Le faucon déniché

Littérature jeunesse mais pas littérature naïve. Quoiqu'un peu datée dans sa narration, l'histoire de Martin reste attachante. Il est aisé de s'identifier à ce personnage.
Le récit manque parfois un peu de "percutant" et le vocabulaire est par moment un tantinet désuet mais l'ensemble pourra plaire aux plus jeunes, pour peu qu'ils adhèrent un minimum à l'univers médiéval.

Un roman jeunesse lu au collège plein de rebondissements. J'ai adoré la conviction de Martin qui veut un faucon. Mais seulement il ne peut pas parce qu'il n'est que serf. Pourtant il va braver les interdits. Un roman assez plaisant.

Une petite histoire facile et courte, que j'ai lu en 6° pour un cours. Ça décrit parfaitement les relations sociales de l'époque, ce qui remplissait totalement le but de ma lecture à l'époque

Au temps du Moyen-Age, un jeune garçon s'est pris de passion pour la fauconnerie, sauf qu'il n'a pas le droit, ni l'autorisation de garder sous son aile, un jeune faucon.

J'ai pas trop aimée car si on était un "non-passionner" de lire on serais perdu

en se moment dans le livre . Mais se qui aime les livre d'action , je leur

déconseille se livre .

Un court récit, lu en classe de 5e.

Je me souviens que, si le cadre offrait une étendue de savoirs sur la période médiévale et certaines descriptions étaient bien construites, l'histoire en elle-même se révélait très fragile.

Avec une trame plate, sans beaucoup d'action vers le milieu du roman, les personnages ne parviennent pas à se faire apprécier. Martin est un serf qui découvre un jour un jeune faucon orphelin et décide de l'élever pour qu'il devienne « son » oiseau. Or, n'étant pas un seigneur, il en a l'interdiction.

En partant sur cette base-là, même l'intrigue jeunesse aurait pu honorer une relation cachée entre Homme et animal, tout en appuyant sur les lois féodales de l'époque comme Jean-Côme Noguès aime les rappeler. Mais j'ai plutôt eu l'impression d'un personnage simple, plus matérialiste que soucieux du bien-être de son oiseau.

On peut excuser le rendu du fauconnier, antagoniste de l'histoire. C'est l'ennemi de Martin auquel doivent adhérer de jeunes lecteurs. Cependant, lui aussi se montre un peu trop extrémiste avec les rapaces. Les scènes de volerie sont documentées, et relatées, mais pas omniprésentes – compte tenu de la situation qui n'avance pas vraiment.

Et la fin, décevante, paraît sortir de nulle part. On perd le seul personnage auquel je m'étais attachée, au cours d'une tentative maladroite de rédemption de la part du protagoniste.

Ce n'est donc pas la meilleure lecture scolaire que l'on m'ait donnée. Malgré la promesse que fait le faucon hobereau de couverture à son lecteur, ce roman conviendra bien mieux à un manuel sur le Moyen-Âge qu'à un amateur de rapaces.

Martin risque la prison en "empruntant' le faucon réserver au chasseurs du seigneurs

Lectrice adulte de ce roman jeunesse, mon avis s'en ressent peut-être.
Autant il donne des informations sur la vie pas facile de cette époque, autant je trouve que le thème principal de l'histoire, le jeune et le faucon, est finalement peu présent.
Livre qui reste intéressant pour un jeune adolescent je pense.

Un livre facile à lire, on arrive à s'impregner de l'histoire de Martin.

Martin est un jeune serf, fils de Brichot le bûcheron. Toute la journée, il garde les oies ; son rêve est de posséder un faucon pour s'en faire un compagnon et ami. Cependant au Moyen-Age, les faucons sont des oiseaux réservés aux seigneurs et il est interdit à quiconque d'autre d'en posséder un.
Un jour, l'enfant déniche un jeune faucon, le cadre et avec patience et tendresse l'apprivoise peu à peu. Martin est surpris par le fauconnier du château qui, le soupçonnant de braconnage, arrache à l'oiseau trois plumes pour qu'il ne puisse plus voler. Il est jeté en prison aussitôt, sans pitié pour son jeune âge, on lui confisque aussitôt le faucon. La cellule dans laquelle il se retrouve enfermé, froide, sale, humide et infesté de rats.
De sa geôle, Martin peut chaque matin voir le fauconnier dresser son faucon à la chasse afin d'en faire un oiseau de proie féroce, le plus avide et le plus cruel de la fauconnerie...
Un jour, le château de Soupex est attaqué sans que les gardes ne réagissent ; Martin ...
Je pense que ce livre cette lecture a été très agréable. L'histoire est bien menée. Il n'y a aucun temps mort, il faut dire que le roman est court.

Anaëlle.S