Un regard et la couverture éclate mon regard d'un curiosité maladive puis le titre
le rouge vif de la rhubarbe augmente mon attrait puis la lecture du quatrième de couverte obsède mon choix pour acheter ce livre....De plus la littérature Islandaise est une curiosité pour le lecteur maladif que je peux être.
Ma lecture brûle les pages avec envie et désir, les paysages de cette île, la nature, le climat, la rhubarbe ont le rôle principal de ce roman romanesque.Puis lentement la lenteur de l'histoire engourdit ma lecture, les anecdotes semblent dérisoires.l 'héroïne adolescente handicapé de naissance devient le songe lointain de l'histoire.
Reste cette île berceau de ce roman, le temps chavire, la nuit et le jour se chamaille, le sel ronge cette terre sauvage, le sol absorbe le gel, l'érosion, la force du climat abrupte, la vie coule de ses bateaux étranger, ces chalutiers de pêche, accostant ces berges illusoires, incertaines, cette île respire le peuple de ces traditions, ces us nouvelles, cette terre est l'appel à la vie de notre héroïne égarée dans l'immensité de ces détails, ces petites choses infimes cristallisent son univers, ce monde de rêve, la missive maternelle enchante ses espoir de ce passé perdu, si lointain, cette vie d'une mère présente, une maman errante, un frére nouveau virtuelle d'une lettre orpheline....
Ces lettres maternelles; cette génitrice partit suivre sa vie de femme au quatre du monde à la recherche de nouvelles espèces d'oiseaux, parsème ce livre de moment tendre et incertain comme un pavé que l'on jette dans la marre et qui éclabousse notre lecture dans un égarement, un décalage, une césure ennuyeuse....
Peu de moment de plaisir, rare le roman nous happe dans l'île de notre héroïne.
Seul le titre reste magique .....
La montagne est si haute, l 'héroïne sera cette alpiniste de l'espoir.....