En 1938, les frères Blumenfeld tournent un western qui leur apportera la gloire : un film réalisé en plein territoire Navajo. Malheureusement le tournage va devoir brutalement prendre fin.
Ce 5eme opus de l'Art du crime s'intéresse donc au cinéma.
Ambiance western où encore une fois les divergences entre blancs, qui se sentent supérieurs, et amérindiens proche de la nature, va faire des dégâts.
Ce tome à un rapport direct avec le tome 1, où l'on peut enfin connaitre le passé de Curtis Lowell, le fameux écrivain de la BD inachevée. Et comprendre pourtant les dernières pages de celle-ci sont manquantes.
J'ai eu du mal à rentrer dans l'histoire, je l'ai même trouvé un peu décousue avec quelques ellipses. Certains détails de l'histoire me semble laissé de côté.
Niveau dessin c'est très moyen aussi, assez fade et figé.
Rien de bien transcendant pour moi mais ça se laisse lire malgré tout. Sans grande passion, et probablement que ça ne marquera guère ma mémoire...
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Seul l'homme blanc croit que la nature est sauvage.
Les jambes de la Terre sont mes jambes ; c'est beau en vérité.
La force physique de la Terre est ma force physique ; c'est beau en vérité.
Les pensées de la Terre sont mes pensées ; c'est beau en vérité.
Chant de guérison traditionnel navajo.
Berlion + Omeyer .Olivier Berlion et Marc Omeyer se sont lancés dans une nouvelle grande saga en BD intitulée "L'art du Crime". Une belle aventure où les deux auteurs rivalisent de trouvailles scénaristiques et où des dessinateurs de renom les accompagnent. Cerise sur le gâteau, Berlion dessine le 1er tome et dessinera le dernier opus de la série.