Le verbe engendre la chair qui, dorée par le soleil et musclée par les exercices haltérophiles (acier) permet l'acces à la lumière, le combat, la mort.
Cette évolution spirituelle de Mishima, très bien écrite mais assez hermétique, vole très haut, à l'instar du F104 supersonique de l'auteur.
Moins de deux ans après la parution, Mishima se donnait la mort dans un spectaculaire seppuku.
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