La vie est un roman

C'est le premier livre de Musso que je lis. On s'ennuie jusqu'à la moitié. Et ensuite tout s'enchaîne avec beaucoup de magie parfois trop. En quelques mots c'était intriguant, surprenant, bien en dehors de ma zone de lecture habituelle, bien construit mais pas assez pour en racheter un.

Après ces dernières années, Musso change de style et revient a lui.

J'ai bien aimé celui ci, pas tant pour l'histoire en elle même, un peu fantastique sur les bords mais plutôt pour le style de l'écriture qui pousse le lecteur a la réflexion et à l'interrogation.

Un peu déroutant par moment, il a eu le mérite d'être addictif
Un moment sympa

Un roman original mais dans lequel on peut vite se perdre.

J'ai aimé le thème de ce livre dans lequel un auteur rencontre son personnage, où leurs histoires se mêlent et où l'on ne sait plus qui manipule qui. Ce mélange est tout de même assez particulier et peut être parfois difficile à suivre : de qui parle-t-on, à quel personnage sont rattachées ces pensées ?

Au départ, on s'imagine une simple enquête sur une enfant disparue mais il s'agit de bien plus que cela puisque le livre prend une toute autre tournure après quelques chapitres.

De nombreux thèmes sont abordés, l'esprit tourmenté de cet écrivain, ses démons, le deuil suite à la perte d'un être cher mais aussi les relations parents/enfants.

Ce que j'ai vraiment aimé est cette originalité que l'on perçoit tout au long du livre, c'est très appréciable. le point négatif reste ce changement de personnage / de pensée qui peut être difficile si on est moins concentré.

Une lecture qui me laisse un sentiment très partagé : autant j'étais curieuse de découvrir la suite, autant j'étais agacée par cette mise en abyme. C'est vraiment quelque chose qui me rebute profondément et quand je suis arrivée à la page où on découvre ce mécanisme, j'étais prête à refermer le livre pour ne plus le rouvrir ... Mais malgré tout l'auteur avait réussi entre temps à me donner envie de connaître la suite des événements et de voir comment tout cela allait évoluer.
Au final, je dois dire que si j'avais su dans quoi je m'engageais, je pense que je me serais abstenue mais c'est vraiment mon ressenti personnel.

😅 Dommage
En trois mots : écrivains - disparition - original

« Les écrivains cherchent à contrôler le monde, mais parfois le monde ne se laisse pas faire. »

➡ Lors des premiers chapitres, j'ai été surprise d'apprécier autant, je trouvais l'idée très bonne. Au fur et à mesure c'était de plus en plus prometteur et même original. Malheureusement le manque de développement de ces idées a été frustrant.

Mon intérêt est retombé dans la dernière partie, le dénouement s'est avéré assez brouillon et m'a laissée perplexe.

➡ Les liens entre les personnages ne m'ont absolument pas dérangée mais pour moi il aurait fallu que ce choix soit vraiment assumé et moins confus dans sa réalisation.

« Parce que les lecteurs lisent le livre qu'ils veulent lire, pas celui que vous avez écrit. »

➡ En revanche, les réflexions sur le monde du livre, l'écriture et les lecteurs sont intéressantes, on sent que l'auteur souhaite faire passer un message. Cela alourdit un peu le style mais l'ensemble reste fluide et bizarrement addictif malgré tout.

Une découverte de Guillaume Musso un peu particulière.

- LA VIE EST UN ROMAN-

Cela faisait longtemps que je voulais découvrir ce livre, le début, j'ai beaucoup aimé mais je n'ai pas vraiment aimé la fin, ce que j'ai trouvé dommage.

Au début du romans, nous commençons avec l'histoire de Flora Conway qui chercher sa fille après avoir jouer à cache-cache mais elle avait disparu. Après plusieurs mois, elle n'arrive pas à écrire alors qu'elle à la pression de son éditrice. Quelques pages, nous apprenons que Flora Conway est un personnage de roman d'un auteur célèbre en France.

J'ai beaucoup aimé de voir l'auteur se mélanger à la vie de son personnage et vice-versa et j'aimai beaucoup le roman jusqu'à quand il laissa en vie son ex-femme ( je décide de ne pas dire de noms pour ne pas trop spoiler et d'être le plus flou possible), après la chute narrative ne m'a pas vraiment plus, je l'ai trouvé un peu tirer par les cheveux et je n'ai pas vraiment aimé et cela m'a refroidi sur ma note.

Après le grand point positif de ce livre, c'est qu'il y a eu pleins de référence littéraire et pour une étudiante en littérature je ne pus être comblé ! Je vais donner une citations que j'ai aimé : " Flora Conway...c'est moi !" une grande citation de Flaubert qui est " Emma Bovary...c'est moi!".

J'ai beaucoup aimé comme a mon habitude le style littéraire de Guillaume Musso, qui est simple et efficace.

Une lecture sympathique qui critique le monde littéraire à parti des écrivains sur le monde de l'éditions et de la pression des lecteurs.

Carlaines

Voici l'état d'esprit de Flora à la suite de la disparition de sa fille Carrie, âgée de 3 ans, alors qu'elles jouaient toutes les deux à cache-cache dans son appartement.

6 mois plus tard, Flora se rend compte être manipulée. C'est le début d'une tout autre tournure fort sympathique entre la rencontre d'un personnage de fiction et l'écrivain.

Ce roman en trois partie me laisse toutefois dubitative, car j'ai eu l'impression d'être emmêlée voire perdue entre fiction et réel. Et je pense que c'etait l'idée de l'auteur, je me trompe peut-être.

J'ai aimé les intrigues et la construction originale du roman. Moi qui n'avait pas encore lu la plume de l'auteur, je suis plutôt conquise et ravie de l'avoir sortie de ma pal.

Guillaume Musso est mon péché mignon de mon parcours de libraire, un auteur qui n'a pas besoin de mon avis sur les réseaux sociaux pour se vendre. C'est l'un des premiers auteurs adultes que j'ai lu alors que je n'étais qu'adolescente, il y a une dizaine d'années, à l'époque où je ne lisais que de la littérature jeunesse.

La Vie est un Roman fait partie de la trilogie des écrivains de Guillaume Musso, avec la Jeune Fille et la Nuit et la Vie Secrète des Écrivains. Dans ce roman, nous découvrons l'écrivaine New Yorkaise Flora Conway, alors que sa fille de trois ans disparait, et Romain Ozorski, écrivain parisien, dont la vie vole en éclat quand sa femme demande le divorce en emmenant leur fils.

Un thriller contemporain comme Guillaume Musso sait les faire. Son écriture additive m'a une nouvelle fois embarqué dans cette histoire, sans que je puisse l'arrêter ! Encore un livre de Guillaume Musso lu dans la journée.

Un roman qui frôle le fantastique, certes l'écriture additive et l'alchimie de Guillaume Musso ont su m'emporter mais je reste sceptique sur cette histoire. Au fur et à mesure du roman, je le trouve de moins en moins crédible. Je veux bien le côté fantastique mais là, non, c'est un petit loupé. Comme un sentiment de trop ... J'ai été perdue à la moitié du roman, comme si Guillaume Musso voulait trop en faire avec son histoire.

Je voulais savoir ce qui était arrivé à la fille de Flora Conway et le mystère qui entourait les relations entre Flora, Romain et l'éditrice Fantine. Mais j'ai été perdue sur comment l'auteur développe son histoire ...

Dommage.
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Je n'ai lu que deux livres de Guillaume Musso: "Angélique" et "La vie est un roman". Pendant la première partie de "La vie", les similitudes sont évidentes: le suspense immédiat, l'incident central et l'écriture précise et fluide de Musso, qui maîtrise l'urgence des éléments et des actions ainsi que la présentation des personnages. La deuxième partie change tout. Ici, le livre devient ambitieux et réfléchi, Musso présente sa véritable intention et c'est, en théorie, magnifique. Cependant, l'exécution de l'histoire est faible, Musso perd le contrôle des personnages, de l'action et la narration s'approche rapidement du chaos et de l'artificialité. Je pensais qu'il ne parviendrait plus à contrôler le livre, mais, heureusement, la dernière partie de "La vie" s'éloigne de l'ambition narrative et se concentre sur les personnages et leurs émotions, pour arriver à un final sensible, intime et émouvant.

Ce roman est une déception pour moi, presque une double déception, car je suis déçue de ma lecture mais également de cet auteur que je me faisais une joie de découvrir. Les premiers chapitres m'avaient pourtant assez plu, posant une intrigue aussi surprenante qu'alléchante : la disparition d'une fillette lors d'un jeu de cache-cache avec sa maman dans un appartement totalement fermé et sécurisé... Quel point de départ, un vrai champ des possibles, ouvrant dans l'imaginaire du lecteur une foule d'hypothèses et de suppositions, mais autant d'attente et d'envie, de besoin d'être surpris !

Malheureusement pour moi, le soufflé est vite retombé ; mon intérêt s'est émoussé au fil des chapitres, notamment lorsque l'auteur mélange réalité et fiction, écrivain et personnages issus de son imagination. Je n'ai pas du tout accroché à ce postulat un peu farfelu et ce, malgré une base qui semblait pourtant prometteuse. Au final, j'ai trouvé ce roman assez inégal, avec des passages intéressants (un sursaut dans les derniers chapitres) mais d'autres plus déroutants qu'attrayants. C'est clairement un rendez-vous manqué avec Guillaume MUSSO ! Dommage car je ne suis pas sûre de prendre le temps ou même d'avoir l'envie de replonger dans un autre livre de cet auteur pourtant très apprécié...