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3,18

sur 170 notes

Critiques filtrées sur 2 étoiles  
Un peu décue par ce roman qui ne correspondait pas à mes attentes.

Les librairies sont pleines de romans mettant en scéne des libraires, et si c'est mentionné dans le titre, c'est vendeur. Sauf qu'on s'attend à un certain style de littérature (pour nous les feeemmmees !) que je n'ai pas retrouvé dans ce livre qui raconte l'histoire d'une libraire dont la boutique vivote et qui a soudain une bonne idée, une idée excellente sur le plan marketing : celle de ne pas "que" vendre des livres, mais de faire des prescriptions comme si elle était médecin, à ses lecteurs selon leur humeur.

Mais cela ne va pas plus loin que cela sur ce thème. ne vous attendez donc pas à une foule de clients dont l'auteure décriraient les maux et dont on suivrait la guérison.
Non ! Ce roman est centré sur la libraire, qui s'appelle Blu et qui vit en coloc' avec des copines. Mais là encore , le roman est centré sur le personnage principal et on ne suit pas vraiment ses copines. du coup, ce n'est pas un roman chaleureux, Blu est un tantinet auto centrée. Toutes ses copines se mettent en quatre pour l'aider dans son projet.
On n'est pas vraiment en Italie , non plus, il n'y a pas assez de descriptions et ce roman ne fait pas voyager.
Et si le début est prometteur, dans le sens où il y a un peu d'humour, l'autrice abandonne vite ce style vers le milieu pour en aborder un autre (Fantastique) , sans vraiment rentter dedans, et surtout en nous laissant , nous lecteurs, le bec dans l'eau, sans explication sur le comportement d'un personnage qui est sacrément dérangé et qui s'en tire sans que personne ne s'en inquiéte, à commencer par elle-même !
Ne vous attendez pas non plus à une histoire d'amour, si l'autrice nous fait miroiter un "peu-être", ce n'est que pour mieux abandonner ce thème (et nous décevoir...).
Bref , un roman qui ne sait pas vraiment vers quel genre littéraire aller (feel-good? Fantastique ? Chick-it,? Biographie ?) et qui donc, laisse un peu la lectrice sur sa faim.
L'explication était dans la note des éditeurs sur la couverture : Elena Molini est libraire à Florence (tiens-donc ! ) et elle a "inventé" ce concept de la pharmacie littéraire (re-tiens donc !) . Tout point commun avec des personnes ayant existé ne serait pas pure coincidence ?
Ce qui est étrange c'est que dans le roman, une éditrice propose à Blu d'écrire son histoire , cette dernière n'a aucune inspiration et un "personnage" lui dit :
" Si les mots ne coulent pas, si la seule pensée d'écrire te fatigue ou si tu essaies d'écrire à la manière de, alors laisse tomber. Ne sois pas comme ces milliers de gens qui se prétendent écrivains. Les bibliothèques sont pleines de livres monotones, ennuyeux et prétentieux écrits par des gens comme toi."

Une histoire que j'oublierai très vite...
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Au début, j'ai aimé le côté un peu déjanté du groupe de copines colocataires, j'ai été emportée par la gaiété qui émanait. Au milieu, j'ai commencé à me perdre dans les méandres d'une écriture déstructurée et je ne comprenais pas où l'autrice voulait emmener le lecteur. Cela arrive et c'est même plutôt bien d'être surpris, mais dans ce cas précis j'ai vraiment eu la sensation d'un roman fourre-tout, d'un "n'importe quoi" qui n'amène nulle part.
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Mauvaise traduction ? Quatrième de couverture ratée ? Je ne m'attendais pas du tout à ça en choisissant de lire La petite pharmacie littéraire. Je me suis laissée tenter, en imaginant y trouver une lecture légère et optimiste, de celles qui font du bien au moral, sans prises de tête, mais avec une vraie proposition derrière. J'ai malheureusement abandonné ma lecture après une centaine de pages (sur 300 environ), des personnages grotesques et caricaturaux, des situations rocambolesques que même Bridget Jones n'arriverait pas à rendre convaincantes, et un gros point d'interrogation sur la pertinence de ce titre. Lecteurs réguliers de feel-good, passez votre chemin...
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Une jolie couverture et un titre qui m'a interpellé. J'ai tout de suite eu envie de lire ce livre.
On découvre cette libraire, en quête d'amour , qui cherche également à sauver sa librairie. On lui souffle l'idée de prescrire des livres.
Malheureusement je trouve que cet élément vient presque en arrière plan de l'histoire. Je m'attendais à lire pleins de prescriptions de livres avec pleins d'interactions avec une multitude de personnages. On suit l'histoire de Blu mais je n'ai pas été happée comme je l'aurai imaginé.
J'ai passé un bon moment de lecture, l'histoire est sympa et bien écrite mais ce n'est pas ce que j'ai imaginé. du coup petite déception en le refermant. Ça reste une bonne lecture détente, agréable à lire.
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La petite pharmacie littéraire est un roman feel-good.
Une histoire originale : Une librairie dans laquelle on prescrit des livres comme des médicaments pour soigner les maux de la vie.

Tout était réuni pour que ça me plaise mais la magie n'a malheureusement pas opéré.

On fait la rencontre de Blu, la propriétaire de la librairie qui ne se porte pas très bien. Elle décide donc de mettre en place ce concept original avec l'aide de ses amies colocataires. Beaucoup de péripéties, d'aventures s'enchaînent. Elle fait la rencontre d'un mystérieux client et part à sa recherche. L'intrigue est bien présente et donne envie de savoir où ça va nous mener.

L'histoire est drôle et je dirai même loufoque (je trouve, cependant, qu'elle n'a pas grand chose à voir avec ce que l'on nous promet sur la 4ème de couverture). On arrive tout de même à sentir l'odeur des livres, la passion de Blu pour la lecture.
J'ai noté que ce roman parle principalement d'amitié et de seconde chance.

Même si l'atmosphère m'a beaucoup plu et m'a fait voyager en Italie, je n'ai pas réussi à m'attacher aux personnages que j'ai trouvé peu approfondis.
La fin m'a surprise mais tout a été beaucoup trop vite et c'est dommage.

C'est donc une lecture mitigée pour ma part, je n'ai pas été emballée par l'histoire, pourtant originale et atypique sur le papier. J'ai ressenti un petit goût d'inachevé à la fin de la lecture.
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Le titre de ce livre m'a de suite inspiré : « la petite pharmacie littéraire »
Prescrire un roman comme on prescrirait un médicament! J'ai adoré l'idée mais voilà… ça s'arrête là…

A la lecture, j'ai été déçue. le concept est mentionné mais ce n'est pas du tout le coeur de ce roman, et c'est bien dommage.
Nous suivons Blu, libraire qui n'arrive pas à s'en sortir avec son entreprise et qui va trouver le succès avec cette idée novatrice. Mais au lieu de développer ce concept, nous suivons la vie personnelle de Blu.

Le roman est écrit à la première personne. Habituellement ça ne me dérange pas, mais ici, ça m'a perdu. Nous suivons littéralement les pensées de la protagoniste et nous nous perdons régulièrement dans des détails et descriptions de pensées inutiles à l'histoire et surtout qui nous fait perdre le fil…
Niveau chronologie, nous avons des bons dans le temps (de quelques jours voire de quelques semaines) qui rendent pas service à l'histoire…
Bref, je n'ai pas accroché…
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