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Daisy, lycéennes à Fukushima tome 2 sur 2
EAN : 9782369740162
192 pages
Akata (03/07/2014)
4.13/5   78 notes
Résumé :
Les mois ont passé depuis le tsunami qui a ravagé Fukushima... Mais pour Fumi, le quotidien est toujours rempli d'incertitudes. La fin de l'année scolaire approche inexorablement, et avec elle, la fin du lycée et le début d'une nouvelle vie...
La pression monte pour la jeune lycéenne, qui ne sait pas encore ce qu'elle veut pour son propre futur. Doit-elle rester à Fukushima, où peut-être fuir avec « lâcheté » sa région natale ?
Pourtant, ses amies, e... >Voir plus
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Critiques, Analyses et Avis (24) Voir plus Ajouter une critique
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J'avais entendu parler de Daisy via la page d'Akata qui faisait pas mal de pub pour leur nouvelle série en seulement deux tomes. Et on comprend vite pourquoi. Après un avis très positif d'Alittlematterwhatever encourageant, je me suis lancée dans les deux tomes (pour les prêter vite à une collègue). Et quelle émotion, quelle justesse !

Nous suivons Fumi, jeune lycéenne plutôt sage, assez peureuse, qui craint les radiations et l'après Fukushima. Logique, vu qu'elle habite à Fukushima … le récit commence alors qu'elle retourne au lycée pour la première fois depuis la catastrophe et qu'elle retrouve ses trois amies : Moé, fille d'un politique issue d'une bonne famille, Ayaka, jeune fille très sérieuse et fille de restaurateurs, et Mayu, « it girl du lycée », fille d'un cultivateur de riz. On suit alors l'après Fukushima et de nombreuses questions sur la vie quotidienne des habitants, le ressenti, … On ne peut que féliciter Reiko Momochi pour ses recherches, en effet, elle s'appuie sur des témoignages de lycéens et étudiants de Fukushima et explique sa démarche dans la postface (très intéressante à lire d'ailleurs).

Nous nous trouvons donc face à un shojô plutôt classique sur les personnages, les relations filles-garçons, mais qui va bien au-delà, qui nous apporte une réflexion, qui nous fait réfléchir sur les conditions de vie des habitants de Fukushima, sur le désintérêt des journalistes et des politiques. En effet, si nous avons entendu parler massivement de la catastrophe dans les médias, nous n'en entendons plus du tout parlé depuis déjà un ou deux ans, pourtant les habitants continuent à se débattre pour améliorer le quotidien, reconstruire, etc. On voit également l'évolution des jeunes, qui se sentent coupables quoi qu'il arrive : soit ils restent et se sentent coupables d'infliger de l'inquiétude à leurs proches pour leur santé ; soit ils partent et se sentent coupables d'abandonner leurs proches … Quelle peine est la meilleure ? le regard des autres japonais est également bien montré et bouleversant.

Bref Daisy est un manga en deux tomes, bouleversant, marquant, qui ne peut que vous procurer des émotions et vous faire réfléchir. Je ne peux que recommander chaleureusement cette série aux graphismes soft, plutôt classiques mais qui mettent bien en valeur l'histoire. Un gros coup de coeur !
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J'ai commencé le second et dernier tome de Daisy, lycéennes à Fukushima seulement quelques jours après le premier tome. Et j'en suis un tout petit peu déçu, je dois dire. Car ce second tome n'a pas su pleinement satisfaire mes attentes.
Au niveau de l'histoire, on continue de suivre Fumi et ses amies. Leur scolarité, leur remise des diplômes, les voies que chacune d'entre elle prend. On se penche également enfin un peu plus sur le personnage et l'histoire de Ayaka, aussi. On plonge dans le quotidien chamboulé d'autres habitants de Fukushima, grâce aux membres d'une association de bénévoles dont Fumi et ses amies feront la rencontre. Au niveau de l'histoire, en fait, il n'y a pas beaucoup de choses à en retirer. Ce manga est un recueil de témoignage romancé, dessiné et il n'est à prendre que de cette façon: il n'y a pas réellement de fil conducteur. L'histoire de Fumi et ses amies, celles des différentes personnes rencontrées, évoquées dans ce manga sont des reconstitutions de témoignages réels, mais dans ce manga ces histoires sont indépendantes des unes des autres, mal reliées, ce qui en fait un manga à l'intrigue inexistantes et aux personnages bancals. Ce sont des instants, des toutes petites tranches de vie figées sur le papier, pour ne pas oublier le drame qu'il s'est passé et ses conséquences, les répercussions que cela a eu même jusqu'aujourd'hui. Il s'agit seulement d'un point de vue alternatifs aux médias que propose Reiko Momochi, plus proche des habitants, de leur vie actuelle. Dans ce manga, il n'y a pas ou peu de chiffres, de blablas politique peu crédible et faussement rassurant, faussement compatissant. Il n'y a pas non plus l'horreur démontré. Enfin, si, mais elle est illustrée par l'espoir de tout un chacun et de la force que tous mettent à croire en une amélioration, un avenir meilleur. Je crois que c'est ce qui est le plus déchirant dans ce manga.

Concernant les personnages, j'ai été autant déçue voire plus que dans le premier tome. Au vu du titre, on peut penser à tort que l'histoire va se concentrer sur ce groupe de filles, mais il n'en est rien. J'ai plus eu l'impression qu'il n'y avait pas d'histoire, pas d'héros (héroïnes), pas d'intrigue, de fil conducteur. Les personnages ont seulement la fonction de permettre d'illustrer des témoignages. Ils ne sont pas beaucoup exploités, pas doté d'un réel caractère. Les relations amoureuses (il y en a!) ne sont que trop peu mises en avant, presque secondaire, et je trouve cela assez paradoxal par rapport au parti pris de l'auteur qui est de redonner espoir aux habitants. Même l'apparition d'un nouveau personnage n'y a pas changé grand chose. Pourtant, quoi de mieux que de nouvelles amours pour faire sourire de nouveau des visages tristes?
Le personnage de Fumi m'a aussi un chuïa agacée, et beaucoup déçue. Car il ne s'agit non pas de l'héroïne, mais plus d'un personnage dans le but est de refléter la situation de la ville et de ses habitants. J'ai trouvé ça horriblement ennuyant et frustrant, si bien qu'à la fin, malgré la "grande" décision qu'elle prend, elle ne me paraît plus crédible et c'est très dommage, car l'histoire aurait eu à gagner davantage selon moi si son personnage principal été plus creusé, mis en avant sans intervention extérieure.
J'aurais également aussi pu voir la promesse que les quatre amies se sont faites, de manières plus concrètes.

Daisy, lycéenne à Fukushima est un dyptique intéressant d'un point de vue historique, bouleversant d'un point de vue émotionnel et qui remplit admirablement bien son rôle de recueil de témoignage. Néanmoins, avec des personnages très transparents et une intrigue principale qui l'est tout autant, Daisy est une déception. le manga aurait gagné à s'être étendu à plusieurs tomes, aurait également eu plus de crédibilité si les personnages et l'intrigue aurait été plus développés.
Néanmoins, c'est un manga à mettre en toutes les mains, à conditions de le lire tel un recueil de témoignages, et non pas comme l'histoire d'un groupe de filles que l'on verrait évoluer dans le temps par exemple. le titre peut être trompeur et créer certaines attentes qui ne seront pas satisfaites, mais à travers ce manga, Reiko Momochi nous propose un point de vue alternatif sur le drame du 11 mars 2011 et une réflexion sur la radioactivité et l'énergie nucléaire et une observation de la société nippone.
Lien : http://anskarad.blogspot.fr/..
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Ce second tome est à nouveau un petit coup de coeur qui m'aura laissé avec la larme à l'oeil. C'est tellement touchant de suivre ce groupe de copines. J'ai beaucoup aimé dans le titre que ce soit leur amitié qui soit mise en avant et non les romances comme trop souvent dans les shojos. Ici, le propos de l'autrice est autre et elle le défend bien.

L'amitié, la famille et l'entraide sont au coeur de son histoire. On continue donc à suivre notre groupe d'amies. Reiko Momochi met un peu plus en avant à la fois leur passion pour la musique comme instrument de motivation et moyen de panser les plaies. Elle se met aussi à parler un peu plus d'Ayaka, la 4e du lot, qu'on avait peu vue jusqu'à présent, le tout en continuant à développer son propos critique contre la gestion de la catastrophe.

Elle reprend ainsi les mêmes sujets que dans le premier opus mais développe un angle clairement plus politique ici. Et donc en plus de cette peur ambiante qu'elle décrivait, elle se décide à nous parler des actions de la population pour palier les carences du gouvernement. Elle assène donc à celui-ci plusieurs critiques assez vives que je partage et nous montre la colère que la population ressent à raison contre lui. On découvre ainsi brièvement le quotidien de ceux qui ont été touchés au plus près et qui ont dû quitter leur domicile. C'est tragique de voir dans quelles conditions ils doivent vivre en tant que réfugiés mais surtout ce qu'il reste de leur ancien lieu de vie et de leurs souvenirs.

Heureusement comme dans le tome précédent, l'autrice montre des gens qui ne se laissent pas abattre. L'entraide se met joliment en place et cela permet à plusieurs des filles de trouver leur voie. Parce que comme on l'avait vu auparavant, Fukushima a des conséquences concrètes sur leur avenir et leurs désirs. Les filles, telles des représentantes de la jeunesse de ce lieu, montrent combien elles veulent aider les autres à s'en sortir et combien cela va devenir un leitmotiv pour elles à l'avenir. Ainsi, l'une d'elle va vouloir devenir instit pour aider ces enfants qui se sont montrés si forts et courageux, une autre va vouloir devenir psychologue pour aider tout le monde à parler et à remonter la pente, et pour finir une dernière va vouloir faire en sorte que les choses bougent et qu'on ne reste pas dans l'indifférence générale, pour cela elle va essayer de faire de la politique. La mangaka cherche donc à montrer qu'il faut agir soit même pour que les choses changent et non attendre du gouvernement qui actuellement ne fait rien car composé d'une élite hermétique au malheur des gens. C'est une critique assez vive que je pensais pas trouver ici et qui m'a plu.

Daisy aura donc été un titre assez surprenant pour moi, dans le sens où l'on est bien loin de ce que peuvent habituellement nous proposer les shojos que l'on peut lire en France. Tout en gardant une sensibilité toute féminine, la mangaka n'hésite pas à adresser un discours critique à son pays mais aussi un message porteur d'espoir concernant sa jeunesse. C'est un très beau titre qu'il faut lire !
Lien : https://lesblablasdetachan.w..
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Dans cette suite et fin, nous continuons à explorer le combat quotidien des familles vivant aux alentours de Fukushima. Après l'incident évoqué en fin de premier tome, Moé a quitté la région pour se reconstruire. le groupe qu'elle formait avec Fumi, Ayaka et Mayu se retrouve ainsi amputé d'un membre alors que l'équilibre de chacun est si précaire. On constate très rapidement que Fumi culpabilise et s'inquiète de ne pas trouver sa voie comme ses deux autres amies. Mais le bénévolat qu'elles entreprennent au camp de réfugiés voisin va étayer encore davantage les liens déjà si forts qui les unissaient. Il leur permettra à toutes de s'épanouir et de réaliser qu'en dépit des faits et des apparences, elles n'ont pas tant perdu que ça comparé à d'autres.

Reiko Momochi remporte le pari inouï de montrer combien la population est mal informée sur la situation générale et l'évolution de la pollution nucléaire, combien le gouvernement profite petit à petit du temps qui passe pour se convaincre que tout revient à la normale, alors même qu'ils n'ont jamais mis un pied dans la région ou échangé avec les populations sinistrées. le camp qu'elle nous présente dans ce second tome m'a profondément émue. Il y a tous ces jeunes le sourire aux lèvres alors qu'ils n'ont plus rien, d'autres qui simulent pour rassurer leur entourage. Certains se tournent tant bien que mal vers l'avenir tandis que les personnes plus âgées s'accrochent désespérément à leurs souvenirs, à un passé définitivement révolu auquel elles ne parviennent toutefois pas à renoncer.

La mangaka a à nouveau trouvé le ton juste : solidaire et touchant sans verser dans le misérabilisme. Elle expose concrètement ce qu'il en est et je me suis retrouvée plus d'une fois avec une boule dans la gorge en songeant qu'au coeur de cette narration se trouvent des histoires vraies, inspirées des témoignages recueillis sur place par Reiko Momochi. Cette dernière n'a décidément pas sa pareille pour toucher ses lecteurs et amener un véritable travail de réflexion et de prise de conscience. Ses personnages authentiques ne peuvent que nous interpeler, on se sent proches de chacun d'eux... et tellement impuissants face à ce qu'ils traversent...

S'il n'existe pas de solution miracle à cette catastrophe humaine et écologique, ce diptyque laisse tout de même entrevoir une lueur d'espoir. La réhabilitation de la région ne fait que commencer et nous avons malheureusement tous tendance à l'oublier, d'autant plus facilement que nous vivons si loin du Japon.
Lien : https://dragonlyre.wordpress..
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Ce volume ouvre la problématique des réfugiés accueillis à Fuskushima et venus des campagnes environnantes. L'entraide et le partage sont à l'honneur et l'émotion tend le fil du récit.

Nos lycéennes s'engagent dans des actions de solidarité. Elles découvrent qu'il y a des personnes encore plus impactés par la catastrophe nucléaire. Certains par exemple ne pourront jamais rentrer chez eux.

Paradoxalement, cette prise de conscience, va les amener à s'ancrer encore plus dans leur ville, faisant pivoter parfois leur destinée…

Un manga qui constitue un bon outil pour aborder la question de l'impact d'une catastrophe nucléaire dans la vie des adolescents et de leurs familles. le dessin est sans surprise. le récit en deux tomes présente un panorama complet de l'impact de la catastrophe nucléaire sur l'avenir des jeunes.
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critiques presse (1)
BulledEncre
13 novembre 2014
Le talent de Reiko Momochi réside dans sa capacité à exposer la dure réalité de Fukushima sans sombrer dans le larmoyant, en permettant à ses personnages de conserver toute leur dignité. L’espoir reste plus que jamais présent. Le scénario reste très bien ficelé et nous offre un final bouleversant.
Lire la critique sur le site : BulledEncre
Citations et extraits (18) Voir plus Ajouter une citation
- Le bon et le mauvais, ça va ensemble. C’est ce que j’ai compris et vécu ces derniers sept mois. Il n’y a pas d’espoir sans désespoir !
- On a tous une horloge intérieure… qui avance à sa propre vitesse. Suivant les gens, elle ne sonne pas au même moment. L’important, c’est que tu trouves ce que… tu veux vraiment faire, et pour ça, prends tout ton temps.
- Un jour, sans prévenir, quelqu’un qu’on aime disparaît… Tu imagines ce que peuvent ressentir ceux qui restent ?
- Se résigner sans rien faire, en se plaignant, ce n’est pas la solution.
- Même quand les temps sont durs, il y a toujours la lumière qui nous attend au bout du tunnel.
- S’il est aisé de sauver une personne, en sauver plusieurs ne l’est pas. Mais ceux qui échouent à accomplir une tâche même insignifiante n’arriveront jamais à accomplir une chose d’importance.
- La présence d’amis, toujours, enrichira votre vie. N’oubliez jamais que vous n’êtes pas seule au monde.
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Le 16 décembre, le gouvernement a annoncé la fin de l'état de crise à la centrale nucléaire de Fukushima. Le site ayant été "stabilisé", suite à l'arrêt à froid des réacteurs endommagés, les autorités ont déclaré l'incident terminé.

"Terminé"... Qu'est-ce qui est terminé ? Ils croient qu'il suffit de le dire, pour que ce soit le cas ? Comment osent'ils dire une chose pareille ? Ok, le refroidissement du réacteur en dessous de 100°C, ça rassure mais, on ne sait rien de ce qui se passe à l'intérieur ! Et les fuites d'eau contaminée ? Et la radioactivité dans l'air ? Comment peuvent-ils prétendre que c'est fini ?

Malgré tout, ils reconnaissent q'ils y a du boulot à faire sur la centrale...
Mais à les entendre, on croirait que tout va bien, que la situation est parfaitement normale !
Ces paroles sont supposées nous rassurer ? Elles provoquent surtout la colère et le doute !
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Les sinistrés qu'on nous a montré à la télé sont forts et volontaires.

Mais dans la réalité... beaucoup de familles, jusque-là très unies, sont au bord de l'implosion. Les enfants pleurent en pensant à leurs amis partis sans leur dire au revoir. Les mères pleurent en essayant de ne pas faire de bruit, le matin, les yeux rivés au plafond des baraquements, sans comprendre ce qu'elles font ici.
Les sinistrés taisent leur douleur, même à leurs compagnons d'infortune car en parler ne ferait que rendre la vie plus dure. Tous gardent le sourire, ravalant leur souffrance, comme pour se convaincre que tout va bien, alors qu'ils ont tout perdu et chacun prétend que son voisin souffre davantage... que lui-même a de la chance d'avoir un toit sur la tête, après avoir vécu tassé dans des refuges improvisés, sans autre intimité qu'un espace minuscule séparé par des cartons.
Mais un jour, ils devront quitter le camp.

Sept mois après la catastrophe, les problèmes de radioactivité ne sont toujours pas réglés.
Leur vie ne sera jamais plus la même ... Ils ignorent quand ils pourront rentrer chez eux.
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Le chemin de la reconstruction semble n'avoir jamais de fin.
Qui peut dire combien de temps cela va prendre ? Pourtant, je ne renoncerai pas... Je poursuivrai ma route, jusqu'à ce que mon pays natal retrouve son visage d'avant !
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Le serment qu'on s'était fait "Tous les ans le quatrième samedi du quatrième mois quoiqu'il arrive, même loin l'une de l'autre, même devenues grands-mères, on se retrouvera avec nos barrettes"
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Videos de Reiko Momochi (5) Voir plusAjouter une vidéo
Vidéo de Reiko Momochi
Daisy - Lycéennes à Fukushima revient en grand format à l'occasion des 10 ans des Editions Akata. Une oeuvre signée Reiko Momochi en 2 volumes. D'une justesse rare, prenant aux tripes autant qu'elle soulève les consciences, l'oeuvre avait remporté notre tournoi de la rédaction en 2016, et est l'une des très rares séries notées 20/20 par notre rédaction. Retrouvez l'intégralité de la news ici : https://www.manga-news.com/index.php/actus/2024/02/14/Daisy-Lyceennes-a-Fukushima-revient-en-grand-format #Manga #Fukushima #Shojo
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