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3,5

sur 722 notes

Critiques filtrées sur 2 étoiles  
J'ai beau apprécier la rhubarbe et ne pas détester le boudin noir, passées ces quelques pages culinaires amusantes, il ne me reste pas grand-chose de ce petit livre refermé depuis quelques jours.

L'univers très poétique d'Audur Ava Olafsdottir me désarçonne toujours, de livre en livre. C'est mon petit symptôme littéraire à moi, et j'ai beau me soigner en persévérant la médication « lecture de tous ses romans », le remède ne passe décidément pas…

Certains y trouveront une douceur, une petite musique portée par des notes délicates de rêves, d'images d'oiseaux de mer, de montagne noire, de neige ou de jardin luxuriant.

Rien n'y fait ! Je suis d'accord avec tout cela, mais je reste de marbre ! C'est un livre sensoriel, aux personnages atypiques mais aussi un peu vide de sens et de profondeur.
Juste mon humble avis…
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Ce petit roman m'a moins enchanté que les prédécesseurs du même auteur. Pourtant le récit de la petite Augustina est bouleversant cette petite fille handicapé (au niveau des jambes) qui a pour rêve de gravir une montagne).

Sa rencontre avec Salomon est aussi intéressante mais il m'a manqué de profondeur peut-être parce que ce livre est vraiment court 150 pages. de plus il faut mentionner que ce livre est en fait le premier écrit de l'auteur.

Nina et Vermandur complète le tableau de ces personnages mais même ainsi il m'a manqué vraiment quelque chose pour adhérer à cette lecture et les 50 dernières pages m'ont parues terriblement longues.
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J'avais aimé Rosa Candida et j'ai voulu lire son premier roman.
La personnalité d'Agustina, la jeune fille, qui est l'héroïne de l'histoire, est intéressante de même que son amourette avec Salomon est rafraîchissante. Son rapport avec sa mère est très curieux ; elles correspondent par de courtes lettres dont on n'a connaissance que partiellement. Seules les missives de sa mère nous sont transmises, certainement partiellement car quand on voit la brièveté de la dernière : un télégramme de quatre mots. Agustina se pose plein de questions : où est son père, quelles ont été les circonstances de la rencontre de ses deux parents et où est-elle née ? Bien sûr, elle aura les réponses d'une façon assez pittoresque. Sa mère poursuit sa carrière à l'étranger et l'a laissée à une vieille amie, Nina. Comme dans tous les romans de cet auteur, on voit que les Islandaises sont très libres de moeurs. C'est assez déroutant mais attachant à la fois.
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Je viens de réaliser un truc de dingue : je suis très attirée par les livres dont les titres comportent un nom de fruit, de fleur ou de légume (mes amies vont vraiment finir par me m'envoyer à l'asile !). Vous comprendrez donc pourquoi je me suis lancée dans la lecture du “Rouge vif de la rhubarbe”, d'Audur Ava Olafsdottir, dont j'avais d'ailleurs beaucoup aimé le “Rosa Candida” au printemps dernier.
Nous sommes toujours sur la volcanique Islande, dans un village coincé entre la mer (froide) et la montagne (noire). C'est là que vit la jeune Augustina auprès de la douce Nina, qui prend soin d'elle pendant que sa mère écume le globe afin d'observer des oiseaux. Il y a aussi Vermundur, l'homme à tout faire qui répare tout ce qui lui passe entre les mains, Salomon, le fils de la nouvelle chef de choeur, et surtout cette montagne, du haut de laquelle Augustina aimerait bien observer le monde. Mais pas facile d'y arriver lorsqu'on a les jambes molles et des béquilles pour se déplacer...
Ce livre est de nouveau un livre sur la magie du quotidien, les petits bonheurs qui le composent pour qui sait les déceler. Malgré son handicap, Augustina s'est construit un monde féérique et douillet, où même l'absence de sa mère la fait rêver. le problème pour le lecteur, c'est qu'ici le charme n'opère pas, ou alors si peu... Cela manque de consistance, on s'ennuie un peu, et à la fin il n'en reste pas grand chose. Gros bof quoi.
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Est-ce la traduction ? Est-ce l'écriture ? Je n'ai pas du tout accroché à ce roman. L'héroïne m'a laissée de marbre, je me suis perdue dans les circonvolutions du récit, dans les images utilisées. Un sentiment bof bof
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Une enfant née d'amours éphémères, est restée vivre dans un village d'Islande, pendant que sa mère est partie découvrir l'Afrique. Agustina est une enfant différente, ses jambes "mortes" ne lui permettent pas de se déplacer à son gré et du coup elle vit relativement isolée entre la femme qui l'élève, Nina et un ami de celle-ci.

L'arrivée d'une nouvelle chef de choeur et de son fils va chambouler la vie d'Agustina qui va découvrir son premier amour.

Que dire... je n'ai pas accroché. Les envolées lyriques ne m'ont pas séduite , le côté "spécial" d' Agustina me parait factice comme l'évocation de la mère. Tout est trop gentil, tout baigne dans une innocence surjouée qui me laisse une impression de vide après cette lecture .

Bref, pas aimé!


Lien : http://theetlivres.eklablog...
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C'est toujours aussi difficile de rédiger une chronique sur un livre qui ne m'a rien apporté. J'ai trouvé ma lecture insipide, fade sans début ni fin.

Une note de l'éditeur dit sur la quatrième de couverture : "Le Rouge vif de la rhubarbe éclaire à merveille l'oeuvre de la grande romancière islandaise." Et ben dit donc avec ça, je suis totalement rassurée sur le fait que je vais avoir du mal à sortir de ma PAL Rosa Candida.

Pourtant je comprends les personnes qui se sont laissés porter ou devrais-je dire bercer par Ágústína, elle affronte son quotidien des rêves plein la tête, et regarde passer les nuages au dessus d'elle et réinvente le monde à sa façon. Ce livre n'est qu'une succession de mini scénettes sans véritable lien les unes avec les autres, c'est presque comme si l'auteure avait décidé de nous balancer au visage des instants de vies décousus. Je n'ai donc pas été sensible à l'histoire et à la plume de notre célèbre romancière islandaise.

J'ai terminé de lire ce livre il y a une semaine, et déjà il ne m'en reste pas grand chose ...

J'ai bien conscience que c'est peut être la chronique la plus courte de mon blog, mais là je ne sais pas quoi vous dire de plus, je ne suis surement pas le meilleur public pour ce genre de littérature.

Lien : http://exulire.blogspot.fr/2..
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Agustina, entre méditation dans le carré de rhubarbe rouge et lecture des lettres de sa mère partie aux antipodes , a formé le projet d'escalader la "Montagne" de 844 mètres. Et ce ne seront pas ses béquilles qui vont l'en empêcher !
Premier roman de mon écrivaine islandaise préférée, le rouge vif de la rhubarbe contient en germe tout ce qui fait la saveur des romans de son autrice : poésie, humour, personnages hors-normes et familiers tout à la fois. Mais serait-ce le nombre de pages trop réduit à mon goût (156 pages), je suis restée un peu sur ma faim. Pourtant les marque-pages ont été à la fête !
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Une écriture plate comme une limande.
J'ai peut-être loupé un truc mais je me suis rarement autant ennuyée en lisant un roman. Je n'ai pas vu de style et je n'ai pas vu plus d'histoire.
Impossible de le finir.
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J'ai lu ce livre comme un conte
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