Les Chutes

Après un chapitre d'introduction intéressant, j'ai été déçue par la suite.
Le texte m'a paru long et ennuyeux, brouillon avec des redondances abondantes. Je n'ai pas cru en ces personnages, en cette heroïne plutôt empotée, en ce premier mari tellement secret.
Au suivant !

Alors là je ne comprends pas l'engouement pour ce livre ! Moi qui suis férue de littérature américaine je n'ai absolument pas accroché : le récit, les personnages, l'écriture. Rien ne m'a séduite, c'est plat, monotone, niais, long, pas captivant du tout.

Très grosse déception pour moi. Je m'attendais à lire un polar un petit peu fantastique avec quelques histoires de légendes indiennes pas si légendaire.

Au final, je tombe sur une énième saga familiale qui suit la vie de notre héroïne ainsi que celle de la génération suivante au fil de leur péripétie et de leur lien avec les Chutes du Niagara.

Je l'ai vite redistribué, car si le genre ne m'intéresse pas, ce n'est pas le cas d'autres personnes qui seront peut-être plus à même d'apprécié.

Déception !

Déjà l'héroïne m'a énervée. Je ne lui ai rien trouvé d'exceptionnel. En plus, les héroïnes qui attendent la catastrophe en fermant les yeux (surtout qu'il n'y avait pas de fatalité à part dans sa tête), ça me saoule.........
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Ce roman ne m'a pas marqué!
Je n'ai absolument pas été emballé. C'est long, fastidieux, ennuyant et ça tourne en rond. À lire si on aime les pavés ...
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Une histoire qui aurait pu me passionner. Hélas, cette écriture m'a dérouté, pour parler gentiment. Toutes ces pensées bien lourdes écrites en italiques sont d'une facilité indigne d'un grand auteur. Les personnages sont bien campés, mais ils sont noyés avec le premier mari dans ces chutes huileuses, autant de la pollution industrielle que des digressions inutiles. En bref, encore une oeuvre primée !

j'ai abandonné au bout de 300 pages !!! il en restait 400 !!! un livre lent, trop touffu, verbeux, bref, j'ai courageusement continué mais j'ai fini par jeter l'éponge.

Tout d'abord, quelques mots sur le format qui correspond à peu près à la moitié d'un livre de poche et se lit à l'horizontale. Celui-ci m'a convaincu et même séduite : j'ai trouvé le livre très maniable, compact, idéal pour être transporté dans un petit sac à main et pour lire dans le train. Un seul défaut peut-être : la finesse des pages (qui ressemble à du papier bible) qui se froissent facilement.

Venons-en roman et c'est là que ça se gâte. Joyce Carol Oates est un auteur que j'aime beaucoup, même si je lui reproche une noirceur qui verse parfois dans le glauque et des personnages féminins souvent victimes expiatoires à la différence d'une Laura Kasischke qui explore elle aussi l'envers de l'Amérique mais laisse une chance à ses personnages, notamment féminins.

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