît pas certaines personnes de son propre passé. C'est, du moins, ce que j'ai ressenti. Elle reste égale à elle-même et authentique.
Edward Fosca et ses Muses, là, on rentre davantage dans le vif du sujet. D'origine américaine, il semble dégager un certain charisme et aime en jouer, surtout lors de ses cours et conférences. Les Muses, jeunes étudiantes issues de classes sociales élevées, savent également tirer parti de leurs avantages.
Fred, étudiant en mathématiques, ne peut s'empêcher de draguer Mariana après l'avoir croisé dans le train la menant à Cambridge. Il est persuadé qu'il l'épousera un jour et veut tout faire pour l'aider. Ok...
Zoé, la nièce de notre thérapeute, est assez étrange je dirais.. je ne rajouterai rien d'autre à son sujet même si je dois avouer que je n'ai pas accroché au personnage en lui-même, jusqu'au final....
La lecture de ce roman fut très agréable et le récit nous tient en haleine jusqu'à la fin.
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« Les muses » ou plutôt « La malédiction du roman d'après » ! A sa décharge, Alex Michaelides avait mis la barre très haute avec son premier roman « Sous son silence » et celui-ci n'est malheureusement pas du même niveau.

Tout d'abord pour que vous ne fassiez pas la même erreur que moi, il ne faut pas lire la quatrième de couverture qui dévoile la moitié du roman. le rythme est lent et lorsqu'on connaît les événements à venir, autant dire que la lecture en devient vite fastidieuse.

Pour ne rien spolier, Mariana rejoint sa nièce à son université où l'une de ses camarades a été sauvagement assassinée. Ensuite, au fil des pages, on découvre son histoire et sa quête de découverte du meurtrier.

De nombreuses similitudes avec son roman précédent : la fragilité psychologique, le fait d'épier derrière les arbres et un petit clin d'oeil à la fin.
Des points communs avec sa biographie : la psychanalyse, la Grèce, l'Angleterre.

J'ai trouvé le sujet plat, les personnages caricaturaux et les indices distillés sans finesse. C'est long et la fin est décevante.

Mais je ne doute pas de son talent et J'attends donc son prochain roman avec impatience !
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Alex Michaelides m'avait captivé et scotché avec son premier livre
"Dans son silence" .
Aussi me suis-je précipité sur "Les muses" dès que je l'ai vu en librairie mais malheureusement , je n'ai pas été du tout embarqué par cette intrigue qui mêle , lourdement à mon goût , mythologie et psychologie .
Je n'ai pas trouvé Mariana , le personnage principal , très attachante
et je n'ai pas été captivé par l'histoire... presque ennuyeuse par moments !
J'ai été heureux d'arriver à la fin .
En résumé ... déception !
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