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4,13

sur 3997 notes

Critiques filtrées sur 2 étoiles  
Je ne connaissais pas cet auteur, j'ai tenté j'ai pas lu les 10 dernières pages car trop lourd en description, trop long et pourtant je suis une lectrice qui a l'habitude de lire plus de 800 pages donc j'arrête avec cet auteur, dommage c'était bien parti
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Le livre commençait bien j'ai été embarqué par l'histoire de ce jeune garçon retrouvé au bord d'une piscine avec une femme morte dans sa baignoire... Mais plus j'avançais dans la lecture mais j'ai été " passionné". Beaucoup de longueur, les suspenses sont surtout des non-dits qu'on retrouve des cinquante de page plus loin... Et la fin m'a aussi énormément déçu. Malgré tout c'est bien écrit et les descriptions des paysages, scènes etc sont toujours précises et de qualité avec cet auteur.
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C'est long, très long...
Dommage, c'est plutôt bien écrit, avec une enquête prenante, mais qui tient seulement en 200 pages, et n'est pas vraiment développée, pour se retrouver miraculeusement vite expédiée.
Rien. On n'avance pas. On est noyés par l'abondance de questionnements internes des personnages, beaucoup de répétitions. Même le fil conducteur stagne. On tourne en rond.... (Détail amusant vu le titre du livre !)
Une lecture décevante et ennuyeuse. Je n'y ai pas retrouvé ce que j'avais aimé dans glacé.
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Avis légèrement à contre courant puisque je n'ai pas vraiment adhéré à ce thriller.
C'est le premier roman que je lis de cet auteur et il semblerait que ce ne soit pas le meilleur.
La lecture est fluide et agréable.
Cependant j'ai trouvé beaucoup de longueurs, beaucoup (trop) de personnages secondaires, parfois un ou deux chapitres où l'on avance bien dans l'enquête et ensuite le calme plat....
Et puis quelque chose m'a gêné, j'avais l'impression de retrouver en Martin Servaz un Harry Bosch de Connelly mais revisité à la française donc plus "lisse".
J'ai eu aussi le sentiment que l'intrigue s'enlise parfois dans des rebondissements peu crédibles.

Bref une lecture en demi-teinte.
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Autant j'adore les thrillers, les enquêtes pages-turners de grangé et de thillez, autant celui-là me laisse vraiment sur ma fin.
Trop de paroles pour pas grand chose, d'états d'âme du flic.... au bout d'un moment j'ai lu plusieurs pages en diagonale. de plus, on comprend vite que plusieurs personnages prennent de la place et des pages alors qu'en fait bah.... ils apportent pas grand chose. Si c'est pour brouiller les pistes, c'est presque trop réussi car j'ai vraiment perdu le fil de l'enquête à me désintéresser d'eux.
Autre chose qui m'a dérangé, plusieurs fois les chapitres commencent avec un protagoniste qui n'est nommé qu'au bout de deux pages... ce qui me perdait beaucoup à remettre le contexte et la time-line en place.
L'enquête progresse très lentement, trop lentement jusqu'à un passage qui presque révèle alors tout.
Bon après le page-turner fonctionne tant bien que mal et on a envie d'en savoir sur cette relation qui se crée avec Hirtmann. Je vais devoir malgré tout lire d'autres tomes des aventures de Servaz pour le découvrir...
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Déçue après la découverte de "glacé"
Ça démarre pas trop mal, mais rapidement l'auteur ouvre plein de portes, ajoute pleins de personnages qui n'apportent rien : ça part dans tous les sens
c'est long, pénible, on en perd le fil et l'intérêt
Les ruptures de rythme et de séquences, au lieu de maintenir le suspense, le casse allègrement et je peine à comprendre la logique de l'enquête
Il faut arriver aux environs de la page 600 et avoir subi de nombreux" bla bla bla "pour trouver un peu d'intérêt
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Comme un article récent paru dans télérama ( valeur sûre des magazines de tv qui refuse de rejoindre le marigot de tous les autres, qui se vautrent dans une pipolisation d'une vulgarité sans nom flattant une très large majorité de gaulois réfractaires lobotomisés par les réseaux sociaux et autres téléphones portables, artifices pour faire croire à tous ces gogos qu'ils ont une vie sociale.
Bref, télérama se pose la question : "qu'est-ce qui fait qu'un film devient culte?"
Pour un auteur qu'en est-il ?
son nombre de livres? ses histoires,? son style?
Bernard MINIER est parait-il un écrivain à succès!
Pendant presque 40 pages, une description insignifiante de cette insipide coupe du monde 2010, que tous les médias français n'ont traité que sous le seul angle du fait divers.
une insulte hypothétique, une grève pathétique, symbolique de la france et de la lobotisation du cerveau des footballeurs, que tous les laborieux smicards idéalisent comme des dieux.
MINIER a t'il succombé à la mode de l'information made in " gala, voici, paris match, détective,...?
Une histoire rocambolesque qui n'a pas grand intérêt et qui met en avant le passé de SERVAZ ne manière malhabile.
Dés étudiants au coeur de l'intrigue, avec toujours ce suisse en arrière plan...
Après GLACE et AU BORD DE l'ABIME, 3ème lecture...3fois bof


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A 75% du livre (sur liseuse, on parle en pourcent et pas en pages), j'ai soudain été happée par l'histoire, au point que – enfin, je n'ai plus eu le loisir de prêter attention à autre chose qu'à l'action. Est-ce que Servaz allait s'en sortir ? Est-ce qu'on allait connaître le fin mot de l'histoire ? Est-ce qu'on allait savoir qui avait tué ? Non, ça, ça fait un moment que j'avais ma petite idée sur le qui et le pourquoi. le suspense a bien duré jusqu'à… 95%. Ensuite, retour à la réalité, j'étais de nouveau assise dans mon salon, dans l'hémisphère sud, en plein hiver.

Ce qui est problématique, dans un sens, parce que le Cercle se déroule dans le Sud Ouest de la France, en plein été.
Suivant la suggestion de mes amis Céline et Guillaume, j'ai entamé la lecture de la série dans l'ordre. J'avais passé un plutôt bon moment avec M, le bord de l'abîme (un one-shot qui n'a rien à voir avec Servaz) et un moins bon avec glacé. Comme j'avais le livre sous la main, je me suis entêtée avec le cercle. Pour te la faire courte : je vais arrêter la série pendant quelques temps, histoire de lire des polars ou des thrillers qui me conviennent. Manifestement, Servaz et moi, nous ne sommes pas partis pour devenir grands copains.

Commençons par le positif :

Encore une fois, l'histoire est plutôt bonne et bien orchestrée – même si le prologue, très excitant, n'a à mon avis pas grand chose à voir avec l'intrigue principale et sert à exciter l'appétit des lecteurs.

Il y a une ambiance, c'est clairement le point fort de cet auteur. Que ce soit le village universitaire fictif ou l'ambiance de coupe du monde, on s'y voit.

Pour autant, le cercle m'est complètement passé à côté, je n'ai pas réussi à y rentrer sauf entre 75 et 90% – ce qui, tu me l'accorderas, est un peu juste.

Pourquoi ?

J'ai été gênée par l'enchaînement des événements qui m'ont semblé manquer de logique. Des étapes cruciales sont expédiées alors qu'on nous noie sous les descriptions.

J'ai trouvé les trois premiers quarts extrêmement pédants. L'idée d'une cité universitaire fictive à l'image d'Oxford est intéressante – même je la trouve trop éloignée de la culture française pour y croire -. Par contre, elle n'est pas cohérente : on a d'une part l'action concentrée sur deux classes de khâgne et hypokhâgne qui se situent dans un lycée. Mais il n'y a pas de lycéens. C'est une cité universitaire mais il n'y a pas vraiment d'étudiant. En fait, j'ai eu l'impression que cette Oxford française tournait autour de deux classes de prépa, classes qui ont certainement leur prestige mais qui ne sont pas non plus des classes d'élites sur le plan universitaire dès lors qu'on a dépassé la licence.

“La culture, c'est comme la confiture, moins on en a, plus on l'étale”, disait-on quand j'étais au collège. Cette petite phrase m'a poursuivie pendant la quasi totalité de la lecture du livre. J'ai ressenti un grand mépris (déjà affirmé dans glacé) pour tout ce qui est entreprise, encadrement, politiques. Bon point pour l'auteur, j'ai parfaitement retrouvé l'idée “nous sommes de purs esprits, l'élite de la nation” qui infuse les premières années d'études universitaires et qui corrompt inévitablement une partie des niveaux ultérieurs. Mais il arrive un moment dans les études et le développement de la connaissance où on arrête de se croire plus intelligent que tout le monde. On dirait qu'aucun des protagonistes du Cercle n'a dépassé le master, ce qui est un peu limité pour une élite. Quelle est cette idée de citer en permanence en latin ? Est-ce que ça existe réellement ? Je croyais qu'on arrêtait ça en seconde ou en première…

Je n'ai pas réussi à adhérer à l'idée de ce village uniquement peuplé d'étudiant et de villas secondaires de grands bourgeois. L'un ou l'autre, ok, mais les deux ensemble, non.

Aucun de ces détails n'est vraiment important pris individuellement. Aucun livre n'est parfaitement cohérent, aucun personnage n'adhère à 100% à sa propre psychologie, il y a toujours des trucs bizarres ou qui ne collent pas trop ou qui font froncer les yeux. La magie de l'écrivain, c'est d'entraîner le lecteur dans un tel tourbillon qu'il ne fait pas trop attention à tout ça, qu'il ne se pose pas toutes ces questions.

Avec le Cercle, l'auteur n'a pas réussi à créer pour moi ce tourbillon ; je m'entendais lire dans ma tête (j'ai d'ailleurs trouvé le style assez laborieux), je relevais en permanence les yeux pour me demander si j'avais bien lu, j'étais agacée par la puérilité de Servaz dans son histoire sentimentale, agacée par sa pédanterie avec ces phrases en latin complètement indigestes qu'aucun latiniste ne se permettrait d'employer à un autre moment que devant un auditoire qui les comprenne, par cette hiérarchie établie entre les esprits supérieurs qui étudieraient en khâgne et les ratés qui finiraient flics, les pourris qui deviendraient politiques, les arnaqueurs qui deviendraient chefs d'entreprise ou encore par des coïncidences juste invraisemblables … La gaule de Servaz le matin, je n'en peux plus ; les goûts musicaux de son adjoint, c'est pareil ; les événements climatiques providentiels, ça commence à être lassant (mais si j'en juge avec M, le bord de l'abîme, ce n'est pas prêt d'être terminé).

Bref. Je n'ai pas été dedans sauf quelques brèves pages et j'ai été soulagée d'arriver au bout. L'ensemble m'a donné l'impression d'un assemblage de bric et de broc, comme une latiniste trop sérieuse qu'on essaierait de rendre sexy à grands renforts de rouge à lèvres (la fille séquestrée) et de jupe découpée (le retour d'un certain tueur en série).
Lien : https://mespolarsetlereste.c..
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J'aime beaucoup Bernard Minier et le personnage Servaz. J'ai été embarquée par les personnages et leurs aventures.Mais L'enquête ne m'a pas convaincue.Pour dire la lecture ne m'a pas marqué car 1 ans après cette lecture je n'en ai plus aucun souvenirs... Ce n'est pas le meilleur thriller le meilleur roman de Minier.
Lien : https://erminebouquine.wordp..
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Lecture commerciale qui n'apporte rien au genre. Intrigue convenue, personnages clichés, la fin est perceptible dès les premiers chapitres. Bref, sans grand intérêt...
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