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EAN : 9789734611003
Polirom (01/01/2008)
1/5   1 notes
Résumé :
Nu e o autoficțiune, e o carte scrisă la persoana a treia, cu un personaj feminin, Sabina, care trebuie să reziste în București, în anii 90. În mod paradoxal, este un roman care are un substrat social foarte puternic și n-aș fi crezut c-o să-mi iasă așa. E o reflectare de lumi foarte variate, un roman picaresc, dar și o poveste de dragoste. După ce am terminat cartea, am descoperit ca nu este lucrul central din ... >Voir plus
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Critiques, Analyses et Avis (1) Ajouter une critique
Le titre se traduit par « un oiseau sur le fil de fer » (ou, parfois sur la corde raide !?). L'autrice est la compagne de Mircea Cartarescu et cela a compté lors de mon achat à un prix raisonnable ici. Je n'envisageais pas de commentaire pour signifier que cela ne valait pas la peine. Or, le prix actuel (plus de 200 euros) m'y oblige. La qualité littéraire de ce texte est plus que discutable et pourtant il est traduit (pas en français, restons calmes), alors que nombre de classiques roumains tombent chaque année dans le domaine public et dans l'oubli des Roumains eux-mêmes.
Ioana Nicolaie insiste sur la rédaction à la troisième personne et le caractère fictionnel (cf. extrait du 4ème de couverture repris dans la présentation éditeur) tout en espérant susciter l'empathie avec son oeuvrette. Pour sa vision de l'amour, celle qu'offre Cartarescu dans « Dragostea » est bien plus poétique, quant à la notion de survie, je m'insurge sans détour. Il est temps de faire voler en éclats cette obsession de l'oppression par le communisme et voler enfin de ses propres ailes. Pour moi, le « martyr » de la survie c'est affronter par exemple le mal de Pott, écrire pour survivre et témoigner comme Max Blecher. Tandis que le pays dont parle Ioana Nicolaie affiche pour la même année une croissance de 4 % environs la tuberculose reste un fléau en 2016, selon les médias et les spécialistes. Et à propos de spécialistes, je ne suis pas considérée comme telle, pour mon plus grand bonheur, mais j'opine qu'un professionnel doit pouvoir traduire minimum une centaine de pages par mois. Vivement le printemps qu'on retrouve les vrais oiseaux !
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Citations et extraits (1) Ajouter une citation
–Naturellement. Je connais comme ma poche. J'y ai des amis, j'en suis revenu avec des tas de photos… voir le Louvre, avec sa pyramide illuminée dans la cour, traverser la Seine, arriver jusqu'au Moulin-Rouge, c'est vraiment indescriptible. À La Défense, il y a des gratte-ciel, tu peux prendre en photo le ciel qui se reflète sur leurs parois vitrées. Les fontaines artésiennes montent et descendent au rythme du jazz… Ne me demande pas pourquoi je n'y suis pas retourné. Peut-être pour passer cette soirée avec toi, pour l'autobus qui arrivera d'un instant à l'autre. Puis-je te raccompagner ?

[–Firește. Îl știu ca pe buzunarele mele. Am prieteni acolo, am venit cu o grămadă de poze… Să vezi Luvrul, cu piramida luminată din curte, să treci peste Sena, s-ajungi la Moulin Rouge, asta chiar nu se poate descrie. În La Défense sînt zgîrie-nori, poți fotografia cerul în sticla lor. Fîntînile arteziene cresc și scad în ritmuri de jazz… Nu mă întreba de ce m-am întors. Poate pentru seara asta cu tine sau pentru autobuzul care o să vină dintr-o clipă în alta. Pot să te conduc ?]
(p.79)
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