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4,13

sur 3889 notes

Critiques filtrées sur 3 étoiles  
Une nouvelle enquête de Servaz, très personnelle. C'est ce qui m'a dérangé dans cette histoire, ce côté implication personnelle dans l'enquête pour un enquêteur. Mais comme le dit l'auteur, il a pris des libertés. Et après tout, ce n'est qu'une histoire, pas le compte rendu officielle d'une enquête !!
Bernard Minier nous entraîne, qu'on le veuille ou non, à tourner les pages, à vouloir savoir la suite, même si par moment, on a envie d'abandonner la lecteur. Je dois l'avouer, j'ai parfois eu envie de fermer ce livre. C'est parfois un peu lourd, ça n'avance pas toujours très vite, beaucoup de personnages, on ne sait plus où on en est... les premières impressions sont elles les bonnes ? Et finalement, le final est au rendez vous...
Alors, un conseil : suivez votre instinct et vos ressentis de lecteur !!!!
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Déçue
Moins bien que le premier glacé. L'histoire traine trop en longueur beaucoup de passages inutiles avec beaucoup trop de descriptions ce qui enlève du suspense, et manque de cohérences. Dommage

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Deuxième opus de Bernard Minier, où l'on retrouve les personnages de glacé deux ans plus tard. le tueur psychopathe Julian Hirtmann court toujours après s'être échappé du centre psychiatrique le plus surveillé de France. A Marsac, petite ville universitaire (et imaginaire) du Sud-Ouest de la France, une prof vient d'être sauvagement assassinée: une musique de Mahler, le compositeur favori de Hirtmann, est joué à plein volume dans son salon... le commandant Servaz s'empare de l'enquête, d'autant plus que sa fille Margot est étudiante dans cette prépa.

On retrouve donc les personnages du premier tome et leurs vieux démons à chacun dans une atmosphère un peu différente mais où les pontes de la politique locale se retrouvent une nouvelle fois plongés dans de sales affaires.
Cette fois-ci, cependant, je me suis moyennement laissée convaincre par les différentes directions que prend le roman qui ne m'a pas souvent laissée en haleine, au contraire du premier; j'y ai trouvé pas mal de clichés du genre et même une scène venue tout droit d'une vieille série policière.
La lecture est restée plaisante, mais j'ai été globalement été déçue.

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"Le cercle". Ce titre est à propos car j'ai tellement eu l'impression de tourner en rond...Et ça étourdit touner en rond. 2e roman de Bernard Minier et même si celui-ci met en scène sensiblement les mêmes personnages que dans "Glacé", son premier roman, il n'est pas essentiel d'en faire une lecture chronologique.
Dans un petit village universitaire renommé, on retrouve ligotée, noyée dans son bain une prof de lycée. Un de ses étudiants est trouvé hagard, choqué, assis au bord de la piscine. Tous les indices le pointent en tant que meurtrier. La mère du jeune homme, ancienne flamme du commandant Servaz, l'appelle à la rescousse. Il faut sauver son fils!
Un passé qui rattrape le présent, des secrets qui remontent à la surface, un tueur en série en cavale qui tourmente le commandant Servaz, des amitiés étouffantes, des manigances criminelles, bref beaucoup beaucoup (trop?) d'ingrédients. Ça va prendre du liant. Rebondissements et fausses avancées, l'enquête virevolte, piétine. Est-ce que tout cela enrichit véritablement le propos ? Pas certaine.
Même si la plume est affirmée mais quelquefois affectée , même si l'ambiance est préoccupante et surchauffée, je n'ai pas été ni captivée ni happée par cette lecture. Juste intéressée. De là à suivre de nouveau le commandant Servaz dans la poursuite du monstre qui le hante ? On verra , rien n'est moins certain.
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CHALLENGE PAVES 2015/2016 (12/15)

Les événements climatiques occupent une place importante dans les thrillers de Bernard Minier. Après le froid et la neige dans "glacé", nous voilà au prise avec la chaleur lourde, la moiteur et les orages d'un été à Marsac, petite ville universitaire et imaginaire du sud-ouest de la France (en pleine coupe du monde de foot, ce qui ajoute à la tension), où on retrouve les mêmes flics : Servaz, Esperandieu et Irène Ziegler. "Le cercle" est une suite puisque le tueur en série Julian Hirtmann qui avait échappé aux enquêteurs dans le premier roman de l'auteur fait sa réapparition. Réapparition assez subtile car ce sont seulement des indices rappelant son personnage, retrouvés sur différentes scènes de crime qui font penser au Commandant Servaz que le psychopathe est de retour. Alors sentiment de persécution lié à cette rencontre traumatisante du passé ou réalité ? Je vous laisse deviner...

J'avais beaucoup aimé "glacé", un peu moins "Une putain d'histoire", et voilà qu'avec "Le cercle", c'est presque une déception. Je sais que, vu le nombre d'avis positifs, ma critique va faire l'effet d'un pavé dans la mare mais voilà, je n'ai pas adhéré à l'intrigue. Déjà, comme je l'ai dit souvent, je ne suis pas fan des suites (à moins de lire les livres dans un laps de temps très court) car vu le nombre de bouquins que j'avale, ma mémoire est souvent défaillante.
Le fait de construire son histoire autour du tueur en série échappé de "glacé" et d'en faire en quelque sorte son fil conducteur ne m'a pas semblé pertinent, son intervention me parait fantaisiste et le dénouement laissant deviner une nouvelle suite m'a déçue. Bien que le livre se déroule seulement sur une semaine, le temps m'a paru long : les descriptions trainent en longueur. Pour moi, ça manque de souffle et de fluidité, trop de diversions (politique, foot) trop de fausses pistes, trop d'éléments tirés par les cheveux, bref, trop de pages. Ce qui m'avait paru nouveau dans le premier opus comme par exemple les personnages très marqués par leur passé, m'a semblé être une redite.


Je reconnais malgré tout que Bernard Minier est un champion pour nous créer des ambiances presque cinématographiques, différentes dans chacun de ses romans. Mais bon, cette fois-ci, la sauce n'a pas pris avec moi et ma lecture se solde par un 10/20 bien moyen.
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Quel livre riche et foisonnant cela débute par une enquête une jeune femme est retrouvée morte dans une baignoire ligotée une torche dans la bouche, dans sa piscine des poupées flottent et une jeune homme Hugo est sur les lieux l'air complétement hagard, un cd de musique est également trouvé sur les lieux rappelant l'auteur de précédents meurtres qui constituent l'opus précédent de l'auteur glacé.

C'est le voisin de cette jeune femme assassinée qui a appelé la police. Cette enquête va être confié à Martin Servaz car Hugo est le fils de Marianne avec qui il a eu une relation.

On retrouve également l'équipe de Servaz avec Samira, Espérandieu etc... Et plus l'équipe continu son enquête plus la mort semble rôder à Marciac, il est également question de politique de sans papiers.

Une enquête donc très dense, pour ce livre de près de 800 pages et dont on ne s'attend pas du tout à la fin.
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Marsac, petite ville étudiante et animée. Un soir de Juin 2010 alors que la quasi-totalité de la population, comme le reste de la France d'ailleurs est devant son poste de télévision pour suivre les exploits d'une équipe de France pour le moins contestée, Hugo, suite à l'appel d'un voisin est retrouvé prostré au bord d'une piscine, dans l'eau de laquelle flottent une dizaine de poupées.
A l'intérieur de la villa, un horrible spectacle attend le commissaire Servaz et ses hommes, le cadavre d'une jeune femme ligotée dans la baignoire.
L'impression d'horreur est accentuée par une lampe torche placée à l'intérieur de sa bouche.
La victime étant professeur dans l'un des meilleurs lycées de la ville, l'enquête se dirige rapidement dans le milieu des enseignants et des étudiants dont certains semblent avoir de nombreux secrets.
Tout au long de l'enquête Servaz sera confronté à son passé, la mère du principal suspect Hugo n'étant autre que la femme qu'il a follement aimé dans sa jeunesse.
N'ayant pas lu « Glacé » le précédent roman de Bernard Minier je ne connaissais pas le commissaire Servaz ni l'enquête qui l'avait confronté à un serial-killer évadé depuis d'un hôpital psychiatrique et qui fait également partie des suspects.
Un thriller brillant, des rebondissements à répétition, des fausses pistes, Bernard Minier sait à merveille jouer avec les nerfs de son lecteur.
Bien que n'étant pas une inconditionnelle de ce genre littéraire, je me suis laissée convaincre par cette lecture.


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Lorsque le passé décide de vous revenir à la gueule avec la puissance décuplée de l'horreur et en renversant tout sur son passage, il faut s'accrocher.
Le commandant Martin Servaz déboule plus hanté, torturé, cassé et mélancolique que jamais. Il est toujours habité par le désir d'en finir avec ce détraqué suisse qui semble faire une fixation sur lui et constitue une menace pour sa vie et celles de ceux qu'il aime.
Brillant d'intelligence mais toujours empêtré dans ses contradictions, avec en bandoulière un passé traumatisant trop lourd à porter, il sera à nouveau acculé, terrifié, confronté aux pires vices du genre humain.
Son équipe, toujours aussi efficace et fidèle, l'entourera dans cette quête dévoilant encore plus de détails sur les personnalités de chacun.
La bande-son choisie par Bernard Minier est grandiose, les basses tapent, le beat assure une cadence infernale et la connexion avec son écriture poétique est encore enrichie. Il conserve et affûte son habileté diabolique à décrire de l'intérieur les comportements les plus tordus. Tout naturellement!

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Ne cherchez pas la quadrature du cercle dans le polar de Bernard Minier car sur le plan géométrique, il s'agirait plutôt de cercles disjoints !
Son prologue parle de la souffrance d'une femme violée, martyrisée, battue qui agonise dans une cage !
Puis, pour le 1°cercle : il y a Marsac : une petite ville proche de Toulouse ou le corps d'une jeune professeure de littérature est retrouvé, ligotée avec des cordes et une lampe torche dans la bouche..Un jeune homme hagard : Hugo son étudiant et amant se trouve à coté de la piscine .Mais cet étudiant est le fils de Marianne : le 1° amour de jeunesse du commandant Martin Servaz et, cette mère désespérée l'appelle pour s'assurer que son fils sera bien protégé ! Servaz et son équipe ( que nous avons vu dans " glacè" ) vont se mettre à enquêter . Elle est composée de : Samira, de Ziegler, la motarde et pirate d'informatique ainsi que de son adjoint dévoué : Espérandieu.
Marsac est une ville universitaire et Margot, la fille de Servaz comme son père 20 ans auparavant fréquente le lycée pour une" prépa", elle a un pote Elias et toux deux se rendent compte que leurs copains forment un " Cercle " et préparent un "coup " suite à l'accident d'autocar qui a fait 17 victimes dans les Pyrénées car ils s'y trouvaient tous avec la professeure Claire Diemar ! le commandant Servaz va tout faire pour innocenter Hugo et, fouiller comme à son habitude les emplois du temps, les indices de chaque suspect et, on peut remarquer à l'occasion, que Bernard Minier pour justifier son titre a semé des pièges, des cercles tout au long du récit ! Servaz va même apprendre que Claire Diemar était la maîtresse d'un député du cercle des politiciens du club 2000...
Mais, ce qui domine le polar : c'est Servaz, qui en revenant dans sa ville natale est hanté par son passé, par la mort de son père, par ses amitiés perdues, ses amours malheureuses car, même s'il est devenu un" battant", il est habité par la peur , et surtout par l'obsession de Julian Hirtmann qu'il croit sur sa route à tout moment d'autant que sur les lieux du crime : il y avait la musique de Gustav Mahler chère à son coeur et, des indices propres à ce grand prédateur suisse avec qui il avait sympathisé, mais qui s'était enfui sans laisser de trace ! (" glacé ")
Enfin, comme à son habitude Bernard Minier égratigne la société, les politiques, l'administration et soulève les problèmes des immigrés africains en situation illégale !
800 pages parfois difficiles à suivre, tant le rythme, les situations tournent en cercle ( en rond ! ).
L.C thématique de novembre : vider la PAL 2
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J'ai découvert l'auteur avec "N'éteins pas la lumière" qui ne m'a pas convaincu; puis "glacé" qui m'a pour le coup tenu en haleine et enfin "Le cercle" que j'ai trouvé plaisant sans plus; bref, un ressenti global mitigé ! En même temps, j'apprécie peu les romans policiers, ceci explique peut être cela...Si les pages défilent sans ennui, l'intrigue est très moyenne et les ficelles sans surprise. Mais le style n'est pas désagréable et le rythme donné au récit est cohérent et efficace
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