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Clayton Henry (Illustrateur)Lewis Larosa (Illustrateur)
EAN : 9781682151891
128 pages
Valiant Entertainment (25/04/2017)
3.42/5   6 notes
Résumé :
En pleine tempête, un avion privé s’écrase au milieu de l’océan. À son bord, la plus grande star mondiale du football, son épouse, une mannequin de renommée internationale et leur fils en bas âge. Survivant à ce crash, ils parviennent miraculeusement à nager jusqu’à une île qui semble déserte.

Mais en réalité, leur jet s’est écrasé sur une île mystérieuse, peuplée de créatures venues d’un autre temps… Voici comment ils ont perdu leur humanité.
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Critiques, Analyses et Avis (6) Voir plus Ajouter une critique
Régulièrement, Valiant Comics (et donc Bliss Comics en France) propose de nouvelles histoires dans leur univers partagé avec des héros totalement neufs, c'est l'avantage avec ce Savage.

Lost in translation
Kevin Sauvage est un des plus grands footballeurs de monde, sa femme Veronica est une mannequin internationale, eux deux viennent d'avoir un troisième enfant dénommé Kevin Junior (KJ donc). Tous trois voyagent à bord de leur jet privé pour rentrer à la maison, mais un incident de route les fait amerrir en urgence sur ce qui semble être une île déserte. « Semble » seulement, car il y en a finalement du monde dans ce petit coin abandonné ! À eux deux, les Sauvage doivent trouver le moyen de s'en sortir aussi bien dans l'immédiat que dans un futur à moyen terme : ils ont l'épave de leur avion qui vient de brûler, un bébé à s'occuper et des bruits s'élevant de la forêt pour les inquiéter. Que fait-on dans ces cas ? On va voir. Mal leur en prend…

Un conte tragique de survie
En seulement quatre épisodes (Savage est une simple mini-série), B. Clay Moore scénarise un conte d'horreur et de terreur, ou comment devient-on complètement « savage ». Pour la petite famille, le but ultime est de quitter l'île, et ce par tous les moyens possibles. Or, chacun rencontre les pires difficultés pour survivre dans cet environnement hostile. Les choix scénaristiques sont âpres et crus. le dessin alternant action et vision froide des actes nous fait prendre part tragiquement à la situation. Et de la première à la dernière scène, c'est non seulement l'horreur de ce qui est proposé qui marque, mais aussi ce que le lecteur imagine comme conséquences physiques et morales pour le ou les personnages concernés. On peut évidemment émettre des bémols (comme sur le même parti-pris conflictuel de la série Walking Dead d'ailleurs) sur les choix d'affrontements des personnages alors qu'ils sont déjà en milieu hostile et qu'ils ne savent finalement pas très bien où ils se trouvent.

Robinson Crusoé à la sauce Valiant
Dans son univers partagé, Valiant Comics construit des personnages qui ont vocation à interagir ensemble, mais qui ont leur propre histoire à raconter. Comme c'est souvent le cas chez eux, l'aventure personnelle d'un héros non encore connu des lecteurs passe par une alternance entre passé et présent, afin d'éclairer les premières cases qui peuvent être très étranges. Ici, on débarque dans une histoire où un personnage semble complètement sauvage et se bat dans une jungle contre des dinosaures (première case !). On se demande au départ qui est ce guerrier Robinson qui dégomme des prédateurs disparus depuis bien longtemps et ce quasiment à mains nues. L'alternance entre passé et présent est transcrite très simplement par l'alternance entre deux dessinateurs, Clayton Henry et Lewis LaRosa ; le premier a un dessin plus proche de la ligne claire, qui tend vers le réalisme quotidien et est chargé de l'époque passée, le second a un trait beaucoup plus fourni, fouillis presque, et s'occupe de l'époque présente. D'une époque à l'autre, c'est la transformation vers le chaos et la sauvagerie que nous content les auteurs. Pour en apprendre davantage sur la construction respective de leurs planches, Bliss Comics propose comme souvent en fin de volume de longs bonus graphiques.

Savage est donc un comics court mais intense, qui peut rebuter par certains dessins mais vous marque par la tragédie familiale qu'il met en scène.

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Ce tome est le premier d'une série indépendante de toute autre, mais vraisemblablement appelée à se dérouler dans l'univers partagé Valiant par la suite. Il contient les épisodes 1 à 4, initialement parus en 2016, écrits par B. Clay Moore. Chaque épisode comporte une partie se déroulant dans le passé dessinée et encrée par Lewis Larosa, et une partie se déroulant au temps présent dessinées et encrée par Clayton Henry. La mise en couleurs a été réalisée par Brian Reber, avec l'aide d'Andrew Dallhouse pour l'épisode 3. Les couvertures ont été réalisées par Lewis Larosa. Ce tome se termine avec les couvertures variantes réalisées par Jared Fletcher, Robert Gill, Renato Guedes, Felipe Massafera, Marguerite Sauvage et Bill Sienkiewicz.

Quelque part dans une jungle non identifiée, un garçon habillé de haillons guette une douzaine d'oeufs disposés en cercle. Il est installé dans un arbre, et teste le piquant d'une griffe dont il se sert comme une arme. Un vélociraptor arrive dans la clairière, pour vérifier l'état de sa nidation. Sans hésitation, l'adolescent se jette sur lui et il s'en suit un combat acharné entre dinosaure et Kevin Sauvage junior. le garçon finit par triompher, non sans mal, et il récupère les oeufs qu'il met dans un grand sac. Il rejoint alors sa base : une hutte de branchage sur une plage, défendue par des pieux effilés. Il pose le sac d'oeufs parmi ses affaires et il joue avec un briquet à essence.

Une douzaine d'années auparavant, Kevin Sauvage (un joueur de football star) et sa femme Ronnie Sauvage (une ex-mannequin) effectuaient un voyage dans leur jet privé, avec leur pilote. Monsieur sirotait un whisky, pendant que madame vérifiait les comptes et que leur bébé dormait dans son berceau. Leur objectif était de relancer la carrière du footballeur aux États-Unis. En plein milieu du vol, leur avion fut frappé par un phénomène électromagnétique. Quand ils reprirent connaissance, leur avion était doucement en train de prendre l'eau et le pilote était mort dans le crash. Ils n'eurent que le temps de prendre leur bébé de de rallier la plage assez proche. Une fois allongée sur la plage, Ronnie s'occupa de son bébé et s'endormit rapidement. Pendant ce temps-là, Kevin alla récupérer ce qu'il pouvait à bord de l'épave de leur jet, avant qu'il ne s'abime au fond des eaux.

Depuis le redémarrage de leur univers partagé en 2012, les responsables éditoriaux Valiant ont privilégié la publication de comics avec des personnages déjà existants, datant de leur vague de publications initiale en 1989, comme X-O Manowar, Harbinger, Shadowman, Eternal Warrior, Bloodshot ou encore Archer & Armstrong. Ce n'est qu'exceptionnellement que Valiant a publié des nouveaux personnages, par exemple Divinity de Matt Kindt & Trevor Hairsine, ou Antonius Axia dans Britannia de Peter Milligan & Juan Jose Ryp. L'apparition d'un nouveau personnage constitue un petit événement pour cet éditeur. le lecteur découvre Savage avec la couverture de Lewis Larosa qui montre un jeune adolescent venant de triompher d'un vélociraptor avec une arme constituée d'une griffe d'un autre vélociraptor. Ce comics semble promettre des aventures opposant un être humain à des dinosaures.

C'est effectivement ce que découvre le lecteur dans les premières pages, et même la séquence qui conduit à la posture sur la couverture. Lewis Larosa est en très grande forme, avec des planches magnifiques, rendant bien compte de la sauvagerie du combat, des mouvements brusques, par le biais de cases de travers se percutant les unes les autres. Il insuffle une vie impressionnante dans ce vélociraptor et les quelques autres dinosaures qu'il est amené à dessiner par la suite. Il s'applique pour les représenter avec soin, conformément à l'état des connaissances actuelles, en évitant de projeter un quelconque anthropomorphisme sur ces prédateurs. L'épisode 2 offre le spectacle d'autres races de dinosaures représentées avec le même soin, ainsi qu'un autre combat physique, cette fois-ci contre un être humain. La séquence dans l'épisode 3 est tout aussi intense, même si elle ne comporte pas de dinosaure. Lewis Larosa bénéficie d'une mise en couleurs riche, évoquant de la peinture directe, venant habiller chaque surface et ajoutant des informations visuelles en arrière-plan pour donner plus de consistance à la jungle ou à l'océan.

Le lecteur se délecte de ces planches et regrettent qu'elles se lisent aussi vite du fait de l'absence de tout texte. Larosa sait imprimer une vitesse de lecture élevée, en cohérence avec la nature de ces séquences. Par comparaison, les dessins de Clayton Henry apparaissent plus fades et plus sages. Il utilise un trait fin et très propre sur lui, pour détourer les surfaces. Ses images se situent dans un registre plus descriptif, manquant de texture. Pourtant en y prêtant plus d'attention le lecteur constate que ses pages comportent autant d'informations visuelles que celles de Lewis Larosa, mais plus dans les détails des accessoires, des objets et des décors, que dans les textures et les sensations. le lecteur peut ainsi regarder les caractéristiques du jet privé, les tenues vestimentaires, les différentes plantes, les accessoires dont disposent les rescapés, etc. Malgré tout, les dinosaures perdent de leur superbe, deviennent moins impressionnants, et le petit Kevin impressionne moins, ramené à une apparence plus ordinaire.

Brian Reber revient à une mise en couleurs plus traditionnelle pour les planches de Clayton Henry, avec des aplats de couleurs, et des nuances pour augmenter sans exagérer le relief des surfaces délimitées par les traits de contour, et pour rendre compte de la luminosité de chaque séquence. En fonction des pages, Henry est amené à utiliser des traits de contours fins, ou très fins dont la délicatesse n'est pas très adaptée pour rendre compte de la brutalité des affrontements, de la sauvagerie de Savage, ou encore de la férocité des dinosaures. Or il se trouve que chaque épisode est dessiné aux trois quarts par Clayton Henry. D'un autre côté, il met en oeuvre une direction d'acteurs bien pensée qui permet de croire à la situation des personnages et à leur implication. Ainsi le lecteur éprouve l'impression que Ronnie et Kevin junior se cachent réellement dans la jungle, se sentent en sécurité dans leur cabane sur la plage, prennent toutes les précautions nécessaires pour éviter d'avoir à se battre contre les dinosaures, et autres habitants de cette île.

Dès le premier épisode, le lecteur se rend compte que ce comics se lit deux fois plus vite qu'un comics de superhéros classique de même pagination. Il y a donc deux fils narratifs qui viennent se compléter. le second se déroule dans le passé et permet de comprendre d'où vient ce Savage. B. Clay Moore se montre un peu taquin vis-à-vis du footballeur vedette, déjà un peu sur le retour. Il montre sa faiblesse vis-à-vis de la boisson alcoolisée, mais aussi son courage. le portrait comporte quelques nuances qui évite la caricature facile. de la même manière, Ronnie dépasse les clichés inhérents à la femme de footballeur. Elle dispose d'un solide sens des affaires, mais aussi d'un véritable courage pour pouvoir subsister dans cet environnement inhospitalier. Malgré tout cette partie de l'histoire suit un chemin tout tracé, sans aucune originalité, jusqu'à ce que finalement Kevin Junior devienne le jeune homme que le lecteur découvre au début du récit.

Malgré les prouesses visuelles de Lewis Larosa et Brian Reber, le lecteur constate aussi que le premier fil narratif est très mince. Savage se bat contre un vélociraptor puis contre d'autres ennemis jusqu'à atteindre son objectif. Là encore l'intrigue s'avère très linéaire, même si elle est bien exécutée. Il est vrai que le scénariste ne dispose que de 4 épisodes pour convaincre le lecteur, mais d'un autre côté son intrigue se révèle assez décompressée, pour faire la part belle aux pages de Larosa. du coup, le lecteur n'a pas grand-chose à se mettre sous la dent. La dernière page de ce tome l'amène à penser qu'il s'agit plus d'un prologue que d'un chapitre consistant. Avec le recul, il se rend compte que l'objectif de B. Clay Moore était donc d'établir l'existence d'un personnage se battant contre des dinosaures, dont les droits de propriété intellectuelle sont conservés par l'éditeur. Cela fait penser à une autre série que Valiant avait publié dans les années 1990 : Turok, dinosaur hunter. Ce personnage n'appartenait pas à Valiant mais à un autre éditeur. du coup, Savage apparaît comme une déclinaison assez proche de Turok pur que Valiant puisse à nouveau disposer d'un personnage semblable.

Ce premier tome consacré à un nouveau personnage Valiant se lit très rapidement, avec un certain plaisir, mais aussi une frustration certaine du fait d'une intrigue convenue et peu substantielle. C'est sympathique comme introduction, mais insuffisant comme histoire.
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Traitement habituel chez Bliss: descriptif du contenu et crédits et début d'album, galerie de couvertures et analyse de la répartition du travail entre scénariste, dessinateur, encreur et coloriste en fin d'album. Très jolie couverture "sauvage" qui montre le talent de Lewis Larosa...

Il y a quinze ans un avion privé s'écrase sur une île déserte. A son bord la famille d'une célébrité du football. Et sur l'île, une faune sauvage... des dinosaures, mais pas que!

Savage n'aurait pu s'intituler autrement tant l'ensemble du projet est porté par le titre. Avec les deux talentueux dessinateurs habitués de Valiant Lewis Larosa (Bloodshot Salvation) et Clayton Henry (Harbringer wars), Bliss nous propose avec  ce faux one-shot - une suite est annoncée en fin d'album - un exercice de style pour l'enfant qui subsiste dans ces dessinateurs et leurs lectures pulp d'alors... Cet album est la variation de Valiant du thème "dinofighting" ou celui de la terre intérieure qui a fait les beaux jours des BD pulp de la première moitié du XX° siècle et du Shanna de Frank Cho

L'histoire est simple et (comme souvent chez Valiant) alternée entre maintenant et avant qui permet de changer de dessinateur. le trait classique et élégant de Clayton Henry appuie la relative normalité du début et le sentiment de contrôle, et tranche avec les sections de son comparse, utilisant allègrement un découpage atypique pour illustrer la violence, la sauvagerie, la folie du jeune survivant devant déployer d'autant plus de rage pour compenser sa nature humaine face aux féroces reptiles. L'album Rocher Rouge critiqué récemment utilisait également cette technique classique du thème du naufragé sur une île (pas) déserte sur une d'un basculement progressif de la normalité à l'horreur. le gros point fort de cet album est donc sa partie graphique, vraiment impressionnante, tant par le style des auteurs que par leur capacité à s'adapter pour exploiter totalement le média BD pour transcrire une ambiance qui se passe souvent de dialogues. Les scènes de combat du héros contre les dino sont réellement impressionnantes de dynamisme et de rage, notamment via des cases au détour indispensable au dessin. Je découvre Lewis Larosa après Bloodshot et je crois qu'aucun dessinateur ne m'a autant impressionné dans son découpage depuis Olivier Ledroit.. le principal regret est que le tome soit si court et ne permette pas de développer la vie sur l'île, l'utilisation des dinosaures (certains passages rappellent le mythique Gon). La partie post-apo avec les hommes est un peu plus faible mais permet une ouverture sur la suite qui permettra de donner une vraie stature à ce projet en le sortant du seul plaisir coupable de dessinateurs qui jouent avec leurs jouets.

Cet album (un peu court) est donc une vraie réussite, sans grande ambition mais qui parvient grâce à une intrigue simple et un découpage général très talentueux à donner de l'enjeu à cette chasse continue et se paie le luxe de poursuivre le jeu, avec on l'espère, la même équipe aux manettes!
Lien : https://etagereimaginaire.wo..
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Surtout intéressé par les dessins de Lewis Larosa dont j'ai cru qu'il était le seul graphiste à l'oeuvre sur cet opus, je reste moyennement emballé par ce que j'ai vu surtout parce que si Larosa rend hommage avec beaucoup de talent à ses grands inspirateurs (à savoir Burne Hogarth pour Tarzan et Richard Corben pour Temps dechire dont le scénario s'inspire allègrement), en revanche Clayton Henry reste dans la ligné économique du comics Us standard avec des travaux infiniment plus dépouillés (jusqu'à se poser des question sur son enthousiasme à participer à l'opération). Finalement, ça se lit très vite pour la simple raison que les dialogues sont pour le moins réduits au strict minimum et que lorsqu'il y en a, ils sont souvent entre parenthèses (pas sûr d'avoir bien compris ce code).

Alors ce n'est pas une simple robinsonnade sur Skull Island, et en tournant la dernière page, sur laquelle est noté "Savage will return", on peut sérieusement avoir un doute sur la possibilité d'une suite. Quoi que... Les anglais Mike Western et Tom Tully ont bien réussi à faire durer The Wild Wonders (alias Klip et Klop, en français) sur trente et un épisodes de 1963 à 1975 sur des enjeux presque identiques. Savage pourrait en être une préquelle... si Kevin avait au moins un frère blond, et s'il pouvait aussi être un peu moins sanguinaire.
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Savage ressemble à ces comics d'autrefois mise en valeur par Richard Corben. Je pense notamment à Temps Déchiré qui fait coexister des êtres humains et des dinosaures prêts à les dévorer.

Au niveau du pitch, il est plutôt intéressant avec cette star mondial du football et de son épouse mannequin qui gère sa carrière professionnel. Ils sont dans un jet privé qui s'écrase sur une île perdue où ils vont croiser pour leur plus grand malheur des tyrannosaures. Cela sera un carnage.

Le récit va se croiser sur leur nourrisson qui va grandir et devenir une sorte de Mowgli ou de Tarzan, roi de la jungle prêt à faire du corps à corps avec ces bestioles.

Rien n'est crédible. C'est assez bourrin dans les dialogues. Cela demeure une bd de pure divertissement. Une oeuvre qui appelle d'ailleurs à une suite mais rien n'est moins sûr avec les comics édité en one-shot. A noter également que cela va beaucoup trop vite au niveau des événements qui s'enchaînent. Cela aurait mérité un meilleur développement. C'est dommage car il y avait de la matière.

Au niveau du dessin, il y a deux époques différentes. J'ai beaucoup aimé le graphisme sur le passé et un peu moins celui du présent assez flou en ce qui me concerne.

Encore une variation du monde perdu d'Arthur Conan Doyle. Pour l'originalité, c'est perdu d'avance.
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critiques presse (1)
BDZoom
03 décembre 2018
Un très bon premier tome, au suspens suffisamment intrigant pour nous laisser attendre une suite que l’on espère du même acabit.
Lire la critique sur le site : BDZoom
Citations et extraits (2) Ajouter une citation
Ici, l’eau n’est pas toujours que de l’eau. C’est comme tout ce que je te dis depuis le premier jour. Les choses sont rarement ce que l’on croit.
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Tout homme abrite en lui une bête sauvage.
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