Je suis totalement passé à côté de cette pseudo démonstration de 'je sais écrire '. Une pédanterie sémantique qui n'a ni queue ni tête. ce livre n'est pas pour moi. Je me suis rarement autant ennuyé. J'en veux pour preuve : 5 soirs pour lire 140 pages!!
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Rien compris. Une histoire de tableaux des onze datant de 1760. Les bords de Loire. Peut-être trop érudit pour moi ? ! Je vais quand même tenter un autre roman du même auteur quand le cerveau sera un peu reposé
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Je suis passé totalement à coté … et pourtant j'aime la peinture, j'aime la belle écriture, donc j'aurais dû, comme beaucoup de lecteurs aimer ce livre.
Mais non ! Je n'ai aimé ni le style littéraire, usant et abusant de mots et de formules " précieuses" ( j'ai appris de nouveaux mots, que personne n'utilise, comme " anacréonisme", "difficultueusement" … )
Je ne suis pas rentré du tout dans l'histoire.
Bref, je pense que j'ai manqué de concentration ou de culture… au choix !
Je retenterai ma chance néanmoins une autre fois , car cet hermétisme absolu m'étonne.
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Pierre Michon sait écrite et maîtrise parfaitement la langue française.
Cela suffit-il ? Beaucoup de redondances, des digressions à n'en plus finir sur les bords de Loire, des phrases alanguies (n'est pas Proust qui veut !)...
A quoi cela mène le lecteur ? A une affabulation ? à une réflexion sur le statut de la vérité ?
Comme l'écrit ici un critique, le sujet du livre c'est bien Pierre Michon : regardez comme je maîtrise non seulement la langue et que j'en joue, mais aussi le réel historique !
"Les vies minuscules" m'avaient également agacées de la même façon ; comme on est loin de l'humilité de Marie-Hélène Lafon (dans "Joseph" par exemple).
Je crois que c'est le dernier Michon que j'ouvirai...
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Je n'ai pas aimé, récit pénible
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Incompréhensible ! Les phrases ne sont qu'un ramassis de mots collés les uns aux autres et n'ont aucun sens. Heureusement que j'avais emprunté ce livre à la bibliothèque, je n'ai rien regretté.
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